Forums de généalogie, entraide généalogique - Filae.com |
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Inscrit le: 10/05/2007 Messages: 3 217
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Figure : Compositeur.
À suivre.
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Inscrit le: 10/05/2007 Messages: 3 217
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Écrivain public.
L’origine est évidente. J’ajoute qu’il s’agit encore du 2e tome, 1834.
Le texte sera pour un autre jour…
Bonne nuit.
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Inscrit le: 19/09/2005 Messages: 10 301
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Bonjour
toujours de belles gravures
patronymes sur 57 Rall,Neufint/Tänny/Boltz/Bossert/Theobald/Scheuer/ Kiehl/Geisler/Dumolt/Walter/Stenger/Burgun/Schwoerer/Lehmann patronymes sur 67 Rall/Woelffel/Muller/Simon/Wattron/Zehner/Fritsch/Lux/Martin/Dumolt/Hilt patronymes sur le luxembourg Boltz/Kiehl/Bernard/Sosson/Jung/Wagner/Medernach/Hansen
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Inscrit le: 10/05/2007 Messages: 3 217
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Christophe,
Bonjour.
Le texte et les autres figures : ultérieurement. Il est 8 heures, je peux faire du bruit, la boîte à outils m’attends. Bricoleur est encore un métier très actuel… Alors je n'en parle pas, je m'y colle.
(in : Magasin Pittoresque, volume XXX, 1852.)
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Inscrit le: 11/02/2006 Messages: 4 963
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Bonjour à tous
Jolies gravures....
Curieuse, l'évolution du mot bricoleur.......
En 1778, c'est un « chien qui aime à s'écarter de la piste »; en 1859 «celui qui vit d'expédients » et aujourd’hui, celui qui fait de menues réparations, des travaux manuels à son domicile......
Bonne journée
:bisou:
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Inscrit le: 19/09/2005 Messages: 10 301
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coucou
merci Serge pour le moulin "bien étrange"
patronymes sur 57 Rall,Neufint/Tänny/Boltz/Bossert/Theobald/Scheuer/ Kiehl/Geisler/Dumolt/Walter/Stenger/Burgun/Schwoerer/Lehmann patronymes sur 67 Rall/Woelffel/Muller/Simon/Wattron/Zehner/Fritsch/Lux/Martin/Dumolt/Hilt patronymes sur le luxembourg Boltz/Kiehl/Bernard/Sosson/Jung/Wagner/Medernach/Hansen
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Inscrit le: 02/08/2005 Messages: 1 877
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Bonsoir à tous!
Après la Marne, je passe au dépouillement dela Gironde et là je trouve le terme de "savonneuse" qui à mon avis n'a rien à voir avec la savonnerie mais avec les vignerons!
Coucou Christophe!
Amicalement
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Inscrit le: 11/02/2006 Messages: 4 963
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Bonsoir Annick
Je n'ai pas trouvé de savonneuse chez les vignerons..
Savonneur (euse) ouvrier (ère) qui savonne les cartes à jouer
(Dictionnaire de la conversation et de la lecture, vol.11.)
Dans l’encyclopédie de Diderot et d’Alembert, on explique tout ce processus de fabrication des cartes à jouer:
http://letarot.com/Diderot/pages/fabrication-carte-selon-encyclopedie.html
voir aussi le métier de cartier en p 68.
Il existe aussi le savonneur(euse) de glace : ouvrier (ère) d’une manufacture de glaces et de miroirs chargé du polissage du verre.
Quelle époque votre savonneuse?
Bonne soirée:bisou:
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Inscrit le: 14/09/2005 Messages: 937
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Bonsopir Bénédicte, bonsoir Céline, bonsoir Christophe,...:bisou:
Bénédicte, toujours la première à dégainer pour les recherches ! Tu trouves trés souvent tout et ce, dans un temps reccord!!
Bonne soirée.
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Inscrit le: 10/05/2007 Messages: 3 217
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MŒURS ITALIENNES
L’ÉCRIVAIN PUBLIC.
(in : Magasin Pittoresque. Tome II, 1834. pp. 33/314.)
La noble profession de l'écrivain public va décroissant de jour en jour, il y a loin du moine lettré, que nos rois des premières races, que nos seigneurs du moyen âge honoraient de leur confiance et souvent de leur commerce intime, à nos pauvres calligraphes en échoppe.
Le premier copiait, pour les souverains et les châtelaines, des missels qu'il enrichissait de curieuses enluminures. C’est lui qui rédigeait les traités de puissance à puissance, les déclarations de guerre, les chartes du royaume, et les cartels des chevaliers.
En marge ou au bas des pages écrites de sa main, les rois apposaient leur sceau, les chevaliers égratignaient le vélin avec la pointe du poignard, et les nobles dames, pour tracer la croix qui remplaçait leur nom, trempaient leurs doigts roses dans l’encre.
Depuis long-temps les rois et les grands seigneurs savent lire et écrire, depuis long-temps les dames ont appris à se passer de secrétaires, et à signer sans trop se noircir les doigts. Aussi l’écrivain public est-il en discrédit, presque en désuétude.
Toutefois, si, écartant tout ressouvenir ambitieux, il veut jouir modestement, sans arrière-pensée, des avantages de sa situation présente, nul doute qu il ne puisse encore, dans une sphère moins élevée, se faire une existence honnête et douce, en dépit de la marche du siècle. Que lui manque-t-il, en effet ? Tranquillement assis, l’été devant sa porte, l’hiver auprès du poêle dont le four lui sert de cuisine, l'écrivain compose, à ses instans de loisir, des couplets de fête, de mariage, ou des devises. Il est encore l’oracle du quartier, et c’est lui qui lit le journal à haute voix.
Si telle est encore à Paris, dans un climat sévère, au milieu d’un peuple éclairé, la situation de l'écrivain public, que d’heureux priviléges ne doit-elle pas réunir sous un ciel plus doux, au sein d’une population assez avancée pour avoir besoin de l’écriture, pas assez instruite pour se passer de l’écrivain, en Italie par exemple.
Dans cette belle contrée, il semble au premier abord établi d’une façon moins stable, moins régulière que chez nous ; on ne lui voit point d’échoppe élégante à vertes jalousies, comme à ses confrères des boulevards de Gand et de la Madelaine ; qu'en ferait-il ? N'a-t-il pas pour abri les portiques et les colonnades sans nombre des églises et des palais ? Son mobilier, c'est le mot propre, se compose d’une table à tiroir et d’une chaise ; il y joint d'ordinaire une enseigne portative en forme de drapeau, qu'on voit flotter au-dessus de sa tête, à tous les encans, à tous les marchés ; l’annonce de sa profession est souvent accompagnée de calembours engageans et de la fallacieuse promesse d’un crédit toujours remis au lendemain. Nomade quand le besoin l’exige, il adopte cependant un poste de prédilection. Le personnage principal de la gravure placée en tête de cet article, nous en fournit la preuve ; à ses jambes croisées qui semblent prendre possession du sol, à ses coudes reposés croisés sur sa table, il est facile de voir qu’il est ici chez lui.
Le mot Rome, tracé en gros caractères, sur son enseigne, s’applique ici aux personnages et non pas aux lieux : l’artiste auquel est dû le tableau original reproduit par notre gravure, a placé ses figures dans un cadre de fantaisie. L’écrivain est un personnage existant, son costume et sa pose habituelle sont copiés avec une scrupuleuse exactitude.
Lazzarone à Naples, Facchino à Rome, c’est-à-dire homme du peuple, il a abandonné, comme barbare, le costume national des hommes de sa classe ; seulement. sa métamorphose date de 1789, et il n'a pu la renouveler depuis cette époque.
Le moindre bénéfice suffit au pain de la journée ; tranquille sur ce point, il lui reste encore un beau ciel, le spectacle animé des joies et des querelles de la foule, l’ivresse du tabac et celle d’un vin exquis, et enfin le farniente, si doux par les belles soirées.
Tout cela c’est du bonheur, et du bonheur à bon marché ; parmi ceux qui le paient le moins cher, notre écrivain est peut-être celui qui en jouit le mieux. Type de la plupart de ses confrères, qui sont rarement longs et maigres comme à Paris, il se lève chaque matin à l’heure du marché, et vient prendre son poste accoutumé à l’un des angles de la place Navone. Sa santé, qu’une vie régulière et des mœurs douces font chaque jour plus florissante, lui attire les complimens des premiers arrivés ; de ce nombre est la fruitière : notez que partout l’écrivain public est au mieux avec la fruitière : elle étale auprès de lui ses corbeilles appétissantes et lui en confie la garde, tandis qu’aidée de son valet, de son fils ou de son mari, elle parcourt la place, un melon dans chaque main, et provoque les acheteurs. Ceux-ci ne se font pas attendre ; entourée, pressée de toutes parts, elle distribue en détail à la ronde ces fruits savoureux, dont l’Italie désigne toutes les espèces du nom générique de cocomero ; et l’on voit hommes et enfans en emporter les tranches ruisselantes, et les dévorer avidement par les rues.
Cependant notre écrivain n'a pas perdu son temps ; le fiascone de vin d’Orvieto, qu une main amie a déposé ce matin sous sa table, est déjà presque vide, et de plus, nous le voyons occupé par une paysanne dont le costume appartient aux villes et villages de Velletri, d'Albano, de Genzano et de Frascati.
Ceci est un des mille épisodes qui accidentent la vie de l’écrivain public. Il connaît les secrètes pensées de bien des familles ; mais la discrétion est à la fois le premier de ses devoirs et le gage le plus assuré de ses revenus : c est la source féconde d’où coulent sans cesse pour lui des flots de vin d’Orvieto et de Moutefiascone.
Enfin, quelque déchue que soit la profession, elle est encore assez éloignée, surtout en Italie, de l’extinction qui la menace ; si son existence peut comme celle du monde, se diviser en quatre périodes de décroissance, nous dirons qu’à son âge d’or et à son âge d’argent qui s’arrêtent, le premier à la chute du système féodal, le second à la révolution de 89, a succédé l’âge d airain qui dure encore. Mais que l écrivain public se hâte d exploiter ses priviléges chancelans, qu'il amasse pour l’hiver comme la fourmi ; car les temps approchent, et l’âge de fer marche à grands pas.
…
n.b. : orthographe d’époque.
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Inscrit le: 11/02/2006 Messages: 4 963
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Cette photo sur le même sujet... simplement pour élargir le fil...
Ecrivain de rue. Italie. Photographie de Carlo Naya, ca 1865
Bonne nuit.
:bisou:
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Inscrit le: 19/09/2005 Messages: 10 301
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Bonjour,
il n'y a pas que l'écrivain de rue qui soit un homme de lettres,le Facteur aussi !!!!
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Inscrit le: 11/02/2006 Messages: 4 963
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Bonjour à tous
Bien sûr Christophe, et en ce moment dans certaines régions c'est peut-être ça.....
Illustration du livre scolaire “La maison des Flots jolis » Cours Moyen - E. Jauffret / Ray Lambert .années 1940-1950
Bonne journée.
:bisou:
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Inscrit le: 19/09/2005 Messages: 10 301
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coucou
oui,Bénédicte
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Inscrit le: 14/09/2005 Messages: 937
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:bisou: Bonjour Christophe, bonjour Bénédicte, bonjour Serge...:bisou:
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Inscrit le: 14/09/2005 Messages: 937
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Christophe, la Poste se ne serait pas ça par hasard :
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Inscrit le: 10/05/2007 Messages: 3 217
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Les références : dans l'image.
Hier, privé de forum : impossible de se connecter !
Bonne journée.
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Inscrit le: 10/05/2007 Messages: 3 217
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Bonjour.
Le porte à porte de la connaissance…
Colporteur.
Métier disparu avec la popularisation des moyens de transport des personnes et, l’omniprésence actuelle de la communication de l’information. L’almanach fut l’un des moyens de diffusion de la connaissance parmi les plus populaires.
Le « Messager Boiteux » fut célèbre. Sa couverture montrait un colporteur, vraisemblablement un vétéran des guerres de l’Empire. Qui était-il exactement ? Difficile à dire… De nombreux almanachs portent ce titre, édités à Strasbourg, à Metz et aussi en Suisse et peut-être bien ailleurs.
Cette prolifération dans l’édition populaire témoigne de l’estime de nos aïeux pour ce genre d’almanach, elle témoigne aussi de l’importance du métier de colporteur.
À lire : Brochon (Pierre). Le livre de colportage en France depuis le XVIe siècle. Sa littérature – ses lecteurs. Préface de Georges Henri Rivière. Gründ, Paris, 1954. 158p.
Bonne lecture et bonne journée.
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Inscrit le: 10/05/2007 Messages: 3 217
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Suite...
Je possédais autrefois trois têtes de collections de journaux scientifiques : le Journal des Sçavans, la République des Lettres et les Mémoires "de Trévoux". Je les ai remises à la Bibliothèque de l'Arithmeum de l'Université de Bonn, en Allemagne.
Ces trois collections étaient éditées dans le petit format courant du colportage ce qui prouve que, même pour ces publications de haut niveau scientifique et littéraire, ce mode de diffusion était usuel.
Le colporteur ne visitait donc pas seulement les chaumières mais également les manoirs !
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Inscrit le: 11/02/2006 Messages: 4 963
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Bonjour à tous.
Courageux ce colporteur..... s'il doit faire des kilomètres avec sa jambe de bois !
Un dentiste..... mais avec instruments semble-t-il.....
Peinture de Gérard Dou. peintre hollandais du 17ème siècle, élève de Rembrandt
Bonne journée.
:bisou:
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Inscrit le: 14/09/2005 Messages: 937
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Bonjour Bénédicte, bonjour Jean, bonjour Serge, bonjour Christophe...:bisou:
Il semblerait que ce colporteur, comme beaucoup, soit un sacré charlatant! je ne vois pas bien comment on peut extrraire une dent, à raison de plus, un chicot, sans l'aide d'instrument. Quant à ces soit disantes potions, nous savons bien qu'elle sont plus de dangeueuses substances pour le corps que bienfaitrices. Bonne journée.
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Inscrit le: 30/04/2009 Messages: 739
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juste un petit bonjour en passant vous avez deja fait tellement pour moi ( surtt vous benedicte ) je suis debordee en ce moment je suppose que vous l etes tous aussi
bises
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Inscrit le: 10/05/2007 Messages: 3 217
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Jean Marc.
Bonjour.
Beaucoup de travailleurs, de modeste, voire de très modeste condition, dans le passé, possédaient plusieurs cordes à leurs arcs.
Toutefois je ne me souviens pas d'avoir lu, ni écris ensuite, que des colporteurs pratiquaient la chirurgie dentaire. Dans nos campagnes où les soins en tous genres relevaient du pragmatisme le plus élémentaire, j'ai le sentiment que toutes sortes de gens devaient se découvrir une vocation de guérisseur infaillible. Pourquoi pas un colporteur ? Mais pourquoi pas quelqu’un d’autre ?
Revenons à l’arracheur de dents : l’extraction pure et simple devait constituer l’essentiel de la "chirurgie dentaire" à une époque encore récente. J’ai ainsi en mémoire le témoignage de mon grand-père sur l’une de ces interventions.
Jeune instituteur dans un village des Hautes Vosges, au-dessus de Saulxure, il était assez isolé dans ce premier poste, à la fin du XIXe siècle. Une dent, une molaire je crois, le faisais terriblement souffrir. Il existait des dentistes, mais en ville et sa fonction ne lui laissait pas le temps de s’y rendre.
Un notable, le forgeron, un costaud, lui dit, avec le grand respect dû à l’Instituteur, comme c’était l’usage dans ce temps-là :
« Monsieur l’instituteur, je vais vous arranger cela ».
on cala mon grand-père sur une chaise et il fut prié d’ouvrir grand sa bouche. Il sentit qu’on y farfouillait, impression éminemment douloureuse, mais avec un peu de volonté et surtout serré dans les bras de la matrone, épouse du forgeron et d'un gabarit équivalent, qui le tenait rivé sur son siège, il n’y avait guère autre chose à faire que de supporter, autant que faire se pouvait…
Le forgeron bonimentait, bonimentait, parlant un peu de la dent rebelle et surtout tonitruant n’importe quoi. Quelques minutes passèrent et puis soudain, durant ce discours à tout va, une douleur fulgurante, et puis, plus rien…
Excepté la dent, brandie dans la paire de tenailles que le forgeron exhibait devant mon aïeul, indubitablement soulagé.
Une bonne rasade de mirabelle pour remettre les idées en place et accessoirement désinfecter la plaie et, dans l’heure suivante, mon grand-père reçut ses élèves comme à l’ordinaire.
Rude époque et rudes gens. Il faut admettre que tous les boniments du praticien autodidacte relevaient d’une psychologie rudimentaire mais néanmoins efficace : détourner l’attention du patient. Aujourd’hui, lors d’une intervention avec anesthésie locale, le chirurgien, son assistant, ou l’anesthésiste, ou l’infirmière, enfin quelqu’un vous raconte toues sortes de choses ; on peut même écouter de la musique pendant que le scalpel crisse sur votre peau…
Bonne journée.
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Inscrit le: 27/12/2004 Messages: 507
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Bonjour à la file,
J'aimerais savoir en quoi constitait le métier collecteur de jaye ou jay ?
Merci d'avance pour la réponse
damien
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Inscrit le: 11/02/2006 Messages: 4 963
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Bonjour Damien
Quelle époque et quel lieu pour votre collecteur de jay ou jaye?
Dans le dictionnaire du vieux français, jaye = cage, prison..... mais collecteur de cages... je ne vois pas à quoi ça pourrait correspondre.....
Je vous propose plutôt:
Collecteur de jayet
Celui qui ramassait, extrayait du jayet ou jais.
Le jais est une variété de lignite dure, noire, plane et se prêtant bien au polissage.
Minéral brut de jais.
II provient du bois de conifères qui se sont très progressivement fossilisés en charbon. Les Anciens l’ont appelé lapis Gatates car ils savaient que les premiers morceaux ont été ramassés à l'embouchure de la rivière Gaïas (ou Gagas) en Asie Mineure, provenant de troncs d'arbres apportés avec l'eau. De cette appellation découlent les mots de différentes langues : en anglais jet, en ancien français gaïat ou jayet qui a donné jais, en arabe az abache et en espagnol azabache. on a retrouvé des perles de jais à une époque datable du Magdalénien entre -17 000 et -10 000. Les gisements sont apparus bien avant l'homme, peut-être depuis 65 000 000 ans.
Depuis l'Antiquité, on appelle aussi le jais «ambre noire» à cause de ses propriétés magiques analogues à celles de l'ambre : "il protège les yeux, fait fuir les serpents, dénonce la présence des démons et permet de prouver la virginité des jouvencelles". En France au XIXème siècle, les bijoux de jais étaient les seuls que l’on pouvait porter lorsqu’on était en deuil d’un proche.
Statuette de Saint Jacques en jais.
Saint Jacques de Compostelle en Espagne était réputé pour le travail de ses orfèvres, en particulier des tailleurs de jais qui offraient aux pèlerins des objets souvenir réalisés en cette pierre semi-précieuse réputée bénéfique.
Collier de perles de jais.
Il y avait également quelques ateliers en France. « En France, il y a des mines de jais en Dauphiné, Languedoc dans le Vivarez et Gévaudan ». (Dictionnaire domestique portatif. Augustin Roux,François-Alexandre Aubert de La Chesnaye Des Bois,Jean Goulin. 1765) Le jais fut une grande industrie du canton de Mirepoix dans l’Ariège(La Bastide sur l'Hers par ex.), employant jusqu'à un millier de personnes durant le XVIIIe siècle.
Mine de jais près de Rennes le Château.
Cordialement
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Inscrit le: 21/04/2008 Messages: 114
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Bonjour la file En quoi constituait le métier d'Echaladeur Merci pour votre aide Cordialement Marc
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Inscrit le: 19/09/2005 Messages: 10 301
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Jean Marc
moi pour faire des rallye je prends un modèle conçu pour
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Inscrit le: 19/09/2005 Messages: 10 301
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oups bonjour
Marc es tu sur de l'orthographe de ton métier !!!!
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Inscrit le: 19/09/2005 Messages: 10 301
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échauler :Chauler le grain, pour le désinfecter.
échauladeur peut être!! (pas français)
achalandeur
1. (Économie et gestion d’entreprise) Personne travaillant en relation directe avec la clientèle.
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Inscrit le: 11/02/2006 Messages: 4 963
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En effet Marc, pas d'echaladeur...
Moi je vous propose
Echaudeur.
Echauder est tremper dans l'eau bouillante Dans ce cas un échaudeur est une personne travaillant dans un abattoir sur un poste d’échaudage. on échaude les porcs (entre autres animaux) pour enlever leurs poils.
Un échaudeur d’abats est un charcutier travaillant dans la préparation de ces derniers.
Echauder est également passer une surface à la chaux Echaudeur serait ici synonyme de chauleur.
J'ai aussi pensé aux échalas.... le verbe échalasser signifiant garnir d’échalas (Pieu servant à soutenir un pied de vigne ou autre arbuste ).... mais cela aurait donné échalasseur...
Si vous avez l'acte où ce mot est écrit, il serait interessant de nous le mettre sur le fil. Dites nous aussi le lieu et l'époque.
Cordialement.
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Inscrit le: 10/05/2007 Messages: 3 217
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Bonjour.
Consolation des lève-tôt : spectacle des couche-tard.
Dessin de Henri Valentin.
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Inscrit le: 02/08/2005 Messages: 1 877
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Bonjour à tous!
Un petit coucou en passant!
J'ai trouvé un marchand épicier et un marchand pain d'épicier!
Cela donne faim dès le matin, avec une tite lichette de beurre salé!
Dans la région nantaise La jaille ce sont les poubelles!!!!
Amicalement
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Inscrit le: 14/09/2005 Messages: 937
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Bonjour Anick, bonjour Serge, bonjour Chritophe, bonjour Bénédicte, bonjour Céline, bonjour Marc, bonjour Damien...:bisou:
Serge, mes ancêtres du côté paternel étaient soit journaliers soit vanniers ambulants; je suis quasi sûr que l'un d'eux a dû vendre une de ces "fameuse" potion pour arrondir ses fins de mois... De plus, ma grand-mère paternelle était connue comme le loup blanc pour être une "rebouteuse" hors paire dans son village et même dans les allentours! Sûr, elle n'en a pas fait sa véritable profession étant mariée au Chef de gare du village, mais il n'en demeure pas moins vrai qu'elle a soulagé bien des gens. A plus, le travil m'appelle.
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Inscrit le: 11/02/2006 Messages: 4 963
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Bonjour à tous
Oui Annick, d'où le terme de jailloux pour éboueur....
Il est interessant de donner le lieu et l'époque des professions trouvées, car on peut tomber sur des spécificités régionales comme celle-ci...
Pour pain d'épicier voir en p86
et pour épicier en p23
Bonne journée :bisou:
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Inscrit le: 10/05/2007 Messages: 3 217
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Bonjour,
Dans la série des « petits boulots parisiens », et d’ailleurs :
Le Tondeur de chiens.
Encore d’Henri Valentin.
Amitié.
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Inscrit le: 19/09/2005 Messages: 10 301
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bonjour ,bonjour
il faut que j'aille faire les Jailles,c'est pas facile à placer dans une conversation !!!
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Inscrit le: 10/05/2007 Messages: 3 217
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Jean,
Bonjour.
Voyons, je n’aurais jamais osé publier une image licencieuse ! Moi qui suis si sérieux d’ordinaire !
Voici ce que disent Conilleau et Ronsin dans leur ouvrage sur Valentin, ouvrage dont j’ai donné antérieurement la référence :
« Jean et sa femme tond les chiens – coupe la queue aux chats et va-t-en ville ». (sic).
Selon ces deux auteurs, il s’agit du texte de la pancarte.
À n’en point douter, nous avons là une illustration de la société machiste de cette époque. Monsieur, chef d’entreprise, supervise le bon fonctionnement de son affaire, Madame, dévouée collaboratrice, exécute. De mon point de vue nous n’avons ici aucun travesti et chacun se trouve à la place où il doit être. Tout n’est-il pas parfait ainsi dans le meilleur des mondes ?
J’entends des murmures courroucés, désapprobateurs et, semble-t-il, féminins.
Les Vosgiens ont l’habitude : il s’agit de mon quart d’heure matinal de déraison…
Amitié.
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Inscrit le: 19/09/2005 Messages: 10 301
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bonjour et bonne fête à tous les Armistices hi!hi!
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Inscrit le: 11/02/2006 Messages: 4 963
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Bonjour à tous
"Des culottes à l'Angloise dans le dernier goût, des guêtres angloises pour la chasse,des gants....."
.... vraiment très chic..!
Bonne journée
:bisou:
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Inscrit le: 21/04/2008 Messages: 114
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Bonjour
Le métier d'échaladeur je l'ai relevé sur un acte de mariage de 1809 dans la Meuse. Apres recherche dans les vieux dictionnaires ; Echaladeur viendrait du verbe Echalader qui consiste à mettre des échalas (pieu) pour soutenir les pieds de vigne. on peut dire aussi Échalasser
Amicalement
Marc
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Inscrit le: 11/02/2006 Messages: 4 963
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Bonjour Marc
Merci pour ces précisions.
Vous avez raison, échalader est synonyme d'échalasser.
J'étais complètement passé à côté...
Pour me faire pardonner, voici quelques illustrations...
Echaladeur, échalasseur
Celui qui garnit une vigne d’échalas, qui la lie aux échalas.
Le fichage des échalas consiste à planter perpendiculairement les échalas ou bâtons à 3 centimètres environ en avant du cep. Les jeunes pousses et les rameaux seront liés aux bâtons. Pour opérer le fichage, l'on se sert communément de la ficheuse, sorte d'étrier en fer muni d'un crochet, qui se fixe au pied avec une courroie.
Le liage de la vigne a pour but de fixer les jeunes rameaux à l'échalas. Cette opération se fait généralement quand la pousse est déjà grande. on l'effectue à l'aide de paille de seigle ou d'avoine.
on dit aussi:
Paisseleur (de paisseler, piquer, ficher les paisseaux en terre, à côté des ceps de vigne).
Ne pas confondre avec le..
Paisselier ou pesselier: batteur de lin ou de chanvre (au moyen de l'instrument dit pessel ou pesselin)
Amicalement
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Inscrit le: 11/02/2006 Messages: 4 963
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Et pour complèter, le....
Fabricant d'échalas
C’était une activité le plus souvent saisonnière mais certains paysans en ont fait leur activité principale. Les barres de chêne, châtaigner … sont coupées à la longueur voulue et selon leur grosseur, généralement fendues en 4 ou 6. Les échalas sont utilisés comme tuteur (pour la vigne, le houblon, de petits arbres ou arbustes..) ou pour réaliser des clôtures à claire-voie,
Bonne journée.
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Inscrit le: 21/04/2008 Messages: 114
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Bonjour Bénédicte
Bravo pour ce complément d'information sur les échalas et échaladeur Amicalement Marc
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Inscrit le: 10/05/2007 Messages: 3 217
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Bonjour.
En ce jour de mémoire et de commémoration, un « métier » des plus nobles : Résistant, mais que l’on espère rangé définitivement dans les souvenirs.
Deux « Maquisards » de la Piquante Pierre, dans la montagne, au-dessus de La Bresse, petite cité des Hautes Vosges, brûlée par l’occupant en représailles.
(Dessin de Gaston Châtelain-Cez, fondateur du journal « La Liberté de l’Est » ).
Bonne soirée.
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Inscrit le: 14/09/2005 Messages: 937
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Bonsoir Serge, bonsoir Jean, bonsoir Christophe, bonsoir Bénédicte, bonsoir Marc.:bisou:
Serge, je ne sait plus qui a dit que la guerre est un mal nécessaire... Vous avez sans aucun doute connu les attrocités de ce dernier conflit mondial. Vous avez dû en souffrir bien des années aprés la fin... Tout comme moi, lorsqu'en 184, j'ai servi les intérêts Français au Tchad... Bonne soirée.
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Inscrit le: 11/02/2006 Messages: 4 963
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Bonjour à tous
Aujourd'hui dimanche, pour aller promener les enfants ou petits enfants......
Bonne journée :bisou:
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Inscrit le: 14/09/2005 Messages: 937
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Bonjour Bénédicte.:bisou: pas grand monde aujourd'hui. on pourrait penser que tout le monde a pris cette voiture pour une prommenade diminicale!
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Inscrit le: 10/05/2007 Messages: 3 217
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Bonsoir,
Encore
Un "P'tit boulot d'Pantruche" :
La Chanteuse des rues.
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Inscrit le: 19/09/2005 Messages: 10 301
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bonjour
patronymes sur 57 Rall,Neufint/Tänny/Boltz/Bossert/Theobald/Scheuer/ Kiehl/Geisler/Dumolt/Walter/Stenger/Burgun/Schwoerer/Lehmann patronymes sur 67 Rall/Woelffel/Muller/Simon/Wattron/Zehner/Fritsch/Lux/Martin/Dumolt/Hilt patronymes sur le luxembourg Boltz/Kiehl/Bernard/Sosson/Jung/Wagner/Medernach/Hansen
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Inscrit le: 10/05/2007 Messages: 3 217
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Bonsoir.
Dans la série, « Petits métiers de Paris » :
Je pense qu’il s’agit de Georges Emmanuel Opitz († 1841), mais je n’en suis pas certain, bien que cet artiste soit connu pour ses gravures de vie parisienne. J’ai trouvé cette reproduction, cet après midi, dans un étal en vrac d’un brocanteur ; elle provient manifestement du dépeçage d’un livre… Pratique déplorable !
Bonne soirée.
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