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Michel.L2227
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: samedi 9 février 2008 03:01


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Bonsoir la file
coucou Joelle
je ne t'ai pas oublié
je viens d'avoir un pb avec mon ordi il a eu un gros bug, jai perdu quasiment toute mes données... il a fallu reformater le disque dur la cata et toute ma genealogie n'etait pas sur cd ou sur clef usb....
tres grosse galere
mais bon je refais petit a petit
je vais bienntot te donner une petite liste de métiers hihihih.
au fait as tu trouve quelque chose pour mon chapelier parisien?
amitiés
Michel
Benedicte.V5
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: samedi 9 février 2008 10:12



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Messages: 4 963
Bonjour à tous

C'est le week-end....repos; juste une petite image.... de saison:

Le marchand de marrons



:bisou:
Davy.H9
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: samedi 9 février 2008 13:20


Inscrit le: 03/01/2008
Messages: 130
coucou a vous tous,

je voudrais savoir que signifie "susqualifié" est-ce un metier si oui en quoi consiste qu'il ?

je vous remercie,

davy
Benedicte.V5
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: samedi 9 février 2008 14:21



Inscrit le: 11/02/2006
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Bonjour Davy

Bienvenu sur ce fil.

Je ne pense pas qu?il s?agisse d?un métier.

Susqualifié
Si on décompose ce mot, on a :

Sus : adverbe (Vieilli) = dessus
Entre dans la composition de certains mots, avec le sens de ci-dessus;
sus-allégué,sus-énnoncé,sus-visé....
A résisté jusqu'au XXe siècle dans certains contextes

+

Qualifié : Adjectif = Une personne qualifiée désigne (dans ce cas précis) une personne qui a qualité pour agir en telle circonstance.

Ce mot fait donc référence à une personne que l?on a déja nommée, ou dont la qualification professionnelle (ou autre), le statut...etc.. ont déjà été défini ou cité.

Il faudrait voir dans quel contexte vous avez trouvé ce mot.

Cordialement
P.Fontelaye001
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: samedi 9 février 2008 15:47


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Messages: 206
Hiding :hiding

Coucou Joe, coucou Béné

Juste un petit bonjour rapide avant d'aller faire une promenade avec les enfants pour profiter de ce beau soleil

:bisou: :bisou:

Patricia
Benedicte.V5
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: samedi 9 février 2008 16:38



Inscrit le: 11/02/2006
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Bonne promenade Patricia, et si tu vois des ptits oiseaux, pense à eux...


:bisou:
Benedicte.V5
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: samedi 9 février 2008 19:18



Inscrit le: 11/02/2006
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Daniel a écrit:

je souhaiterais connaître la définition du métier de "clerc" qui figure dans l'acte d'un de mes ancêtres.
remerciements


Bonjour Daniel

Clerc:

du latin clericus, signifiant " qui est instruit"


1) Le clerc est un homme d'Eglise, par opposition au laïque. Le clerc est celui qui a une fonction dans l'Eglise. L'ensemble des clercs forme le clergé, qui est le premier ordre de la société du Moyen Age et de l'Ancien Régime.
Au Moyen Age,désigne toute personne d'Église, généralement tonsurée, mais pas obligatoirement ordonnée prêtre (parfois même, il ne dépend pas de l'Eglise).


2)Un clerc est un employé dans une étude d'un officier public ou ministériel.
- Le clerc de notaire est le principal collaborateur du notaire.C'est lui qui, suivant les directives du notaire :
-constitue les dossiers (demandes de pièces d'?urbanisme,d?état civil,...)
-rédige l'acte notarié (dit aussi acte authentique);
-effectue les formalités après signature de l'acte.


-Le clerc, collaborateur du commissaire-priseur habilité ou judiciaire, il peut renseigner sur le déroulement des ventes, communiquer les estimations et prendre les ordres d?achat.

A quelle époque vivait votre ancêtre?

Cordialement
Davy.H9
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: samedi 9 février 2008 23:38


Inscrit le: 03/01/2008
Messages: 130
bonsoir ben,


merci pour la reponse.

voilà le contexte

(le 12/12/1939 deux heures trente minutes,est né au domicile de Eugene Jules BLA..... ,soixante-quatorze ans,sans profession.Fernand du sexe masculin de maurice eugene .......,né a ......et de .Marie ..... ,née à ... dressé le jour susdit,dix heures,sur déclaration de Eugene Jules BLA..... , susqualifié,ayant assisté à l'accouchement, qui lecture faite a signé avec nous.....)

bonne nuit a toute la fil.

davy
Benedicte.V5
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: dimanche 10 février 2008 10:07



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Bonjour Davy

Oui je pense que c'est ce que je vous ai dit. Comme on avait déja ennoncé que Eugene Jules... avait 74 ans,était sans profession, on ne veut pas répéter et on dit:Eugène...,susqualifié....

Bonne journée
Benedicte.V5
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: dimanche 10 février 2008 10:20



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Messages: 4 963
Bonjour à tous

Aujourd'hui c'est dimanche....on fait la grasse matinée.... mais c'est l'heure de se réveiller....voici les cloches et le

SONNEUR DE CLOCHES(clocheux,sonneur,carillonneur...)

Celui qui sonne les cloches, en général d?une église.



"Sonneur de cloche" était une activité d'appoint pour quelqu'un qui en avait plusieurs. Souvent le sonneurl faisait office de bedeau, d'homme à tout faire du curé. Il était des cas où c'était lui qui faisait le tour des fermes pour percevoir telle ou telle dïme.

Les sonneries locales vont ponctuer la vie de nos aieux.Croyants ou non, ils organisent leur journée en fonction de trois angélus quotidiens (matin, midi et soir).


L'Angélus de Millet

Les cloches annoncent les offices religieux (messes,vêpres, administration du Saint Viatique aux malades..) mais aussi le trépas des fidèles (glas) ;elles sonnent aussi pour donner l?alarme en cas de dangers divers, feu, invasions..etc (tocsin)

N?oublions pas dans la littérature, le sonneur le plus connu:

Le Bossu de Notre Dame de Victor Hugo




et la célèbre chanson:

Maudit sois-tu carilloneur
Que Dieu créa pour mon malheur
Dès le point du jour,
A la cloche,
Il s'accroche,
Et le soir encore,
Carillonne plus fort !
Quand sonnera-t-on la mort du sonneur ?
Quand sonnera-t-on la mort du sonneur ?


Et attention, chez nos amis suisses, le sonneur de cloches, ça peut être aussi:




Bonne journée


:bisou:
joepiednoir
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: dimanche 10 février 2008 13:03



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SALUT BEN
C EST MOI QUI VAIS ME FAIRE SONNER LES CLOCHES D NE PAS ETRE VENUE PLUS TOT
MAIS LA FETE HIER AU SOIR C EST TERMINEE EN REALITE TRES TOTCE MATIN ET J EMMERGE A PEINE
BRAVO POUR TOUT
BONNE JOURNEE SOUS LE SOLEIL
A DEMAIN
BISOUS

"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
mes recherches : TAMISSIER(55-23) - LAJOUX(55) - PERSIN(55)-(52)- CHAUVIN (23) - LAURENT (52)
PIEDNOIR(53)- TORTRAT(45-18) - JOUBARD(56) - STOPHE(75-77-78 et suisse ) - GRANDIERE(53-75)-DUCLOS (56) - GIQUEL (56) - LAGROUAIS (56)
SAVARD (45 et 18)- RAIZE (77 - suisse) Joliat (suisse)
Benedicte.V5
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: dimanche 10 février 2008 15:19



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A demain Joelle, repose toi bien.
Demain tu as le chapelier de Michel qui t'attend.....

:bisou:
Davy.H9
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: dimanche 10 février 2008 17:58


Inscrit le: 03/01/2008
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boujour ben,

oui tu avez raison je te remercie, quel beau week end qu'on as eu dommage qu'il soit deja fini.

davy
Benedicte.V5
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: dimanche 10 février 2008 19:43



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Thumb Up
Michel.A56
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: dimanche 10 février 2008 21:25


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Bonsoir à toute cette file si instructive.

J'ai relevé parmi mes ancêtres, dans les années 1650-1680 la fonction de Lieutenant de Prévôté, (Louis XIV a du sévir!).

Si vous pouviez m'éclairer sur cette fonction (qui, à mon avis, n'est pas une profession)

Merci à vous.

Michel
P.Fontelaye001
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Envoyé le: dimanche 10 février 2008 21:33


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Hiding Hiding

Bonsoir Joe, bonsoir Béné

Alors Joëlle, t'es-tu remise de tes agapes d'hier soir??

bonne nuit à tous
bisous

Patricia
Benedicte.V5
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: dimanche 10 février 2008 22:36



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Bonsoir Geneviève,Michel, Patricia

Je vois que vous nous avez préparé de travail pour toute la semaine...
demain on retroussera les manches...
pour ce soir c'est terminé.

Bonne nuit à tous.


:bisou:
Michel.L2227
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: lundi 11 février 2008 00:28


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Bonsoir la file
un petit metier pour Bene ou Joelle...
ESSARTEUR...
ca doir etre dans le domaine agricole d'apres deduction personnelle.
bonne nuit à toute la file
Michelange
joepiednoir
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: lundi 11 février 2008 08:47



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BONJOUR A TOUTES ET TOUS
POUR UNE FOIS LE WEEK END A ETE ANIME ET DU PAIN SUR LA PLANCHE POUR CETTE SEMAINE
UN POIL DE MENAGE ET JE REVIENS DE SUITE POUR LE CHAPELIER DE MICHEL ET L ESSARTEUR
A TOUT A L HEURE
BISOUS

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joepiednoir
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 09:29



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pour michelL227
Pour les chapeliers je t 'avais répondu par mp mais comme tu as eu des pb d'ordi tu n'as pas dû l'avoir
je pense qu'il faudrait que tu t'adresse à la chambr syndicale des chapeliers car cette corporation avait un fort passé mutualistes
j'ai trouve un lien, c'est un format pdf et je ne peux pas le copier


http://www.ihs.cgt.fr/IMG/pdf_Ouvriers_chapeliers.pdf
j'espère que tu trouveras ton bonheur
A+ POUR LES ESSARTEURS

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joepiednoir
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 10:06



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pour michel

ESSARTS - ESSARTEURS

Un essart est un défrichage effectué dans le but d'installer une communauté humaine.

Histoire

La pratique de l'essartage s'est développée en Europe à partir du XIIIe siècle, afin de permettre à une population en augmentation démographique importante de pouvoir subvenir à ses besoins. Le XIIIe siècle est en effet le temps d'un « monde plein », c'est-à-dire que les espaces cultivables sont devenus insuffisants pour nourrir la population. Elle résulte d'un accord entre un ecclesiastique et un propriétaire laïque (souvent un seigneur) : le laïc fournit la terre à défricher, tandis que l'ecclesiastique fournit les essarteurs ( souvent des moines ). Le laïc s'engage aussi généralement à construire une église ou une chapelle sur la terre nouvellement defrichée. L'ensemble de cet accord est un contrat de pariage .

Les moines cisterciens ont été les spécialistes de cette technique. Il s'agissait de trouver un lieu propice à l'installation (proximité d'une source, salubrité, position élevée...) puis de le défricher d'abord par la coupe du bois, l'arrachage des taillis et ronces, puis en le brûlant pour le débarrasser et le fertiliser. Les essarteurs vivaient sur place le temps du défrichage, puis une communauté, généralement venue d'un village voisin, venait terminer le travail et s'installait.



Toponymes

Beaucoup de villages actuels tiennent leur nom de cette pratique. Le nombre de villages nommés Les Essarts, Villeneuve etc. en sont la preuve.

on retrouve les essarteurs chez les scieurs de long ils font partis de la même corporation et se sont souvent les mêmes qui exercent les 2 activites (l'essarteur chez les scieurs de long porte le nom de renard(voir article ecrit dns les pages précédentes)


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Benedicte.V5
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 10:11



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Bonjour à tous

Joelle, remise de la fête?

Pour Geneviève

Sabotier

D?une part,le travail en lui-même du sabotier a déja très bien été décrit et illustré,par Joelle, en page 11.

En ce qui concerne les sabotiers de l?Aisne plus précisement, voici ce que j?ai trouvé:

Contrairement aux bûcherons, les charbonniers et autres ouvriers qui façonnent le bois sont en général des étrangers; employés à l?année par les adjudicatires des coupes, ils vont de forêt en forêt partout où ceux-ci ont besoin de leurs services: tels sont les fendeurs et sabotiers de l?Aisne et de la Nievre qui, renommés pour leur habileté, s?en vont au loin exercer leur industrie.Ils installent leur atelier dans une espèce de hangar en planches, où ils travaillent toute la journée, et se bâtissent pour la nuit des cabanes formées de pièces de bois recouvertes de terre. Ils passent ainsi six ou huit mois de l?année au milieu des forêts, n?en sortant que pour aller chaque dimanche au village voisin renouveler la provision de viande et de pain dont ils ont besoin pour la semaine.
Ces ouvriers formaient autrefois avec les bûcherons des corporations puissantes, connues sous le nom de bons cousins des bois,dans lesquelles on ne pouvaient entrer sans une initiation préalable.Ils avaient des signes mystérieux qui leur permettaient de se faire reconnaître dans tous les pays. (.....) Moins exclusifs que les compagnons des autres corps d?état,ils s?agrégent des personnes de toutes les classes auxquelles ils rendent à l?occasion tous les bons offices possibles et, en cas de persécution, leur ouvrent le sein de leurs forêts comme un inviolable asile.

Etude sur l?économie forestière Jules Clavé (1862)

Il existe un village dans l?Aisne, Buironfosse qui eut une longue tradition de sabotiers du XIIe au début du XXe siècle. Une « Fête du sabot » y est organisée chaque année.
Buironfosse dispose de son propre Musée du Sabot


http://www.gralon.net/tourisme/loisirs-culturels/info-musee-du-sabot-et-du-patrimoine-de-buironfosse-buironfosse-6312.htm

Cordialement
joepiednoir
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 10:21



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POUR BENE ET PAT

OUI JE ME SUIS REMISE DE MA SUPERBE SOIREE HIER CELA A ETE UN PEU DUR MAIS CE MATIN TOUT EST RENTRE DANS L ORDRE.
MON HOMME EST LA TOUTE LA SEMAINE, PAS DE GRAND DEPLACEMENT,
JE NE SERAIS DONC PAS DISPONIBLE LE SOIR OU TRES PEU.


BEN JE PREND LE LIEUTENANT DE PREVOTE

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Benedicte.V5
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 10:31



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Geneviève

Quant au garde-moulin (appelé encore chasse mulet) il s'agit
du valet ou de l'assistant du meunier

Votre ancêtre était donc l'assistant du meunier du village
(paroisse doit ici avoir le sens de communauté villageoise de mème qu' on trouve dans les actes d'avant la Révolution, Untel natif de la paroisse de X...)

Et dans l'Oise il y avait de nombreux moulins à vent... je ne sais pas si c'est le cas pour vous.
Voici un article très interessant:

http://metiers.free.fr/pdf/11.pdf


Cordialement
joepiednoir
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 10:46



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POUR MICHEL A56

LIEUTENANT DE PREVOTE = LIEUTENANT DE POLICE
mais dis moi dans quelle région ? pour que j'adapte ma réponse
à ton cas personnel

"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
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SAVARD (45 et 18)- RAIZE (77 - suisse) Joliat (suisse)
Michel.A56
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 11:23


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Merci beaucoup Joelle,

Il exerçait dans les Vosges, près d'Epinal.

A bientot.

Michel
Benedicte.V5
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 12:09



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Liste des métiers déjà étudiés p15

et 2 images pour Genevieve...


moulin à eau vers 1550



moulin à vent
joepiednoir
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: lundi 11 février 2008 12:29



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MICHEL 56
je n'ai pas trouve la prevote d'epinal
maissur le site de la gendarmerie l'histoire de la prevote en general
voici un extrait
"On constate l'existence de prévôts généraux, dès le XVIe siècle, en Languedoc, en Guyenne, en Bretagne, en Normandie. D'une liste donnée par Montarlot, il résulte qu'en 1613, il existait sept prévôts généraux : , Picardie, Auvergne, Lyonnais, Bourgogne, Dauphiné, Languedoc ; cette liste ne comprend pas la maréchaussée de Bretagne.
Un édit de mai 1637 rétablit le prévôt de Guyenne supprimé depuis 1563. Un édit de novembre 1641 créa un prévôt général dans la généralité de Limoges ; au prévôt étaient adjoints deux lieutenants, quatre exempts, un assesseur, un procureur, un avocat, trois greffiers, cinquante archers, un commissaire, un contrôleur, trois receveurs et payeurs. Cette création fut motivée par l'impuissance des prévôts provinciaux, pris séparément, à réprimer les crimes, violences et excès des gens de guerre. Le mois suivant (décembre 1641), un nouvel édit créa huit prévôts généraux : généralités d'Orléans, Bourges, Tours, Poitiers, Moulins, Lyon, Champagne et province de Metz, Toul et Verdun, Angers ; l'édit se basait sur les contestations qui s'élevaient entre les prévôts provinciaux et le peu d'assistance qu'ils se donnaient les uns aux autres, lorsqu'il était nécessaire de réprimer les désordres des gens de guerre et les émotions populaires ; le même édit créait deux cents archers qui furent répartis entre les huit prévôts généraux nouvellement institués, à raison de vingt-cinq pour chacun d'eux. Les prévôts particuliers pour maintenir les gens de guerre dans le devoir et empêcher ou dissiper les émeutes ; la juridiction du prévôt général s'étendait sur tout le territoire de la généralité, et les prévôts particuliers avaient le titre de lieutenant du grand prévôt.
Il semble que les prévôts provinciaux ne furent pas satisfaits du nouvel état de choses, car un arrêt du Conseil, du 10 décembre 1642, supprima les prévôts généraux créés en 1641 comme étant " à la ruine entière des anciennes maréchaussées du royaume " ; mais ces officiers furent rétablis par une déclaration du 12 janvier 1648 ; dans la suite, le nombre de prévôts généraux s'accrut progressivement et, à la fin du XVIIe siècle, il en existait dans presque toutes les généralités. on en trouve trente et un dans Saugrain, à la date de 1697, non compris le prévôt général de la connétablie résidant à Paris : Champagne, Picardie, Orléanais, Touraine, Anjou, Bretagne, duché de Bourgogne, pays et comté de Bourgogne, Berry, Bourbonnais, Poitou, Limousin, Auvergne, Lyonnais, Guyenne, Haute-Normandie (Rouen), Basse-Normandie (Caen), Dauphiné, Provence, Haut-Languedoc (Toulouse), Bas-Languedoc (Montpellier), Roussillon, Metz, Toul, Verdun, Épinal, Longwy, Sarre, Alsace, Flandre et Hainaut, Artois. Plusieurs de ces prévôts généraux ressortissaient parfois à la même généralité.
Aux termes du règlement des maréchaux de France du 9 septembre 1644, les prévôts généraux avaient, dans les principales villes de la généralité, un lieutenant et des archers en nombre suffisant ; ils passaient, chaque année, une revue générale ou des revues particulières des prévôtés placées sous leurs ordres ; les commissaires et contrôleurs dressaient procès-verbal de ces opérations. Lorsque les prévôts généraux convoquaient les prévôtés particulières pour le service du roi, ils en prenaient le commandement."

pour plus de precision sur l'histoir de la
prevote et de ses lieutenants

http://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr/04histoire/dossierdushd/histoiregendarmerie/larrieu/11p1chapit3.htm


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Michel.L2227
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 12:39


Inscrit le: 11/12/2007
Messages: 527
Merci Joelle
toujours parfaite dans tes reponses...
mon mail perso ............ au cas ou ma mp debloque completement
un renseignement est il possible que le terme commssaire de police existe vers 1840? dans l'herault?
et pour la profession de jardinier toujours dans cette periode et dans le meme departement?
merci Joelle
et un tit coucou à Bene
Bonne journée
MichelBook Smile
joepiednoir
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: lundi 11 février 2008 12:53



Inscrit le: 10/04/2003
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Michel L2227
pour des raisons de securite informatique, ne jamais mettre son e mail ,en clair sur les forums
tu la transcris en occultant @
ok ?

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SAVARD (45 et 18)- RAIZE (77 - suisse) Joliat (suisse)
Michel.L2227
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 13:27


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:bisou:

Merci du tuyau Joelle
à Bientot
Michel
joepiednoir
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 13:35



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Historique rapide des commissaires de police.

on admet communément que l'origine des commissaires de police remonte aux commissaires au Châtelet de Paris, leur rôle étant plus clairement affirmée par l'édit royal de mars 1667. Toutefois, durant tout l'Ancien Régime, ce sont des magistrats exerçant, parmi d'autres, des fonctions de police.

Il faudra attendre la période révolutionnaire pour qu'apparaisse officiellement l'appellation de "commissaire de police". D'abord issu de l'élection, puis nommé par le maire, le commissaire est placé sous son autorité.

Sous le Consulat et l'Empire, se met en place une organisation centralisée de l'administration française. Les commissaires sont désormais placés sous l'autorité du gouvernement central, représenté, à Paris par le Préfet de Police et dans les départements, par les préfets et sous-préfets.

En rupture avec la politique impériale, la Restauration et la Monarchie de Juillet reviennent à une police municipale. Dans la pratique, le pouvoir central conserve une forte influence sur la police et ses fonctionnaires.

La II° République opère un retour radical à la centralisation. Elle tente de renforcer l'autorité de police pour lutter contre les graves troubles économiques et politiques de l'époque.

Le Second Empire, pour asseoir l'autorité et accroître le pouvoir de l'Etat, accentue ce mouvement centralisateur et renforce les moyens d'actions et les prérogatives de la police.

Ce mouvement de balancier politique s'atténue sous la Troisième République par la mise en place d'un système équilibré entre police d'Etat et police municipale. Cette police municipale va décliner au fil des ans, au profit de la sûreté générale.

Les évènements de la seconde guerre mondiale et l'usurpation du pouvoir par le régime de Vichy vont fortement influencer l'organisation de la sécurité. La police est étatisée sur l'ensemble du territoire national.

Rétablies à la Libération, les institutions républicaines vont prolonger l'option centralisatrice et confirmer définitivement le choix de l'étatisation. Le cadre ainsi créé est favorable à l'unification des forces de police. Celle-ci sera réalisée grâce à une loi du 9 juillet 1966 organisant la "Police Nationale" par la fusion de la préfecture de police de Paris et de la Sûreté Générale. Les commissaires de police appartiennent au corps de conception et de direction de la police nationale. Ils assument la responsabilité hiérarchique, fonctionnelle et opérationnelle des services. Deux symboles historiques leur sont attachés : l'écharpe tricolore et l'épée.



L'Ancien Régime.



Le terme de "commissaire" apparaît pour la première fois en 1306 lorsque Philippe le Bel crée, dans Paris, des charges de "commissaire examinateur au Châtelet". Dans un contexte de confusion des pouvoirs, les commissaires de l'Ancien Régime sont des hommes de justice qui exercent aussi des activités de police. Magistrats de l'ordre judiciaire, ils portent la robe longue liée à cette fonction. Ils sont tantôt juges d'instruction, tantôt magistrats du siège. Ils procèdent également, au titre de leur pouvoir de police, à la constatation des infractions aux règles. Ils achètent leur charge et bénéficient de privilèges.

Sous le règne de Louis XIV, l'édit de mars 1667 constitue le véritable acte de naissance de la première institution spécialement chargée de la police. Il tend à séparer les fonctions de justice et de police en affirmant clairement qu'elles "sont souvent incompatibles et trop étendues pour être exercées par un seul homme". Toutefois, le cumul ne cessera vraiment qu'après la Révolution.

L'édit crée une nouvelle autorité : le lieutenant de police. Le premier à en détenir la charge est Gabriel Nicolas de la Reynie. Les commissaires au Châtelet deviennent les principaux collaborateurs de la lieutenance. Orientés fermement vers les missions de police, ils sont alors de véritables "commissaires de police" avant l'heure. Cette réforme sera amplifiée par la mise en place de commissaires de police dans tout le royaume en 1699
.


L'Epoque révolutionnaire.



La police devient municipale. Avec la loi du 27 juin 1790 apparaît le terme de "commissaire de police". Ces commissaires sont des "élus", la règle de l'élection s'étendant alors à tous les domaines de la fonction publique. La loi du 29 septembre 1791 place les commissaires sous les ordres du maire, et institue des "officiers de paix" à leurs côtés.

Cette première police municipale va rapidement décliner. A la fin de la Convention, en 1795, faute de moyens et d'une autorité clairement identifiée, l'institution policière n'existe plus. Elle va commencer à renaître sous le Directoire, grâce à la création du ministère de la police générale en 1796. Cette première tentative de centralisation de l'institution va échouer car le régime est trop faible pour réussir. Depuis mars 1795, les commissaires de police du Directoire ne sont plus élus, mais nommés par les maires, eux-mêmes élus. Ce sont ces maires, et non pas le ministre de la police générale, qui détiennent réellement l'autorité sur la police.


Le Consulat et l'Empire.



Sous le Consulat, une organisation administrative centralisée et hiérarchisée se met en place, avec l'institution des préfets. La loi du 17 février 1800 crée la préfecture de police de Paris qui dirige les commissariats des douze municipalités d'arrondissements ; ce qui favorise la mise sous tutelle de la municipalité parisienne. En province, le dispositif de police urbaine reste largement municipal, mais il va désormais s'appuyer, dans certaines communes, sur des commissaires et des commissaires généraux, nommés par le gouvernement et placés sous l'autorité des préfets ou des sous-préfets. Chaque commune de plus de 5000 habitants est ainsi dotée d'un commissaire de police. Un ou plusieurs commissaires sont affectés par tranche supplémentaire de 10 000 habitants et, à partir de 100 000 habitants, la commune est dotée d'un commissaire général qui ne dépend pas du préfet, mais directement du ministre de la police générale.

L'ensemble de ces commissaires assure, avec l'aide du personnel municipal mis à leur disposition par les maires, la sécurité publique du quotidien. Cette mission prendra au fil des décennies de plus en plus d'importance.

Sous l'Empire, Joseph Fouché, ministre de la police générale, renforce considérablement l'appareil et le quadrillage administratifs de police dans un but de contrôle politique de la population. Le ministère de la police générale passe ainsi de quatre à six divisions, avec notamment la création d'une "haute police", dénommée "sûreté générale et police secrète", chargée de la police du renseignement. Les commissaires généraux ont autorité sur la police administrative dans les domaines de la voirie, de l'éclairage, de l'hygiène, de la surveillance des spectacles, de la presse, qui échappent désormais au préfet
.


La Restauration et la Monarchie de Juillet.


La Restauration et la Monarchie de Juillet prétendent revenir à une conception décentralisée de la police, dans un esprit de libéralisme. En fait, la police reste très largement au service du pouvoir central.

A Paris, la préfecture de police dispose des structures et des moyens les plus étendus. Comme l'ensemble du personnel de police, les quarante-huit commissaires de quartiers (sans commissariat) n'ont aucune garantie de statut. Le préfet de police, autorité de tutelle, les nomme et les révoque à sa guise.

En province, le manque de moyens et de coordination limite sensiblement leur champ d'action. Dès 1829, une réforme est engagée pour dépolitiser la police et l'orienter plus spécialement dans la lutte contre le développement des troubles urbains (liés à la délinquance, à la circulation, à l'hygiène, etc.). La mise en place des "sergents de ville en uniforme", en 1829, est à la base de ce renforcement.

La Monarchie de Juillet poursuivra la réforme. Elle donne au sergent de ville un supérieur direct : "l'officier de paix". Elle met le commissaire à la tête de ces effectifs nouveaux et étoffés. Il dépend du maire en province. A Paris, doté du titre de "chef de la police municipale", il est intendant du préfet de police ; il ne relève que de l'assemblée municipale d'arrondissement et dirige un bureau central de police municipale.






"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
mes recherches : TAMISSIER(55-23) - LAJOUX(55) - PERSIN(55)-(52)- CHAUVIN (23) - LAURENT (52)
PIEDNOIR(53)- TORTRAT(45-18) - JOUBARD(56) - STOPHE(75-77-78 et suisse ) - GRANDIERE(53-75)-DUCLOS (56) - GIQUEL (56) - LAGROUAIS (56)
SAVARD (45 et 18)- RAIZE (77 - suisse) Joliat (suisse)
joepiednoir
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 13:35



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pour en saoir plus
http://www.ensp.interieur.gouv.fr/ecole/presentation/histo/cps/

"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
mes recherches : TAMISSIER(55-23) - LAJOUX(55) - PERSIN(55)-(52)- CHAUVIN (23) - LAURENT (52)
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P.Fontelaye001
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 14:14


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bravo bravo

bonjour Joe et bravo pour ton exposé sur la police.

Sais-tu par hasard s'il existe le même type de lien pour la gendarmerie car mon arrière grand-père était gendarme ; il a également été maréchal des Logis au 9ème régiment des Hussards?

Merci d'avance
Bisous

Patricia
P.Fontelaye001
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 14:19


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coucou Joe

c'est encore moi...
je viens d'aller voir en page 9 oú j'ai vu une définition de Maréchal et maréchal des logis
mais si tu as un site à me donner pour avoir plus d'infos, je suis preneuse....

rebisous

Patricia:bisou: :bisou:
Benedicte.V5
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 14:23



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bravo bravo Joelle
Heureusement que tu te reposes l'après-midi....

Pour continuer avec les:

Meuniers et Moulins.

Il existe environ trois types de moulins : le moulin à vent, avec ses grandes ailes , le moulin à huile, qui produisait principalement de l'huile de noix, et le moulin de rivière,construit à l'écart du village au bord de l?eau

La France d?autrefois était hérissée de moulins. Le géographe César François Cassini (1714-1784 dit Cassini III) qui établit les premières cartes scientifiques de la France au XVIIIème siècle, se servit d?eux comme principaux points de repère. En 1809, un recensement ordonné par Napoléon 1er comptait 100 000 moulins pour 22 millions d?habitants (soit en moyenne un moulin pour 300 habitants) dont 16 000 moulins à vent. Ceux-ci étaient principalement répartis dans le nord de la France, l?Ouest, la Beauce, le midi Toulousain et la Provence. Ils sont absents en Alsace, Franche-Comte et Savoie où existaient par contre de nombreux moulins à eau. Aujourd?hui on estime qu?il reste 3000 moulins à vent, 10 000 moulins à eau sur le territoire français.

Jusqu?à la Révolution,les seigneurs exercent un véritable monopole en instaurant l'obligation d'utiliser le moulin banal pour toute personne habitant dans l'aire du moulin dite banlieue, fixé aproximativement à une lieue. la destruction des petits moulins domestiques et ordonnée: tout contrevenant risque une amende et la confiscation des ses grains.Les paysans ont recours au moulin banal moyennant un prélévement sur le grain appelé émolument. Comme salaire le meunier touche une rétribution en nature. Souvent, il travaille avec un garde moulin, un apprenti qui prend progressivement en charge toute les tâches du moulin, parfois aussi un chasse-manée qui va dans les fermes chercher le grain, puis livre la mouture.
Au XIV éme siècles, pour éviter que le meunier ne prenne trop d'importance dans la filiére du pain, la profession de boulanger lui est interdite. Dés le XVII éme siécles, pour se diversifier, le meunier tente pourtant d'assurer le transport de la marchandise à sa clientèle boulangére et, par la suite de faire le commerce des grains et farines.




Le meunier :est un personnage important dans le village car c'est de lui que dépendait l'approvisionnement en pain. on lui prête souvent une réputation douteuse. Sur une rasière, soit 80 kgs, le client retrouve 51 kgs de farine et 21 kgs de son. 8 kgs servent à payer le meunier. Certains paysans trouvent que les poules du moulin sont nombreuses et bien grasses !
Il faut bien comprendre que la technique du meunier nécessite un savoir-faire particulier. Grosso-modo, il s'agit de verser du grain dans une sorte de gros entonnoir en bois (la trémie). Le grain tombe ensuite dans un auget qui le dirige dans un trou où il est broyé par deux meules. Un moulin c?est toujours le même système, deux meules, la dormante fixe sur le châssis et la volante qui tourne, le grain est broyé entre les deux meules (sachant q?une meule en silex pèse 1500kg).Ce qui diffère c?est le mécanisme qui fait fonctionner les meules, l?énergie employée, eau ou vent.
Le travail du meunier c'est aussi la réception des céréales par l'intermédiaire du cache-mannée, l'ensachage de la farine et la mise à jour des comptes et des registres.
Il doit faire attention aux incendies. Un bon meunier n'entasse jamais les sacs de farine lorsque le grain n'est pas assez sec, la fermentation s'y met et allume la toile des sacs.
Moulin à eau ou à vent, le meunier doit procéder à l?entretien de son moulin et aux réparations nécessaires.
Une bonne mouture exigeait des pierres en excellent état. S?il ne le fait pas lui-même ,le meunier peut faire appel à un rhabilleur de meules.



Pour ceux que les moulins interessent, l?excellente file de Sophie:


http://www.notrefamille.com/v4/forums/default.aspx?g=posts&t=946089&p=4

Amicalement





joepiednoir
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 15:07



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POUR PAT
http://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr/04histoire/dossierdushd/histoiregendarmerie/larrieu/11p1chapit3.htm

BISOUS

"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
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P.Fontelaye001
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 15:16


Inscrit le: 31/01/2005
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WOW

Merci Joe

Je vais de ce pas me connecter sur le lien que tu m'as donné

bisous

à plus tard

Pat
Benedicte.V5
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 16:47



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Et pour terminer...

Un métier annexe : le rhabilleur de meule

La meule de pierre,striée ,sert à broyer le grain
Des deux meules,l'une est convexe et ne bouge pas : c'est la gisante ou dormante. L'autre, concave,tourne : c'est la tournante ou volante. Une gouttière permet à la farine de s'écouler. Mais les frictions entre les deux meules usent les stries. Il faut alors "rhabiller" ou recreuser les sillons. Un artisan, le rhabilleur de meule, se charge de reformer les sillons à l'aide d'une boucharde
et d'un marteau.Le rhabilleur de meules va de moulin en moulin.
Après avoir soulevé la couvrante, il marque la surface à battre au moyen d'une règle enduite de rouge. Les parties colorées sont martelées, puis l'ensemble est adouci, afin de rétablir la régularité et les stries de la meule. C'est un travail long et fatiguant, pratiqué à genoux sur un sac.
on reconnaissait le rhabilleur de meules à ses mains bleuies par les éclats.
:bisou:
joepiednoir
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 17:30



Inscrit le: 10/04/2003
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pour illustrer les propos de Benedicte


"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
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joepiednoir
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 18:36



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BONNE SOIREE A TOUS
A DEMAIN
BISOUS

"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
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Benedicte.V5
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 20:07



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Bonne soirée Joelle.A demain
:bisou:
P.Fontelaye001
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 20:25


Inscrit le: 31/01/2005
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Sleeping

bonne soirée et bonne nuit à tous

Patricia
Michel.L2227
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Envoyé le: lundi 11 février 2008 23:28


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merci Joelle
comme toujours parfait
bonne nuit
Michel
joepiednoir
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Envoyé le: mardi 12 février 2008 08:13



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Bonjour tout le monde
une fois n'est pas coutume je vous offre cafe et croissants
bisous bonne journee



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Anne Marie.P114
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Envoyé le: mardi 12 février 2008 09:49


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Bonjour, passionnant votre fil ! Bravo pour les renseignements.
Je n'ai rien à vous offrir : tous mes anciens étaient Maçons(de la Creuse !!) ou tailleurs de pierre et agriculteurs, cultivateurs, propriétaires (selon ce qui est inscrit sur les actes !!!!)
J'ai juste trouvé dans la famille de ma GMM qui est bretonne un HONGREUR (qui chatre les chevaux et faisait office de vétérinaire)et encore c'était le mari d'une cousine !
Bonne journée et encore bravo
Anne Marie (en Creuse : Valaizon,Juillet,Meaume,Heyret, Pauly, Bord, - Pécher, Gout, Peynoche, Deluchat ... et par ma GM maternelle en Ille et Vilaine :Chemin, Lépinay,Fresnais, Ballus, Labbé, Rihet,Tirel, Abachesne,...)
joepiednoir
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Envoyé le: mardi 12 février 2008 09:54



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LES JARDINIERS

La profession consiste à exploiter au mieux le terrain pour avoir les meilleurs légumes au bon moment. on doit prévoir les récoltes successives pour que lorsqu'une culture se termine, une autre soit prête à prendre le relais. on récolte les salades pendant que les radis ou les carottes lèvent. Certaines cultures comme le melon demandent beaucoup de travail : fumier, arrosage, récolte...
La vente des légumes sur le marché est souvent le travail des femmes et des enfants. Tout l'art de la vente consiste à tirer le meilleur prix des légumes, tout en vendant le maximum pour éviter la perte. La concurrence est rude et certains cassent les prix...
Le travail est essentiellement manuel. Avant la mécanisation, les familles avaient en général un cheval, un mulet ou un âne, pour labourer ou tirer une charrette pour transporter le fumier et les légumes. L'animal servait aussi à entraîner une pompe à manège pour remonter l'eau du puits, avant que l'usine électrique de Melun n'alimente des pompes plus faciles d'emploi. Plus tard les motoculteurs remplaceront ces animaux. Les camionnettes remplaceront les charrettes.



Certains transports se faisaient à dos d'homme avec une hotte (comme celle de la photo), à la main avec de grands paniers en osier, avec des charrettes à bras, avec des brancards (pour le transport des cloches par exemple) ou avec des brouettes (en bois à roue en fer, puis à roue à pneu)...
Les principaux outils et accessoires sont : l´arrosoir (au début en cuivre puis en fer galvanisé), la bêche, le râteau, la fourche pour épandre le fumier, les cloches en verre et les châssis vitrés pour forcer les cultures avec le rayonnement solaire en les préservant du froid. Assez caractéristique de cette profession, on trouve en haut des jardins un réservoir (ou cuve) au sommet d´une tour, que l´on remplit avec une pompe plongeant dans le puits indispensable aux cultures, pour alimenter en eau les points d´arrosage. Cette réserve permet aussi de réchauffer l'eau pour ne pas arroser avec une eau trop froide. L'arrosage est un point très important. Dans certains jardins il y a plusieurs puits répartis sur la surface du terrain.
L'arrosoir ci dessous était appelé aussi ?sauteuse? à cause du geste qu'il fallait faire pour le retourner.



En effet, on trempait l'arrosoir dans un bassin, anse vers le bas, pour le remplir. on le tenait par l'anse située près de la pomme, celle-ci tournée vers l'arrière, pour se rendre au point à arroser. Ensuite il fallait d'un geste, le lancer en l'air en le faisant pivoter pour le rattraper par l'anse arrière et vider l'eau contenue. Les garçons jardiniers s'entraînaient de longues heures avant d'y arriver. on notera la taille du tuyau et de la pomme qui devait fournir un gros débit, la contenance étant d'un dizaine de litres. on peut imaginer qu'ils arrosaient avec un arrosoir dans chaque main. Cet arrosoir n'était pratiquement plus utilisé au début du 20ème siècle. on avait adapté aux sauteuses une anse amovible comme celle d'un seau ou on utilisait des arrosoirs aux formes plus proches de celles de maintenant.

Les maraîchers n'étaient pas toujours propriétaires, ils louaient souvent leurs jardins à des propriétaires quand ce n'était pas à leurs parents. Les baux nous donnent des renseignements intéressants
.


sources les moulins melannais

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Envoyé le: mardi 12 février 2008 09:57



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bonjour anne marie
merci de tes encouragements et félicitations
on va te trouver qq chose sur les hongreurs
bonne journee
amicalement

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Envoyé le: mardi 12 février 2008 10:10



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Bonjour à tous

Bonjour cousine Anne Marie

Bonjour Joelle, merci pour le petit déjeuner.

Avec ton jardinier, tu parles de brouette, aussi je vais mettre là une définition que j'avais cherchée pour Jean de la file des "Perles généalogiques(rien à voir avec le jardinier...):

Brouteur de bière (pour brouetteur)

?On appelle encore aujourd?hui à Tournai brouteurs au boire les hommes de peine qui vont prendre les tonneaux de bière aux brasseries pour les transporter chez les consommateurs. Le mot boire vient de l?ancienne locution boire de grain, par laquelle on désignait cette sorte de boisson?





:bisou:
joepiednoir
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Envoyé le: mardi 12 février 2008 10:51



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SALUT BENE

Le Hongreur


Personnage important de nos campagnes, il castrait chevaux, cochons, ou veaux en opérant avec pour seul attirail un bistouri et de l'eau de javel ! C'était le vêto de l'époque...

Le "Bistournage"
Le terme bistournage est à traduire littéralement par « déformation par torsion ».
Si l?opération de castration est maintenant réalisée au moyen d?une pince écrasant les cordons testiculaires, il n?en a pas toujours été ainsi.
Traditionnellement, cette opération effectuée par un hongreur se passait en deux temps.
- Dans un premier temps, les animaux à castrer étaient réunis dans le bouvau *, ou devant la jasse *, dont l?entrée était fermée par une charette.
Une corde, passant à travers les rayons de la roue d?une charette, servait à attacher le taù. Cette longe était passée autour des cornes du taù et ramenée jusqu?à la charette. Ainsi maintenu, il restait à le coucher à terre. Pour ce faire, le manadier passait la sabatière * autour des pattes arrière, faisant un noeud coulant. Quelques hommes renversaient alors le taureau.
Une fois immobilisé, le hongreur pratiquait le bistournage *.
Il faisait tourner chaque testicule sur lui même, puis faisait pivoter celui-ci à l?intérieur du sac testiculaire, coupant la circulation. Enfin, une corde venait enserrer le scrotum dans le but de maintenir les testicules en position contrainte. L?animal était ensuite relaché.
- Dans un second temps, les bêtes étaient à nouveau capturées, mais simplement maintenues debout, le temps pour le manadier de couper la corde posée une semaine plus tôt.





"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
mes recherches : TAMISSIER(55-23) - LAJOUX(55) - PERSIN(55)-(52)- CHAUVIN (23) - LAURENT (52)
PIEDNOIR(53)- TORTRAT(45-18) - JOUBARD(56) - STOPHE(75-77-78 et suisse ) - GRANDIERE(53-75)-DUCLOS (56) - GIQUEL (56) - LAGROUAIS (56)
SAVARD (45 et 18)- RAIZE (77 - suisse) Joliat (suisse)
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