villotta-immigrées en 1932 - Filae.com |
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Inscrit le: 07/04/2010 Messages: 34
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- Villotta Gino Ernesto, nato a Colloredo di M.A. il 18.08.1904, risulta emigrato in Francia il 01.01.1932, non coniugato; - Villotta Guglielmo Pietro, nato a Colloredo di M.A. il 18.10.1905, risulta emigrato in Francia il 01.01.1932, non coniugato; - Villotta Emma Ester, nata a Colloredo di M.A. il 07.04.1907, risulta emigrata a Pescara il 06.02.1937, non coniugata; - Villotta Rinaldo Giuseppe, nato a Colloredo di M.A. il 25.07.1908, risulta emigrato in Francia il 01.01.1932, coniugato on Zehnpfennig Luisa in Francia; - Villotta Raimondo Lorenzo, nato a Colloredo di M.A. il 10.08.1915, risulta emigrato a Vasto (Chieti) il 03.11.1937, non coniugato.
Il y a des francais qui trouvent familiales ces nom? merci
comment est-ce que je peux connaitre où ils sont émigrées? en quelle partie de la France?
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Inscrit le: 06/03/2006 Messages: 21 479
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bonjour il y en as eu partout beaucoup ds le var puis le gard pour le var les archives sont en ligne
cherchez sur hyeres :gonfaron:toulon ;brignoles etc et bonne chance
si vous voulez en cliquant sur le lien ci dessous on peut vous aider cordialement
http://archives.cantal.fr/ http://www.genealogie.com/v4/forums/recherches-genealogiques-le-var-83-ad-en-ligne-aide-t1202529.html http://www.archives.var.fr/article.php?laref=1
BRUN MOUTIER MIALLET MAFRAND LAMOURE 19 83 Indochine 59 28_ 43 75 15 63 MERLE BOREL BUISSON CHADENIER ROQUES BAUDOUX ....
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Inscrit le: 06/03/2006 Messages: 21 479
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L’émigration italienne en France de 1851 à 1967 voire à 1973 est un phénomène migratoire important, tant par sa durée que par le nombre de personnes qu’elle a concerné. Elle se situe au deuxième rang absolu, après le flux migratoire à destination des Etats-Unis d’Amérique. Le recensement français de 1851 dénombrait déjà plus de 63 000 Italiens. La période 1878-1882 enregistre la première émigration massive vers la France, qui s’accentue au cours des deux décennies à cheval entre le XIXe et le XXe siècles. Avec 77 000 arrivées par an, la communauté italienne devient la plus importante de toutes les communautés étrangères. Les régions de provenance furent au début surtout le Piémont, l'Emilie-Romagne, l'Italie centrale, puis la Sicile et ensuite progressivement toutes les autres régions. Le sud de la France, mais aussi la capitale et les grandes régions minières (nord-est, nord, centre) les accueillent massivement. Cette émigration-là était pour l’essentiel de type économique. Elle ne cessa même pas au début de la Grande Guerre (les grandes vagues vont de 1899 à 1916, de 1919 à 1931). Une nouvelle vague d’arrivants fut enregistrée entre les deux guerres, pour des motifs souvent d’ordre politique. L’arrivée de Mussolini au pouvoir, en 1922, provoque le départ vers la France d’un très grand nombre d’opposants au régime et l’émigration politique prend le pas sur l’émigration économique (qui ne baisse pas pour autant, en particulier dans le Sud-Ouest). De 1920 à 1925 près de 150 000 nouveaux arrivants sont enregistrés annuellement. En 1921, les émigrés italiens en France sont au nombre de 470 000. Dix ans plus tard, malgré un fléchissement temporaire en 1927, ils ont doublé (on compte alors, en réalité, plus d'un million d'Italiens en France: un travailleur étranger sur 3 est italien). L'Afrique du Nord (Tunisie surtout) accueille toujours beaucoup d'Italiens. Les choses changent pour l’émigration italienne à la fin de la seconde guerre mondiale ; après la guerre, une partie de l’émigration politique retourne en Italie, mais une partie non négligeable reste. De 1946 à 1967, ce sont quelque 560 000 Italiens qui entrent officiellement en France, avec en 1957 un pic de 87 000 personnes (plus de 100 000 en fait), en provenance du nord-est de l’Italie et surtout du sud et des îles, à destination essentiellement du nord, de la Lorraine, de la région parisienne et de l’Alsace-Lorraine. Une petite reprise de l'immigration se produit encore au début des années 70, mais le temps des exodes massifs est passé. Aujourd’hui les Français d’origine italienne seraient environ 4 millions. Après avoir été un pays exportateur de main-d’oeuvre, l’Italie est devenue importateur.
http://archives.cantal.fr/ http://www.genealogie.com/v4/forums/recherches-genealogiques-le-var-83-ad-en-ligne-aide-t1202529.html http://www.archives.var.fr/article.php?laref=1
BRUN MOUTIER MIALLET MAFRAND LAMOURE 19 83 Indochine 59 28_ 43 75 15 63 MERLE BOREL BUISSON CHADENIER ROQUES BAUDOUX ....
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Inscrit le: 06/03/2006 Messages: 21 479
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Article détaillé : Histoire de l'immigration en France. Les facteurs qui ont contribué à l'émigration italienne en France sont nombreuses, la France qui a tendance à contenir la croissance de sa démographie ne peut plus compter sur les pays limitrophes comme la Belgique ou la Suisse qui, sur le modèle français, ont un développement économique supérieur à l'Italie [8]. La France dont le développement est plus précoce a besoin pour soutenir son développement industriel et colonial d'une main d'œuvre importante. La proximité territoriale constitue un atout supplémentaire ainsi que la position de terre d'accueil que la France a traditionnellement tenu à l'égard des réfugiés politiques.
La première vague d'émigration italienne remonte à la fin du XIXe siècle, notamment en Savoie, avec l'arrivée de paysans en provenance du Frioul, du Piémont, de Gènes. Après la Première Guerre mondiale, une nouvelle vague est formée de migrants chassés par la pauvreté et de réfugiés politiques. Des heurts avec la population existent (notamment en raison de la hausse du chômage dans les années trente). La dernière vague s'installe dans les années cinquante et soixante.
C'est l'Italie septentrionale qui fournit le plus gros de la main d'œuvre et particulièrement le Piémont avec 30 % des migrants suivi de la Lombardie (20%) et de l'Émilie-Romagne (10%). Les principales zones d'implantation se trouvent à proximité des frontières, les Alpes-Maritimes (20%), le Var (10%) et les Bouches-du-Rhône (12%) qui avec la Corse représente le tiers de la population transalpine. Le deuxième pôle est constitué des départements proche de la zone alpine avec le Rhône, la Savoie, Haute-Savoie et l'Isère. Le troisième pôle est la Seine qui compte 24 000 italiens en 1896. Ce n'est qu'après la Première Guerre mondiale que de nouvelles régions attirent des émigrants, la Lorraine, le Nord-Pas-de-Calais, l'Aquitaine (Lot-et-Garonne), le Gers.
http://archives.cantal.fr/ http://www.genealogie.com/v4/forums/recherches-genealogiques-le-var-83-ad-en-ligne-aide-t1202529.html http://www.archives.var.fr/article.php?laref=1
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d'autre part sur le forum "italie" j'ai cree une file pour les italiens du var vous y verrez egalement d'autres files concernant d'autres regions allez voir en cliquant a droite de la page d'acceuil sur "italie"
http://archives.cantal.fr/ http://www.genealogie.com/v4/forums/recherches-genealogiques-le-var-83-ad-en-ligne-aide-t1202529.html http://www.archives.var.fr/article.php?laref=1
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