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Jean-Marc.L30
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: jeudi 4 décembre 2008 21:16



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Bonsoir Bénédicte, Joëlle, Kty, Khalida, Sibie, Jean, Christophe et ceux qui auraient été oubliés.:bisou:
Merci à toutes et à tous pour vos encouragements chaleureux. amour
Un peu de repos pour cause de mal de crêne! Qui aurais de l'aspirne, s'il vous plait ? J'en ai plus, et le pharmacies sont fermées...Nurse Et ces foutus Codes à apprendre... Book Wall Bash
En attendant, vous avez fait un sacré travail ces derniers jours! Bravos à nos rédacteurs.bravo bravo bravo
Bonne soirée. Sleeping

joepiednoir
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: jeudi 4 décembre 2008 22:32



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Bonne nuit à tous,

Merci <Kty pour le lien, super, il faudra que j'y fasse un tour un jur.

Jean Marc, repose toi un peu, sinon ton crane va exploser.

à demain

"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
mes recherches : TAMISSIER(55-23) - LAJOUX(55) - PERSIN(55)-(52)- CHAUVIN (23) - LAURENT (52)
PIEDNOIR(53)- TORTRAT(45-18) - JOUBARD(56) - STOPHE(75-77-78 et suisse ) - GRANDIERE(53-75)-DUCLOS (56) - GIQUEL (56) - LAGROUAIS (56)
SAVARD (45 et 18)- RAIZE (77 - suisse) Joliat (suisse)
christ.L12
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: vendredi 5 décembre 2008 06:09



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bonjour,,pour le balai ,moi j'ai ça



pour Jean Marc



patronymes sur 57 Rall,Neufint/T&#228;nny/Boltz/Bossert/Theobald/Scheuer/
Kiehl/Geisler/Dumolt/Walter/Stenger/Burgun/Schwoerer/Lehmann
patronymes sur 67 Rall/Woelffel/Muller/Simon/Wattron/Zehner/Fritsch/Lux/Martin/Dumolt/Hilt
patronymes sur le luxembourg Boltz/Kiehl/Bernard/Sosson/Jung/Wagner/Medernach/Hansen
Benedicte.V5
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: vendredi 5 décembre 2008 09:33



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Bonjour à tous


Flexni Jean ni Michel ne nous proposent quelque chose ?

Alors, aujourd?hui je viens vous proposer un métier de saison et..saisonnier.

Père Noël





C'est un emploi de saison qui profite à beaucoup.C'est d'abord une histoire de physique. N'entre pas qui veut dans la tenue du Père Noël ! Les grands ou les petits maigrelets feraient pâle figure et les enfants douteraient de la véracité d'un personnage privé de sa légendaire bedaine. Tricher en rembourrant ses vêtements ne serait pas plus efficace, la silhouette du Père Noël doit être celle d'un bon vivant. Et oui, un bon gros ! Le travail saisonnier de Père Noël n'est toutefois pas réservé à ceux qui dépassent le quintal. Il est aussi fortement indiqué de ne pas craindre le froid et, faut-il le préciser, d'apprécier le contact des tout petits qui vont arriver, dans un état de panique ou d'hallucination, pour poser sur la photo !


1941.Montréal.


Histoire du Père Noël

Saint Nicolas ou Nicolas de Myre, le personnage qui a servi de source d'inspiration au Père Noël, vivait au IVème siècle au sud de la Turquie actuelle près d'Antalya. Il fut contemporain de la dernière vague de persécutions et du Concile de Nicée, moment important du christianisme.



Selon la légende, il aurait sauvé de la mort trois enfants. À partir du XIIème siècle, la légende du saint s'enrichit avec le personnage du père Fouettard qui punit les enfants désobéissants. Ce personnage disparaît lors du passage au mythe de Santa Claus.
Au XIème siècle, sa dépouille est volée par des marchands italiens, mais ils laissent sur place un morceau de crâne et de mâchoire. Rapportée à Bari en Italie, la relique produirait des miracles.




En Europe, les rituels liés à l'approche de l'hiver sont ancestraux. Une tradition païenne voulait que, pour exorciser la peur de l'obscurité, les jeunes hommes se grimaient et allaient de maisons en maisons pour quémander des offrandes.



Le vieux qui présidait ce cortège, est appelé « Noël » dès le XIIème siècle en France. Au Moyen Âge, l'Église catholique décide de remplacer les figures païennes par des saints. Saint Nicolas est alors présenté comme le saint protecteur des enfants. En mémoire, le 6 décembre de chaque année, un personnage, habillé comme on imaginait que saint Nicolas l'était (grande barbe, crosse d'évêque, mitre, grand vêtement à capuche), va alors de maison en maison pour offrir des cadeaux aux enfants sages.


À la Réforme, les protestants luthériens, qui rejettent le rôle patronal des saints, remplacent saint Nicolas par l'enfant Jésus (le Christkind allemand). C'est au Pays-Bas que saint Nicolas se transforme après la Réforme en un personnage semi-laïc, Sinter Klaas.



Étrangement, au Canada, les francophones catholiques utiliseront longtemps le personnage de l'enfant Jésus, alors que Santa Claus se chargera de distribuer des cadeaux aux petits anglophones. De même, bien avant la popularisation du père Noël, les catholiques français attribuaient au Petit Jésus les cadeaux de la nuit de Noël.


Au XVIIIème siècle, les souverains allemands entament un processus de laïcisation : les figures chrétiennes sont remplacées par d'anciens symboles germaniques. C'est le retour du petit peuple des fées, des elfes et du vieil homme de Noël (Weihnachtsmann) qui distribue en traîneau des sapins décorés de cadeaux.
Parallèlement, les États-Unis adoptent la coutume néerlandaise de fêter saint Nicolas. Ce sont en effet les Hollandais qui fondent la Nouvelle-Amsterdam au XVIIème siècle, qui deviendra NEW York quand elle sera prise par les Anglais. Après la guerre d?indépendance, ses habitants se souviennent de leurs racines hollandaises et Sinter Klaas revient par la littérature et les illustrations. Il s'agit alors d'un vieillard à barbe blanche portant un manteau à capuchon. Moralisateur, il récompensait les enfants sages et punissait les dissipés. Progressivement, cette « fête des enfants » est rapprochée de la célébration de la nativité.
Le 23 décembre 1822, le pasteur américain Clément Clarke Moore publie un poème intitulé A Visit from St Nicholas, dans lequel il présente saint Nicolas comme un lutin sympathique, dodu et souriant, qui distribue des cadeaux dans les maisons et se déplace sur un traîneau volant tiré par huit rennes nommés Fougueux (Dasher), Danseur (Dancer), Fringant (Prancer), Rusé (Vixen), Comète (Comet), Cupidon (Cupid), Tonnerre (Donder) et Éclair (Blitzen). Ce poème a joué un rôle très important dans l'élaboration du mythe actuel. Publié pour la première fois dans le journal Sentinel de New York le 23 décembre 1823, il fut repris les années suivantes par plusieurs quotidiens américains, puis traduit en plusieurs langues et diffusé dans le monde entier.



C'est vers 1850 que le passage de la célébration de la Saint-Nicolas à celle de Noël se fixe au Royaume-Uni, en lien avec Charles Dickens et ses « Livres de Noël ».
En 1860, le journal new-yorkais Harper?s Illustrated Weekly représente Santa Claus vêtu d'un costume orné de fourrure blanche et d'une large ceinture de cuir.
Pendant près de 30 ans, Thomas Nast, illustrateur et caricaturiste du journal, illustra par des centaines de dessins tous les aspects de la légende de Santa Claus et donna au mythe ses principales caractéristiques visuelles : un petit bonhomme rond, la pipe au coin de la bouche comme un Hollandais, recouvert de fourrure.




on peut dater du 3 janvier 1863 la première représentation publiée du Père Noël tel qu'on le connaît aujourd'hui, dans le célèbre journal Harper's Weekly. Les Etats-Unis sont alors en pleine guerre de Sécession entre les troupes de l'Union (Nordistes antiesclavagistes) et les troupes de la Confédération (Sudistes esclavagistes) et l'image est très curieuse.
C'est également Nast qui, dans un dessin de 1885, établit la résidence du Père Noël au pôle Nord. Cette idée fut reprise l'année suivante par l'écrivain George P.Webster.



De 1931 à 1964, à la demande de coca cola qui désirait faire de sa boisson un produit pour toute la famille et favoriser sa consommation en hiver, un designer suédois, Haddon Sundblom, a créé chaque noël une image publicitaire à diffusion mondiale d'un père noël qui buvait du coca cola. Et il a fait prendre encore du volume au sympathique petit elfe. Mais,comme on vient de le voir, ni la figure du Père Noël,ni la couleur de ses vêtements est oeuvre de cette marque.






Bonne journée.

:bisou:
Benedicte.V5
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: vendredi 5 décembre 2008 11:27



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Le Père Noël de Jean....

:bisou:
Benedicte.V5
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: vendredi 5 décembre 2008 14:46



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Pour Sylvie

Ouvrière en Soie

Joelle a étudié la sericulture en p26.

Je rajoute cet article trouvé sur le site des AD du Vaucluse:

Les Doigts de Fée des Ouvrières en Soie

La main d'?uvre féminine

Au XIXe siècle, l'industrie de la soie emploie de nombreuses femmes en Provence. Du décoconnage au moulinage, l'ouvrière s'épuise dans des ateliers malsains pour un salaire dérisoire. Près de quatorze heures par jour, elle s'affaire sur ce petit cocon blanc respirant un air humide et pollué qui met en danger sa santé. La renommée de l'industrie textile vauclusienne ne saurait oblitérer la dure réalité du quotidien de ces femmes réduites à une existence miséreuse.

Un travail harassant

Avant 1848, la durée journalière de travail est libre dans les usines et manufactures. Les employeurs, soucieux des délais de fabrication, ont tendance à abuser de ce vide législatif pour faire travailler leurs employés jusqu'à quatorze heures par jour.
En 1885 encore, les ouvrières en soie des fabriques de Sorgues demandent par cette pétition l'application stricte de la loi de 1848 ramenant la journée de travail à douze heures quotidiennes, durée déjà considérable lorsque l'on connaît la pénibilité de leur métier.
Les autorités prennent progressivement conscience, tout au long du XIXe siècle, des conditions de vie difficiles de la classe ouvrière. Par cette lettre au préfet de Vaucluse, le maire de Cavaillon montre un certain souci d'améliorer le quotidien de ces femmes soumises à des tâches épuisantes. Les opérations féminines du travail de la soie, filage, dévidage, moulinage sont les plus exténuantes. Le dos en position oblique, les mains perpétuellement plongées dans une eau bouillante, la fileuse perd sa santé dans les vapeurs fétides et la poussière.


Fileuse photographiée par Févrot. 1921
Archives communales d'Avignon


De la magnanarelle à la doubleuse

Le petit cocon blanc est gourmand de main d'?uvre féminine. Les femmes sont employées pour leur patience et leurs doigts fins et habiles qui peuvent accomplir des tâches délicates. Mais une autre raison prédomine : elles sont moins payées que les hommes, leur emploi constitue, à l'évidence, un avantage pour le patron. L'opération de dévidage, esquissée sur ce plan, consiste pour la jeune femme à défaire les fils des cocons plongés dans une bassine d'eau chaude et à les enrouler autour de petits dévidoirs qui se trouvent dans son dos.

Que de travail et de souffrance avant d'arriver à obtenir ce précieux fil de soie ! Les ateliers Bouscarle à Jonquières s'occupent du moulinage de la soie où, là aussi, les femmes sont en très grand nombre. Cette opération consiste à faire subir au fil divers traitements, tels doublage ou torsion, afin de le rendre plus résistant au tissage. Ce travail, moins éprouvant que celui de la fileuse car il ne présente pas l'inconvénient de l'eau bouillante, demande néanmoins une grande attention en raison de la complexité des machines utilisées. C'est le dernier maillon de la chaîne féminine avant le tissage réalisé, lui, par des hommes, les taffetassiers.

L'ombre du canut lyonnais

La prospérité de l'industrie vauclusienne de la soie au XIXe siècle, la beauté incomparable des tissus ne sauraient faire oublier le sort misérable des ouvriers. La représentation de la fileuse donnée par le photographe est une image bien éloignée de la réalité de l'ouvrière de l'époque. Appartenant à la classe sociale la plus pauvre, ces femmes mal vêtues logent dans d'étroits dortoirs, se nourrissent le plus souvent de bouillon maigre, de quelques légumes et de pain. Face au maître tout puissant qui exige d'elles une obéissance totale, leur marge de man?uvre est réduite.


:bisou:
joepiednoir
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: vendredi 5 décembre 2008 16:34



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Bonjour Béné, et tout le monde,

Pas eu le loisir de venir vous voir aujoud'hui ; la journée est plutôt rock'N roll.

Gym ce matin, Kiné à Midi, et récupération de la voiture volée (en juillet) après réparation, cet aprem.

L'assureur qui continue à nous faire des misères pour le remboursement,

Et préparation du téléton pour demain.

En plus un temps de M...E.

Un chocolat chaud me fera du bien



Qui en veut?



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joepiednoir
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Envoyé le: vendredi 5 décembre 2008 16:47



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Le sapin de Noël


L'arbre de Noël regroupe plusieurs symboles montrant les richesses que nous offre la nature : la lumière, les anges, les fruits des vergers, des champs, de la forêt et de la mer. L'étoile qui brille à son faîte annonce la fin du voyage, le havre de paix.



Au XIe siècle, on présentait des scènes appelées Mystères, dont celle du Paradis fort populaire durant l'Avent. Garni de pommes rouges, un sapin symbolisait alors l'arbre du Paradis. Au cours du XVe siècle, les fidèles commencèrent à l'installer dans leurs maisons, le 24 décembre, jour de la fête d'Adam et Ève.

Toutefois, le premier arbre de Noël tel que nous le connaissons, mais sans lumières encore, serait apparu en Alsace en 1521. Il fut ensuite introduit en France par la princesse Hélène de Mecklembourg qui l'apporta à Paris en 1837, après son mariage avec le duc d'Orléans. Au XVIIIe siècle, la coutume du sapin décoré était déjà bien implantée en Allemagne, en France et en Autriche



En 1841, le prince Albert (originaire d'Allemagne), époux de la reine Victoria, fit dresser un arbre de Noël au château de Windsor, en Angleterre. De la cour, la mode du sapin de Noël se répandit rapidement chez la bourgeoisie et se propagea ensuite chez les gens du peuple. À l'époque victorienne, un beau sapin de Noël devait avoir six hauteurs de branches et être posé sur une table recouverte d'une nappe de damas blanc. on le parait de guirlandes, de bonbonnières et de fleurs en papier




Son introduction au Canada se fit vers la fin du XVIIIe siècle, avant même qu'il ne devienne une pratique courante en Angleterre. Les divers éléments servant à son ornementation furent d'abord conçus à la maison, avant d'être produits en industrie. Au milieu du XVIIe siècle, l'illumination du sapin se faisait au moyen de petites bougies.

Elles seront remplacées, au début du XXe siècle, par des ampoules électriques. D'autres variantes, tels les sapins extérieurs et artificiels, apparaîtront au
tournant du XXe siècle.






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Benedicte.V5
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Envoyé le: vendredi 5 décembre 2008 17:00



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quoi du chocolat Joelle.... si tu me prends par les sentiments..Laughing

Le sapin... ça me fait penser qu'il faut que j'aille le chercher...

Jo,Sibie...

:bisou:
Benedicte.V5
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Envoyé le: vendredi 5 décembre 2008 18:52



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bravo Jean,très joli conte..



Bonne soirée.

:bisou:
christ.L12
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Envoyé le: vendredi 5 décembre 2008 19:43



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bonne soirée

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christ.L12
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Envoyé le: samedi 6 décembre 2008 06:10



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coucou c'est moi ,

il en faut bien un pour aller au travail,

bonne matinée

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Envoyé le: samedi 6 décembre 2008 09:49



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Bonjour à tous

Bon courage à ceux qui travaillent.

Pour Sylvie

Tourneur sur bois



Image empruntée au site de D.Chatry des Métiers de nos Ancêtres.


Le tourneur sur bois est un artisan spécialisé dans la réalisation de pièces en bois tourné : fuseaux, pieds de chaises, bougeoirs et autres composants de section ronde.



La technique du tournage sur bois, attestée en 1350 avant J.C. en Egypte, est présente dans d'autres civilisations du bassin méditerranéen (en particulier chez les Etrusques).
on voit ainsi le tournage se développer durant le Moyen-Age en Europe continentale dans le sillage des abbayes.
Avec le développement des villes, la demande s'amplifie et le métier de tourneur s'organise. Les premières corporations apparaissent. Le métier de tourneur s'émancipe au XVème siècle et le tournage acquiert ses lettres de noblesse et sa place au sein des métiers d'art pendant la Renaissance française.



Vers 1830, la tournerie est une des premières activités à se mécaniser pour produire en série pieds de chaise, écuelles, chandeliers.
Les grands ateliers qui transforment l'artisan en ouvrier concurrencent durement la production traditionnelle issue d'une activité complémentaire à l'agriculture.




La technique du tournage consiste à mettre en rotation sur un tour une pièce de bois à laquelle on donnera une forme à l'aide d'outils tenus à la main : gouges, bédanes, racloirs ... La pièce de bois est tenue entre deux pointes .Autrefois l'entrainement se faisait au pied par un système de bielle manivelle actionné par l'ouvrier.
A l'aide de gouges et de ciseaux de différentes formes appliquées sur la pièce, l'ouvrier enlève progressivement le bois pour obtenir le profil désiré matérialisé par un gabarit.

Actuellement, la piece de bois est tenue entre une pointe et un mandrin dans les tours modernes où l'entrainement se fait par un moteur électrique.

Pour la technique voir ce lien:

http://www.tourneursurbois.ch/

Quelques réalisations en bois tourné:


Une chaise de coin. Un rouet.



Un lutrin. Une balustre d'escalier.

Quelques objets utilitaires et décoratifs:



Bonne journée.




:bisou:
Benedicte.V5
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Envoyé le: samedi 6 décembre 2008 12:04



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Bon week-end Joelle

:bisou:
joepiednoir
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Envoyé le: samedi 6 décembre 2008 13:41



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Bon week end Béné,

Cet aprem Téléton,

Bisous à lundi

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Benedicte.V5
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Envoyé le: samedi 6 décembre 2008 18:49



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:bisou:
christ.L12
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Envoyé le: samedi 6 décembre 2008 19:23



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bonne soirée

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christ.L12
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Envoyé le: samedi 6 décembre 2008 20:57



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Le mesureur de grains était avant tout un bourgeois de la ville ....!

Mesureur de grains dit //mesureur juré // intervenait à partir d'un setier de blé .(boiseau ).
..il était un agent de l'administration qui jouait le rôle d'intermédiaire entre acheteur et marchand (de nos jours un peu les cours de la bourse les marches a la crié )

Pour exercer en tant que mesureur , il devait avoir le congé du prévôt des marchands qui choisissait en effet ces jures qui devaient être des hommes de bonne vie et de bonne m?urs .

Cette charge était interdite aux femmes et aux clercs ;une fois sélectionnés ,il devait prêter serment de se conformer aux ordonnances et verser 10 livres

Le mesureur juré ,mesureur de blé était exempt de la maitrise et ne possédaient ni compagnons ni apprentis ,en deux mots ni vendeur ni acheteur !

Les vendeurs choisissaient en toute liberté leur mesureur et leur payaient un droit fixé par les règlements qui pouvait être en deniers ou en nature .

Le mesureur 'lors d'une rétribution en nature ,il n'avait pas le droit de revendre le blé qu'il avait reçu en guise de paiement .

Pour éviter toute infraction au règlement ,chaque mesureur devait déclarer tous les samedis au clerc de la prévôté ,le prix du blé dans chaque marché

Le mesureur devait être intègre ,il devait veiller à la qualité des grains et informer au plus tôt le prévôt en cas de problème d'embouchure ,qui veut dire d'avoir des divers qualité de blé dans le même tas !!

Le mesureur malhonnête était fortement sanctionné ,des dommages des amendes pour non déclarations des embouchures .....la confiscation la destruction de ces mesures devant sa maison

Ah un petit complément ,le mesureur utilisait des récipients de formes variables ,au début carrés puis ronds .
Cette modification visait à ne léser le client puisque la forme carrée empêchait de vider les grains coinces dans les angles !





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christ.L12
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Envoyé le: dimanche 7 décembre 2008 07:27



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bonjour

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Benedicte.V5
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Envoyé le: dimanche 7 décembre 2008 10:02



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Bonjour à tous

bravo et merci à notre meunier Christophe pour le mesureur de grains.



:bisou:
Benedicte.V5
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Envoyé le: dimanche 7 décembre 2008 15:30



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Benedicte.V5
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Envoyé le: dimanche 7 décembre 2008 22:45



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Merci Jean pour ce joli conte de fée....





mais maintenant il faut aller dormir...

Bonne nuit. A demain.

:bisou:
joepiednoir
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Envoyé le: lundi 8 décembre 2008 08:24



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Bonjour, Béné, Jean et tout le monde,

Bisous rapide avant de partir à la gym, dans le brouillard.......




Bonne matinée à+

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Envoyé le: lundi 8 décembre 2008 10:52



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Bonjour à tous

Merci Joelle pour le ptidej...


Plombier-zingueur

Artisan, ouvrier qui exécute des travaux de plomberie et de zinguerie




Histoire

Il est probable que les plombiers aient fait partie jadis de la corporation des couvreurs
L'art du plombier remonte aux premiers siècles du Moyen Âge, et se perpetue sans déchoir jusqu?à la Renaissance. Sous les rois mérovingiens, on couvrait déjà de plomb des édifices entiers.Leur plomb, imparfaitement épuré et renfermant une assez notable quantité d?argent et d?arsenic, était en outre beaucoup meilleur que le nôtre, beaucoup moins sujet à se piquer et à s'oxyder.
Les premiers statuts des Plombiers leur furent donnés par Henri III au mois de mars 1548., Louis XIV les renouvela en juin 1648.
Il y avait des plombiers couvreurs etdes plombieres fontainiers.


Les statuts des Plombiers-Fontainiers nous indiquent que ?chaque maître pouvait avoir à la fois deux apprentis, el la durée de 1'apprentissage était de quatre années; les fils de maître servaient deux années seulement, et chez leur père.
on ne devait engager ni apprenti, ni ouvrier « repris de justice pour larcin ou autre action indigne d'une personne capable d'être employée pour le service du public. » Les ouvriers étaient astreints au travail de cinq heures du matin à sept heures du soir, sans discontinuation que pour prendre leur réfection honnête el nécessaire. »
Tous les apprentis aspirant à la maitrise devaient faire « Chef-d?ouvre de leurs propres mains, » en la maison d'un des Jurés. Les fils de maître étaient seulement tenus de l'Expérience.
Chaque maître devait timbrer ses ouvrages d'une marque particulière.
La veuve pouvait continuer le commerce de son mari, « à charge de prendre un compagnon expert au fait du métier. »
La corporalion était administrée par un Principal que les Bacheliers el Jurés en charge élisaient pour un an , et par deux Jurés élus pour deux ans « à la pluralité des voix de tous les maitres . » LesJurés devaient faire chaque année six visites genérales , pour chacune desquelles ils recevaient une indemnité de cinq sous. Les amendes infligées pour contravention aux statuts allaient, partie aux Jurés, partie au couvent des pauvres religieuses de Notre-Dame de Saint-Cyr, au val de Gallie, proche le château de Versailles, partie à la confrérie de la Sainte Trinité et aux malades du métier car les vapeurs du plomb sont de périlleuses conséquences et plusieurs desdits maîtres sont perclus de leurs membres et estropiez jusqu?au point de finir leurs jours dans les langueurs après avoir travaillé quelque temps dans lesdits ouvrages?
En 1688, le Plombier du Roi portait le nom prédestiné de Desgoutières. Le sieur Denis était premier Fontainier du Roi; ses deux fils exerçaient leur art l'un au château de Versailles, l?autre au Trianon.
Le nombre des maîtres était de 40 en 1725, de 50 en 1770 , et de 42 en 1779 . Le brevet d'apprentisaage coûtait 60 livres et la maîtrise l,000 livres, somme que I?édit de 1776 abaissa à 500 livres.
La corporation était placée sous le patronage de le Trinité.?











Bonne journée

:bisou:
Benedicte.V5
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Envoyé le: lundi 8 décembre 2008 12:01



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En effet Sylvie,pas d'égoutier jusqu'a présent....mais je vais laisser à Joelle le soin de s'en occuperLaughing


:bisou:
joepiednoir
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Envoyé le: lundi 8 décembre 2008 15:31



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Pas facile de trouver quelque chose de pertinent sur le métier (ancien) d'égoutier.

Les égouts des villes se visitent de plus en plus et les sites ne donnent guère de détails sur le travail d'autrefois.

Alors restons modernes, pour la description du travail d'égoutier et une galerie de photos anciennes qui nous donnera quand même une petite idée de leur ur labeur.

L'âpre labeur des indispensables égoutiers


Ils frottent, grattent et récurent les entrailles de la ville. Ils sont égoutiers et entretiennent, à Nantes, un réseau de 345 km. Un travail ingrat et méconnu.
« Ne jetez pas vos lingettes dans la cuvette des toilettes ! » C'est le cri du coeur des égoutiers. La pratique, fort répandue, fait de terribles dégâts au coeur des égouts. Elle est même devenue la bête noire des égoutiers nantais dont elle encrasse jusqu'au matériel de nettoyage. « Regardez-moi ça », lâche, dépité, l'agent Loïc Gicquel. « Et il y en a de plus en plus... » Dans la lueur de sa lampe-torche, des paquets de lingettes sales, propre à vous retourner le coeur...

Samedi, à l'heure où les boulangeries s'éveillent. Dans les entrailles de Nantes, une poignée de visiteurs casqués arpente bravement les égouts du centre-ville. L'odeur nauséabonde a vite chassé le parfum des croissants. La torche éclaire faiblement les boyaux. Il faut se pencher pour marcher, prendre garde de ne pas glisser. Ne pas penser aux rats... À hauteur du passage Pommeraye, un spécimen rondouillard pendouille dans un coin. Les rats ? Ils vivent en bande, farfouillent dans les vieilles caves abandonnées, et, contrairement à ce qu'on pourrait penser, sont d'une grande propreté.

La dératisation est l'une des missions des égoutiers. Pas la plus simple... « Mais tout est dur dans ce métier, relève Loïc Gicquel. Chaque jour, on soulève des plaques de fonte de 70 kg pour accéder au réseau. on nage dans l'eau sale, parfois jusqu'au-delà de la ceinture. Et on se retrouve à quatre pattes pour nettoyer des boyaux de 120 cm de diamètre... »

Et il y a les risques du métier. Un gaz inodore et fatal (le H2S) dont il faut se prémunir coûte que coûte. Les morsures de rat. Les pollutions. Les pluies diluviennes. Il y a quelques années, deux égoutiers ont été emportés par le courant du côté de l'Erdre. L'un d'eux est mort noyé.

« Ne plus raisonner tout à l'égout »

Pour épurer le réseau nantais (345 km dont 110 km de nettoyage manuel), les égoutiers pratiquent la bonne vieille méthode du brossage au balai. Ils grattent aussi les parois à la racle et nettoient les siphons à l'aide de curettes. Ça, c'est pour les parties accessibles (lorsque le boyau fait 1,20 m de hauteur). Les endroits inatteignables sont décapés à l'aide d'un camion d'hydrocurage et d'aspirateurs qui retirent sables et boues.

À Nantes, les gars de l'ombre (trois équipes de six) sont sous terre dès 6 h. Ils retrouvent l'air libre à 13 h. « Les gens oublient qu'on est là-dessous en train de gratter, souffle Yann Fonteneau. Ils ne voient pas le boulot que ça représente. »

Alors comment faire pour penser un peu à ceux qui écument la saleté du monde ? « Surtout ne plus raisonner tout à l'égout ! » supplie Jacques Bossis, de la direction de l'assainissement. Se retenir donc de jeter dans l'évier ou les toilettes peintures, huiles de vidange, acides, cyanures, hydrocarbures, médicaments, white-spirit... Et bien sûr les redoutables lingettes.

Isabelle MOREAU.



"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
mes recherches : TAMISSIER(55-23) - LAJOUX(55) - PERSIN(55)-(52)- CHAUVIN (23) - LAURENT (52)
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joepiednoir
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Envoyé le: lundi 8 décembre 2008 15:41



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LES EGOUTS DE PARIS


Egoutiers


visite des égouts de Paris en 1903



Grand collecteur du centre dans les Egouts de Paris (intersection du boulevard Sébastopol et de la rue de Rivoli), vers 1910.


le bateau vanne


la chambre de rendez vous


la machine à draguer


la boule de curage



relevage de la vanne


les bottes d'égoutier


les lampes


poussage des déchets à la pelle



les égouts aujourd'hui


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Benedicte.V5
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Envoyé le: lundi 8 décembre 2008 16:14



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Hiding Joelle

Sur les égouts... un extrait des Misérables Victor Hugo (1862)Livre V,l'intestin de Léviathan:

Taper : Les Miserables TV L2 sur votre moteur de recherche... (le lien direct ne marche pas)

:bisou:
joepiednoir
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Envoyé le: lundi 8 décembre 2008 19:03



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Les services des égouts ont pratiquement toujours combattu les rats. Chaque égoutier tuait entre 2.000 et 3.000 rats par an à la fin du XIXe siècle. Une ?prime à la queue? aujourd?hui remplacée par une ?indemnité pour la destruction d?animaux nuisibles? les motivait. Eradiquer totalement cette population n?est néanmoins pas recherché, leur gloutonnerie en détritus participe en effet à l?assainissement du réseau.


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joepiednoir
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Envoyé le: lundi 8 décembre 2008 20:49



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bonne soirée

bisous à demain

"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
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Benedicte.V5
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Envoyé le: lundi 8 décembre 2008 22:31



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Entre le plombier et l'égoutier, aujourd'hui on était dans les canalisations...Blink c'est la pluie qui vous inspire?Mr. Green

Bonne nuit

A demain

:bisou:
Benedicte.V5
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Envoyé le: mardi 9 décembre 2008 10:37



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Bonjour à tous

Jean, chantant de bon matin...?

Chantre

Celui qui chante au lutrin dans l'église.





Les ch?urs des chantres sont constitués d'hommes et de garçons, les premiers étant professionnels, les seconds étudiant pour le devenir tout en pratiquant leur art sur le terrain. A cette époque, à 14 ans, les élèves chantres lisaient couramment le latin et le grec, et étudiaient le contrepoint.
Ces ch?urs, lors des exécutions, étaient très réduits : à peine une dizaine de musiciens, adultes et enfants, chantant ou jouant d'un instrument, souvent moins. Cet effectif ne sera supérieur que dans de très rares cas.


Chantres au XVème siècle.

Les enfants recevaient leur éducation musicale au sein d?une école de chant. A partir du Xlllème siècle, les écoles de chant subirent des modifications et changèrent souvent de nom : le terme de scola, qui venait du vieux latin, fut remplacé par celui de de maîtrise, par extrapolation de la fonction du maître de chapelle qui avait la maîtrise d'une église, ou encore de chapelle.


La maîtrise atteint son apogée aux XVllème et XVlllème siècle quand les chanoines mirent les postes de maître de musique en concours et sollicitèrent ceux-ci à l'extérieur.
De ces maîtrises, de nombreux musiciens n'allaient pas tarder à en sortir, composant, jouant à leur tour pour les églises comme pour les cours.


A la Révolution Française, les maitrises, comme beaucoup d?autres choses. sont emportées par la tourmente.


Peu après la Révolution les maîtrises sont quasiment inexistantes. C'est à Napoléon-Bonaparte que l'on doit leur renaissance, grâce à une subvention accordée à partir de 1810. Mais 20 ans plus tard son montant avait fortement diminué, et elle devait par la suite fondre comme neige au soleil jusqu'à la disparaître complètement en 1905...



Vêtus de surplis particuliers qui les distinguent des autres clercs, mais aussi de calottes, ces chantres du début du XIXe s. ont retrouvé les usages d'avant la Révolution.
Le caricaturiste montre une des configurations possibles d'une chapelle musicale de l'époque, avec un serpent comme instrument de renfort de la voix de basse.
Mais il s'est évidemment saisi d'une réalité concernant les "grimaces" des chantres, et ceci nous en dit long sur leur pose de voix. Ils utilisaient la "voix de poitrine" recommandée pour le chant ecclésiastique, c'est-à-dire la voix naturelle produite sans effort particulier des muscles de la gorge, et non la voix de tête. En revanche ils forment une résonance en reculant la langue pour former une cavité intérieure (technique dite "de la patate chaude" !) afin de gagner de la résonance dans le médium grave, mais le fait de découvrir les dents par un mouvement des lèvres indique qu'ils cherchent surtout à produire un médium aigu sonore, travaillant la diction pour ainsi dire sur les dents. Leurs voix étaient ainsi intelligibles dans la nef sans efforts importants.

Au cours du XIXe s., le nombre de trois hommes et trois enfants était considéré comme un effectif suffisant pour une église modeste, et dans les grands édifices on perpétue le modèle séculaire du petit groupe de chantres, formé de quelques hommes et jeunes élèves.
La tenue des chantres adultes est la soutane et le surplis, mais celui-ci est sans manches. Ils portent sur la tête un calot. Les enfants sont en soutane rouge et surplis. Ils portent sur la tête une calotte de même couleur.Tous chantent au lutrin.


Le Grand Chantre: Nom d'un dignitaire qui est le maître du choeur présidant au chant dans une église cathédrale ou collégiale et dans les chapitres. Il porte la chape et le bâton dans les fêtes solennelles et donne le ton aux autres en commençant les psaumes et les antiennes. Le chantre porte dans ses armoiries un bâton de choeur derrière l'écu pour marque de sa dignité.


Bonne journée



:bisou:
joepiednoir
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Envoyé le: mardi 9 décembre 2008 17:13



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Bonjour béné, Sibie, Jean et tout le monde,

Pas eu le temps de venir aujoud'hui. Débordée, comme d'hab.

Bravo à Béné pour le chantre.

Je vous souhaite une agréable soirée, et j'espère venir plus tôt demain.

Bisous

à+

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Benedicte.V5
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Envoyé le: mardi 9 décembre 2008 19:01



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Hiding Joelle

Bonne soirée à tous

:bisou:
christ.L12
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Envoyé le: mercredi 10 décembre 2008 05:50



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bonjour

patronymes sur 57 Rall,Neufint/T&#228;nny/Boltz/Bossert/Theobald/Scheuer/
Kiehl/Geisler/Dumolt/Walter/Stenger/Burgun/Schwoerer/Lehmann
patronymes sur 67 Rall/Woelffel/Muller/Simon/Wattron/Zehner/Fritsch/Lux/Martin/Dumolt/Hilt
patronymes sur le luxembourg Boltz/Kiehl/Bernard/Sosson/Jung/Wagner/Medernach/Hansen
Benedicte.V5
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Envoyé le: mercredi 10 décembre 2008 10:27



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Bonjour à tous

Blink Jean, je crois que c?est toi le tansmetteur de pensées! Regarde de qui je venais vous parler aujourd?hui: un membre de cette même charmante famille...... d?ailleurs tes télépathes ne seraient-ils pas parents avec elle?



Voyant (e)

Celui ou celle qui a le don de voir des événements se déroulant ailleurs ou même dans le passé ou dans le futur




Depuis les premiers temps de l'Humanité, on a toujours cherché à connaître l'inconnu, chercher à voir l'invisible...Tout est affaire de croyance!
En tout point du monde, aujourd'hui comme hier, l'homme aspire à savoir.Savoir quoi?Savoir son destin, mais pas seulement, comprendre le destin de l'humanité, le sens de la vie...etc



Les hommes de la Préhistoire déjà, pratiquaient une forme de divination archaïque et très proche de la magie et de la croyance religieuse.Il s'agissait de méthode simples comme d'interpréter la forme de tels ou tels objets, le dessin formé par des petis cailloux dans du sable, les mouvements des oiseaux... la voyance au Néolithique était pratiquée par des chamans; on la trouve encore aujourd'hui dans les peuplades primitives.

A l?époque de la haute antiquité, la voyance était un domaine réservé aux prêtres qui dispensaient leur savoir aux grands de ce monde. L? astrologie était alors considérée comme une science au même titre que l?astronomie ou les mathématiques. Le premier devin "reconnu" se nomme Kassim (El-Kassim, Bel-Kassim ou Kassem). Kassim était l?astrologue du roi de Babylone : Hammourabi, vers 1750 avant Jésus Christ. Ce devin utilisait l?extispicine (voyance par les entrailles de mouton) et la lécanomancie (prédiction par les taches d?huiles sur l?eau) pour prédire l?avenir au roi.


La Sibylle de Delphes, fresque de Michel-Ange

Dans la Grèce antique, les fameuses pythies de Delphes utilisaient des supports plus variés et moins célestes pour procéder à la divination, jusqu'aux entrailles d'animaux sacrifiés. Ce qui est surtout notable à ce propos, c'est que les pythies sont la première trace d'une « voyance institutionnelle ». Elles pratiquaient, en effet, de façon tout à fait officielle, dans le cadre du Temple et pour le compte de tous, y compris des puissants.
Dans la Rôme antique vers 500 avant Jésus Christ, les voyants tirent leur savoir d?origines étrusque (Haruspices), chaldéenne (Astrologues) et égyptienne. Vertène et Mystratès sont deux devins Romains qui ont laissé leurs traces dans l?histoire de la voyance. Ils utilisaient les entrailles d?animaux, les astres et les phénomènes météorologiques comme supports de prédictions.


représentation d'un haruspice. Voltera, IIe siècle av. JC

Les haruspices allaient jusqu'à participer aux procès, cherchant dans les entrailles d'animaux sacrifiés, là encore, la preuve de l'innocence ou de la culpabilité d'un accusé.



En Égypte, du 4ème au 1er siècle avant Jésus Christ, l?astrologie connaît un grand succès au travers de l?ouvrage Néchepso-Pétosiris. Ce livre contient des tables astrologiques qui ont pour rôle de prédire l?avenir. Harkhébis un prêtre savant et Chaerémon un scribe sont deux devins qui contribuèrent au melting-pot entre l?astrologie et l?astronomie. L?utilisation des sciences au travers de ce melting-pot donna de la crédibilité à leurs prédictions.


L'Amérique centrale, dans ce qui n'était pas encore les civilisations aztèque ou maya, voyait elle aussi le développement d'une astrologie divinatoire. Elle avait pour but de prévoir les événements futurs politiques, religieux et météorologiques. Il semble que cette astrologie ait été particulièrement élaborée dans les civilisations précolombiennes, même si nous n'en connaissons aujourd'hui pas toute la complexité et tous les rites associés.



Au début de l'ère chrétienne, chaque peuple et chaque pays avait ses pratiques propres de divination. C'est par exemple à cette époque que le Yi King fait son apparition en Asie. Il s'agit alors d'une technique de prédiction basée sur des phénomènes naturels aléatoires formant des dessins que l'on interprétait. Craquelures des carapaces de tortues séchées, disposition de brindilles lâchées à la façon du jeu de Mikado, jets de cailloux ou de pièces de monnaie, etc. La lecture est complexe et se base sur les figures et combinaisons de figures décrites dans le « Livre des Mutations », référence du Yi King.
Le Yi King, en occident, s'est souvent développé à la suite d'effets de mode. Il reste malgré tout plutôt ancré dans la culture asiatique.
Notons également, dans le monde scandinave et germanique, l'apparition de la divination runique.


Runes

Il s'agissait d'une technique de prédiction intégrée à l'alphabet de ces peuples, dont la substance symbolique était indissociable de leur utilisation dans l'écriture. Cette discipline de la voyance est encore pratiquée de nos jours, souvent plus par effet de mode que par réelle tradition.


La rupture entre l?astrologie et l?astronomie est marquée par Hypparque de Nicée, un savant Grec de l?antiquité qui s?intéressa toute sa vie à ces deux domaines. Il établi les différences entre l?astrologie et l?astronomie à la fin de sa vie. Après Hypparque les recherches en astrologie furent moins importantes. Ce domaine tomba s?approcha de plus en plus de celui de la voyance.


Ptolémée

L?un des derniers mathématiciens qui effectua des recherches en astrologie est Claude Ptolémée au 2ème siècle. Il attribua des qualités aux signes du zodiaque et popularisa ainsi l?astrologie. Il est notamment l?auteur des ouvrages Tétrabible et Centiloque qui sont toujours considérées de nos jours comme des références par les voyants.



Contrairement à ce que l'on croit généralement, le développement de l'astrologie au Moyen-Âge, loin d'être condamné par l'église, fut d'abord favorisé. Les croyances d'alors voyaient dans les astres des objets abritant des anges, la terre étant encore plate ! Le mouvement de ces objets céleste étéait un indice de la volonté divine et de l'ordre voulu par Dieu. on tenait donc cette « science » en grande estime, et la hiérarchie religieuse n'était pas la dernière, loin de là, à s'intéresser aux oracles ainsi produits.


L?Astrologue, par Vermeer.

C'est à cette époque que le ciel symbolique est découpé de façon conventionnelle en différentes constellations et maisons, celles-là-même que les astrologues actuels utilisent encore aujourd'hui.
Dans la société d'alors, le mysticisme imprègne tout, y compris les sciences, et la symbolique de l'astrologie est très forte. Il ne sert donc à rien de nos jours d'ironiser sur un découpage du ciel qui paraît fantaisiste à l'astronome contemporain, la part symbolique étant certainement plus importante que la réelle géographie céleste dans la détermination des limites zodiacales. on peut d'ailleurs faire un parallèle avec l'alchimie, l'astrologie étant alors à l'astronomie ce que l'alchimie est à la chimie : son pendant symbolique et mystique.
C'est donc au Moyen-Âge que la notion d'horoscope apparaît, et elle perdurera avec succès jusqu'à nos jours.



Souvenons-nous également de Nostradamus, astrologue fameux et reconnu qui, par une synthèse entre religion et astrologie, a bâti une oeuvre encore abondamment commentée à l'époque actuelle. Il y décrit des événements que les exégètes n'ont pas fini de décoder, puisque la fin du monde, point capital de cette oeuvre, change régulièrement de date selon la personne qui interprète les textes.
Déjà, Nostradamus conseillait les puissant de son époque, friands comme le bon peuple de ses prédictions.



Le Siècle des Lumières, même s'il a mis en avant la science et la rationnalité, n'a pas fait disparaître la voyance.
Aux XVIIe et XVIIIe siècle, la Cartomancie surtout prend son envol en France, avec de célèbres "voyants" comme Etteilla (anagramme d' Alliette), , Edmond, ou Mlle Lenormand, qui découvriront la destinée de personnages comme Robespierre, Napoléon, Dumas, Marie de Médicis...etc L'art divinatoire fait son entrée dans la cours des "grands"!


Mlle Lenormand et Napoléon.

Cependant, il reste "officiellemnt" interdit en France de pratiquer la "bonne aventure", et elle ne reste associée qu'aux Bohémiens quisont souvent persécutés. C'est d'ailleurs à eux que l'on doit la plupart des techniques de divinations.




La voyance a opéré un retour en force à notre époque. Face à une rationnalité omniprésente et trop sèche pour certains, le surnaturel fascine et permet d'échapper au tout-scientifique. Les domaines comme l'affectif, l'amour et la mort tenant encore et toujours en échec la médecine et la science, c'est tout naturellement que certains de nos contemporains se tournent alors vers les arts divinatoires.
De nos jours, c'est la vague New-Age, venue des Etats-Unis, qui alimente l'engouement pour les sciences occultes dont la voyance fait partie. Cette réaction au scientisme du XXème siècle, avec l'avènement de l'ère du verseau, consacre sans doute un nouvel âge d'or de la voyance.



Bonne journée




:bisou:
Jean-Marc.L30
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: mercredi 10 décembre 2008 11:52



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Messages: 937
Bonjour Jean, Bénédicte, Joêlle, Sibie, Kty, Christophe et ceux que j'aurais oublié.:bisou:
Hé bé! vous n'avez pas chômé à ce que je vois!8)
Merci à Jean et son incroyable talent de conteur.bravo
Moi aussi, je suis capable de faire des prédilections Mr. Green :
Je vois dans mon horloge murale que d'ici peu de temps beaucoup d'hommes et de femmes vont se restaurer. Chef
Je vois également que vers le 25 décembre, il y aura des cadeaux de distribués!ange
Un peu d'humour avant de reprendre mes cours.Book
A plus.

joepiednoir
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: mercredi 10 décembre 2008 13:00



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Messages: 4 142
Bonjour béné, et tout le monde,

Jean Marc tu n'aurais pas voulu dire "prédictions"!!!!!!!!!

Bravo Béné pour l'article sur la voyance.

Bon appetit à tout à l'heure.

"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
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joepiednoir
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: mercredi 10 décembre 2008 13:21



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LES BANQUISTES



Le mot « banquiste » est dérivé de l?italien saltimbanco (saltare in banco, sauter sur un banc). Il est lié à la nature des sauts de l?acrobate, aux noms parfois pittoresques (saut du singe, du lion, saut périlleux, saut mortel...). Héritiers des sauteurs égyptiens, des acrobates grecs et des jongleurs romains, les banquistes constituent la première population artistique itinérante, dispersée sur les routes de l?Europe après la chute de l?Empire romain.


jongleur


l'escamoteur


Se joignent à eux des aventuriers épris de liberté, des gentilshommes ruinés (le capitaine Fracasse de Théophile Gautier), des larrons fuyant la justice : ils forment ainsi des troupes bigarrées sujettes à la méfiance des villageois.


acrobates

Comme les romanis, les banquistes ont une haine farouche du paysan avare et mesquin, qui peine à ouvrir sa bourse et dont le nom devient une injure chez les gens du voyage.
Sont banquistes les jongleurs, les mimes, les danseurs de corde, les illusionnistes, les montreurs d?animaux et de marionnettes (corporation florissante du XVIe au XVIIIe siècle). Ils vont de château en forteresse, de foire en foire, pour gagner leur pitance.


l'homme le plus fort


À la morte-saison, certaines troupes prennent l?habitude de retourner dans la région de Bergame, devenue à l?époque classique le principal foyer européen de formation des danseurs de corde.


fil de feriste

Au XVIIIe siècle, sur le modèle de Philip Astley, les banquistes s?associent avec des cavaliers, anglais ou espagnols, et forment ainsi les premières troupes de cirque. Quelques dynasties ont traversé l?histoire : Chiarini, Lee, Price, Clarke, Zavatta et Knie.


bario


"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
mes recherches : TAMISSIER(55-23) - LAJOUX(55) - PERSIN(55)-(52)- CHAUVIN (23) - LAURENT (52)
PIEDNOIR(53)- TORTRAT(45-18) - JOUBARD(56) - STOPHE(75-77-78 et suisse ) - GRANDIERE(53-75)-DUCLOS (56) - GIQUEL (56) - LAGROUAIS (56)
SAVARD (45 et 18)- RAIZE (77 - suisse) Joliat (suisse)
joepiednoir
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Envoyé le: mercredi 10 décembre 2008 13:22



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à lire un document sur la fête foraine

http://www.museedelamagie.com/h_pages/pedehef/expo_forain%20.pdf

"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
mes recherches : TAMISSIER(55-23) - LAJOUX(55) - PERSIN(55)-(52)- CHAUVIN (23) - LAURENT (52)
PIEDNOIR(53)- TORTRAT(45-18) - JOUBARD(56) - STOPHE(75-77-78 et suisse ) - GRANDIERE(53-75)-DUCLOS (56) - GIQUEL (56) - LAGROUAIS (56)
SAVARD (45 et 18)- RAIZE (77 - suisse) Joliat (suisse)
christ.L12
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Envoyé le: mercredi 10 décembre 2008 18:16



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coucou

qui connait Bertrand LOTTH ???

http://www.bertranlotth.fr/contact/index.htm

moi oui et vous savez pourquoi ?

c'est facile !!!! je suis son F-----R


patronymes sur 57 Rall,Neufint/T&#228;nny/Boltz/Bossert/Theobald/Scheuer/
Kiehl/Geisler/Dumolt/Walter/Stenger/Burgun/Schwoerer/Lehmann
patronymes sur 67 Rall/Woelffel/Muller/Simon/Wattron/Zehner/Fritsch/Lux/Martin/Dumolt/Hilt
patronymes sur le luxembourg Boltz/Kiehl/Bernard/Sosson/Jung/Wagner/Medernach/Hansen
Benedicte.V5
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Envoyé le: mercredi 10 décembre 2008 18:39



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Je vois qu'on a continué à faire la fête....



Forain; Bateleur, acteur ambulant, marchand dans une fête foraine.




BateleurRazzersonne qui divertit sur la place publique par ses tours d'adresse, ses bouffonneries




:bisou:
Jean-Marc.L30
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Envoyé le: mercredi 10 décembre 2008 18:45



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Bonsoir Sibie.:bisou:
Mes révisions, ça rentre ... avec plus ou moins de mal. Merci pour les aspirines.:bisou:
Joêlle, c'est bien prédictions que je voulais dire.Embarassed
A force de lire tant et plus, je ne sais plus ce que j'écris...fou
Bonne soirée.
christ.L12
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Envoyé le: mercredi 10 décembre 2008 20:09



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bonne nuit

patronymes sur 57 Rall,Neufint/T&#228;nny/Boltz/Bossert/Theobald/Scheuer/
Kiehl/Geisler/Dumolt/Walter/Stenger/Burgun/Schwoerer/Lehmann
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patronymes sur le luxembourg Boltz/Kiehl/Bernard/Sosson/Jung/Wagner/Medernach/Hansen
joepiednoir
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Envoyé le: mercredi 10 décembre 2008 20:59



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Bonne soirée à tous et à demain



"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
mes recherches : TAMISSIER(55-23) - LAJOUX(55) - PERSIN(55)-(52)- CHAUVIN (23) - LAURENT (52)
PIEDNOIR(53)- TORTRAT(45-18) - JOUBARD(56) - STOPHE(75-77-78 et suisse ) - GRANDIERE(53-75)-DUCLOS (56) - GIQUEL (56) - LAGROUAIS (56)
SAVARD (45 et 18)- RAIZE (77 - suisse) Joliat (suisse)
Benedicte.V5
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Envoyé le: mercredi 10 décembre 2008 22:04



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Bonne nuit à tous

A demain

:bisou:
Benedicte.V5
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Envoyé le: jeudi 11 décembre 2008 10:54



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Bonjour à tous


Général de brigade est un grade militaire de certaines armées, le premier dans l'ordre des officiers généraux. Il se situe après celui de colonel et avant celui de général de division.
Un général de brigade, s'il est affecté à une mission de « terrain », commande habituellement une brigade, unité composée de plusieurs régiments. Les régiments comptant en moyenne environ 1 000 hommes, une brigade rassemble en général une dizaine de milliers d'hommes. Toutefois, leur effectif peut être d'autant plus réduit que le métier sera spécialisé.
(wikipedia)


Comme exemple,à cette époque



Généralde Brigade Antoine Chanzy (1823-1883)

Mais,Jean, si tu avais une photo de cet ancêtre en uniforme...encore mieux...

Bonne journée



:bisou:
Benedicte.V5
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Envoyé le: jeudi 11 décembre 2008 18:09



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Flex tout seuls aujourd'hui?Sad

Bon, on va faire un break jusqu'après les fêtes....





:bisou:
Benedicte.V5
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Envoyé le: jeudi 11 décembre 2008 19:10



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WOW Jean....je t'avais bien vu....... tu remarqueras que j'ai écrit tout seuls et pas toute seule.....Wink ...allez reprends tes couleurs....Laughing

:bisou:

Bonne soirée à tous
christ.L12
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Envoyé le: jeudi 11 décembre 2008 20:43



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bonne soirée,

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