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Véronique.L676
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: jeudi 14 janvier 2010 19:20


Inscrit le: 04/08/2009
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Jean Marc,

Merci !!!!! C'est génial cet article !!!! Je l'ai imprimé dans le coup. Je vais revenir souvent sur cette file !!!!

Bonne soirée !

Véronique
Véronique

Mes patronymes recherchés :

16 : LEBAUD - CHIRON - GUERIN
25 : DEMESMAY
54 : BENOIT
55 : DANEL
57 : VAGNER - STEIN - DENICHER
75 : BENOIT - VAGNER - DEMESMAY
85 : LEBAUD - ORIEUX
94 : DEMESMAY - VAGNER - WEINICH

ALLEMAGNE - BAVIERE : HARTH - BUCH - HÄNGES


christ.L12
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: jeudi 14 janvier 2010 20:05



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bonne soirée et bienvenue aux nouveaux

patronymes sur 57 Rall,Neufint/Tänny/Boltz/Bossert/Theobald/Scheuer/
Kiehl/Geisler/Dumolt/Walter/Stenger/Burgun/Schwoerer/Lehmann
patronymes sur 67 Rall/Woelffel/Muller/Simon/Wattron/Zehner/Fritsch/Lux/Martin/Dumolt/Hilt
patronymes sur le luxembourg Boltz/Kiehl/Bernard/Sosson/Jung/Wagner/Medernach/Hansen
Véronique.L676
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: jeudi 14 janvier 2010 22:04


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eh bonsoir Christ !

Véronique
Véronique

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joepiednoir
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: vendredi 15 janvier 2010 11:40



Inscrit le: 10/04/2003
Messages: 4 142
bonjour à toutes et tous,

désolée Eliane, je n'ai pas trouvé d'article sur les "tisserands alsaciens".

Désolée aussi Véronique, pas d'illustration sur les "lustreurs".

Bisous à vous et à bientôt

"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
mes recherches : TAMISSIER(55-23) - LAJOUX(55) - PERSIN(55)-(52)- CHAUVIN (23) - LAURENT (52)
PIEDNOIR(53)- TORTRAT(45-18) - JOUBARD(56) - STOPHE(75-77-78 et suisse ) - GRANDIERE(53-75)-DUCLOS (56) - GIQUEL (56) - LAGROUAIS (56)
SAVARD (45 et 18)- RAIZE (77 - suisse) Joliat (suisse)
christ.L12
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: vendredi 15 janvier 2010 15:25



Inscrit le: 19/09/2005
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bonjour

un lien sur les Vieux Métiers

http://cevenols.com/vieuxmetiers.htm


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Véronique.L676
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: lundi 18 janvier 2010 08:16


Inscrit le: 04/08/2009
Messages: 611
Bonjour à tous,

Je reviens encore pour savoir si vous aviez des infos sur le métier de compositeur typographe. Je vois vaguement ce que c'est, c'est un métier de l'imprimerie. Si vous avez des articles ou des images, ce sera avec plaisir !!!!

Cordialement,

Véronique
Véronique

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Jean-Marc.L30
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: lundi 18 janvier 2010 11:00



Inscrit le: 14/09/2005
Messages: 937
Bonjour Bénédicte, bonjour Joëlle, bonjour Jean, bonjour Christophe, bonjour Khalida, bonjour, Sibie, bonjour Véronique.:bisou:

Voilà ce que j'ai trouvé : (source : le site des compagnons du tour de France)
Du typographe… au metteur en page

L’univers de la fabrication du livre comprenait un nombre important de métiers : papetier, dessinateur de caractères, graveur de poinçons, fondeur de caractère, maquettiste, compositeur typographe, metteur en page, correcteur, pressier ou imprimeur, brocheur, relieur, doreur, graveur sur bois, taille-doucier (graveur sur métaux), lithographe (sur pierre) et, à l’apparition de la composition mécanique, linotypiste, monotypiste, clicheur, phototypiste, etc. Sans oublier les parcheminiers, les éditeurs et les libraires, plus anciens. Ils étaient tous dépendants les uns des autres et formaient une corporation importante et influente. Ils étaient constitués en « chapelles » et fêtaient leur saints patrons : saint Jean Porte Latine, le 6 mai et saint Martin au mois de décembre (à date variable). Tous les métiers « modernes » du Livre sont des descendants de ces derniers.

Le métier de typographe est issu de « l’invention » de l’imprimerie par l’allemand Johann Gensfleish (dit Gutenberg), entre 1440, à Strasbourg et 1450, à Mayence. Cette « invention », elle-même fille du monde des copistes du moyen âge, s’est répandue à travers toute l’Europe au XVI e siècle, avant de gagner le monde entier.

Le métier du metteur en page est l’héritage de celui du typographe, avec un métier intermédiaire, celui de photocompositeur-metteur en page (ou monteur papier).

Il faut donc distinguer trois grandes étapes dans l’évolution du métier, le premier, celui du typographe, a vécu cinq cents ans, le deuxième, celui du photocompositeur, trente ans et le troisième que l’on nommera metteur en page, progresse et se transforme depuis dix-huit ans.

Vous trouverez ci-après des renseignements généraux sur les arts et industries graphiques et d’autres plus orientés vers la formation.

1) Le typographe

Il avait comme travail de calibrer (évaluer l’encombrement futur), de composer à la main le texte tiré d’une copie manuscrite, en levant les lettres (les caractères) de la casse (tiroir en bois où les caractères étaient disposés). Il justifiait les lignes de texte et les interlignait dans un composteur. Il ligaturait (fixation avec de la ficelle) les paquets de composition, pour en faire une morasse (impression rapide à la main ou sur une presse à épreuve), pour le correcteur. Il effectuait ensuite le corrigeage (corrections apportées à la composition), avant la mise en page, l’imposition et l’impression. Une fois le texte imprimé, il redistribuait les caractères dans les casses pour une utilisation ultérieure. Un adage de typographe disait : « faire et défaire, telle est notre affaire ».

Les imprimeries sont le creuset des langues et des écritures depuis le temps de Gutenberg. La plupart de leurs membres devaient savoir lire et écrire. C’est pour cela qu’ils ont toujours été considérés comme des gens dérangeants et dangereux.

A l’heure d’un monde informatisé à outrance, il reste très peu de typographes, pour de simples raisons de délais (la composition à la main prend du temps) et de coût (plus long égal plus cher). D’autres facteurs, et non les moindres, sont la rareté du caractère (parti chez les ferrailleurs dans les années 70 à 80) et l’interdiction de manipuler des métaux comme le plomb. Les derniers typographes composent des ouvrages d’art ou des livres d’artistes, pour les bibliophiles (amoureux de beaux livres), souvent accompagnés de gravures sur métaux ou sur bois et parfois de quelques lithographies, mais ils ont tous plus d’une soixantaine d’années. Il y a eu malheureusement une cassure dans la chaîne de transmission des gestes et des « finesses » de métiers et il est assez difficile de rétablir un ensemble cohérent de la pratique typographique. Et je n’ose même pas évoquer l’histoire de ces professions et de leurs traditions. Comme il se dit : c’est le cordonnier qui est le plus mal chaussé. Toutes mes excuses aux cordonniers…

A la mécanisation des ateliers (fin du XIXe siècle) avec les machines Linotype (composition de lignes-blocs, 1884) et Monotype (caractères mobiles, 1887), le nom de compositeur est resté, mais le métier s’est modernisé, on ne levait plus la lettre mais on la tapait directement sur un clavier. on lui a aussi donné le nom d’opérateur ou de claviste.

2) Le photocompositeur - monteur

A la deuxième grande révolution technique, électronique cette fois (à partir des années 50), le compositeur devient photocompositeur, parce que le « bromure » (la sortie papier) était réalisé à l’aide d’une sorte de gros « appareil photo » (la photocomposeuse), dont le rayon ou le flash lumineux passait à travers un disque ou une carte « matrice » pour reproduire les lettres sur un papier photosensible et développé comme une photo. C’est ce « bromure » que l’on découpait à l’aide d’un « cutter » et d’un typomètre (instrument de mesure propre au métiers du Livre et gradué en points Didots et en « douzes » ou « cicéros ») et que l’on collait ou que l’on encirait pour le montage des pages, sur des tables lumineuses. Ce sont ces pages montées qui servaient ensuite, en photogravure, à faire des films positifs ou négatifs à l’aide desquels on copiait les plaques « offset » (autrefois en zinc, aujourd’hui en aluminium), par insolation aux rayons ultraviolets de la couche photosensible. Ces plaques étaient ensuite mises sur presse pour réaliser l’impression.

3) Le metteur en page

Les années 80 ont vu une nouvelle révolution technique, l’informatique, avec l’apparition des écrans de mise en page, aussitôt suivi par la « pagination assistée par ordinateur » ou PAO. on passe rapidement de très gros systèmes mécaniques ou électroniques à un simple ordinateur, chargé de logiciels de composition, de mise en page, d’illustration et de traitement de l’image, connecté à une imprimante de sortie, permettant des temps de réalisation jamais atteints jusqu’alors. De fait, le photocompositeur est devenu metteur en page.

Ce métier requiert une bonne connaissance de la langue française et une excellente pratique du « code typographique » (ensemble des règles qui régissent et unifient la préparation de la copie, la composition, la correction du texte et de sa mise en forme), dans tous les secteurs professionnels cités ci-dessous. Le but étant de laisser un travail soigné, en utilisant une méthode comprise et utilisable par tous, ce qui facilite la reprise d’un travail par tout autre intervenant. Cela nécessite d’être rigoureux, d’avoir un esprit ouvert, méthodique et solidaire. Nous faisons partie d’un ensemble et on doit faciliter le travail en amont et en aval. Il faut tenter d’être imperméable au stress, le client est toujours en retard mais il veut le travail en temps et en heure.

Le metteur en page, d’après une maquette, mettra en place l’architecture de la ou des futures pages. Il dispose les différents éléments (appelés blocs), qui vont recevoir soit du texte, soit des illustrations, soit des images. Il doit monter ses pages avec un soucis d’harmonie et en rectifiant, au fur et à mesure, ce qui paraît désagréable à l’œil. Il effectue les différentes corrections, sur le texte et sur les images, et transmet sa page pour les étapes suivantes.

Il faut dire un petit mot sur l’amour du métier, à une époque de grands bouleversements, et à la nécessité de se pencher sur son histoire et sur les techniques dites traditionnelles, que beaucoup considèrent comme dépassées. Quand les outils d’un métier commencent à entrer dans les musées, il est urgent de savoir ce que l’on pourrait sauver, en outils, en matériel, et surtout en savoir faire, avant leur disparition complète et irrémédiable.

Cela fait plus d’un siècle que les métiers du Livre sont représentés au sein de l’Union Compagnonnique des Devoirs Unis et il serait préférable qu’ils ne disparaissent pas… Seul impératif, les travaux que vous devrez effectuer seront réalisés de vos mains, d’où l’importance de la sauvegarde des métiers traditionnels. Il n’existe plus de Tour de France pour ces métiers, mais vous pourrez être « sédentaire ». Et pourquoi, cela ne serait-il pas l’occasion de remettre au goût du jour le cheminement compagnonnique de ces métiers ?

De nos jours

Un nouveau métier tend à être imposé, mais cela ne tient pas compte de la diversité des métiers d’origine, c’est celui de compograveur (compositeur et graveur). Il consiste à réunir en un seul, des métiers aussi différents que maquettiste, compositeur et metteur en page (auparavant typographe), infographiste, créateur de logotypes, illustrateur, photograveur, flasheur (avec toutes les notions de colorimétrie, de détourage, de retouche d’image et de scannerisation) et il faut tenir compte aujourd’hui du multimédia (réunion des média comme le texte, le son, l’image fixe ou animée, sur un seul et même support).

4) Les arts et industries graphiques

Nos métiers sont réunis dans un sous-ensemble appelé prépresse (avant la mise sous presse) ou « préparation de la forme imprimante ». Cela regroupe les métiers agissant avant l’impression, dans les secteurs suivants :

– l’imprimerie de Labeur (de la carte de visite à la petite brochure, en passant par l’affiche) ; – l’imprimerie intégrée d’entreprise (il n’en reste pas beaucoup) ; – l’édition (le monde du livre) ; – la presse quotidienne régionale (PQR) et la presse quotidienne nationale (PQN) (secteur bouché) ; – la presse périodique (presse d’information générale qui n’a pas une parution quotidienne) ; – la presse magazine (presse plutôt spécialisée) ; – l’emballage (de produits consommables) ou « packaging » ; – la publicité ; – le textile, le papier peint, la publicité sur lieu de vente (PLV), et toute chose imprimée...

Un nouveau secteur professionnel apparaît, c’est le multimédia (Internet, création pour les DVD et les logiciels graphiques comme les jeux, …).

Nous sommes à l’ère du tout numérique, avec des transferts de données, en poids et en franchissement de distances, qui ont supprimé beaucoup de limites. on envoie du texte de Montréal (Québec), des images de Papeete (Polynésie Française), on les rassemble et les traite à Paris, pour ensuite les faire imprimer ou les mettre en ligne sur Internet à Anvers (Belgique). Tout cela dans des délais très courts, en l’espace d’un petit « clic »...

Des chiffres pour l’industrie graphique (ministère de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi, 2008) http://www.industrie.gouv.fr/sessi/...

Je ne suis pas compositeur typographe, mais il est temps pour moi de me préparer pour aller au travail.Sad Angry
Bonne journée.Neutral

joepiednoir
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: lundi 18 janvier 2010 13:51



Inscrit le: 10/04/2003
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Bonjour à tous

bravo Jean Marc pour cet exposé.

Voici de quoi l'illustrer sur le lien suivant :

http://paris.blog.lemonde.fr/2007/05/24/production-graphique-pour-les-graphistes-et-designers-la-typographie-lere-de-la-photocomposition/

Bonne journée :bisou: :bisou:

"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
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christ.L12
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: lundi 18 janvier 2010 14:14



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coucou les amis,soleil en Vendée

patronymes sur 57 Rall,Neufint/Tänny/Boltz/Bossert/Theobald/Scheuer/
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Véronique.L676
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: lundi 18 janvier 2010 23:57


Inscrit le: 04/08/2009
Messages: 611
Merci Jean Marc !!!!

ça c'est de l'article !!!!

Je suis comblée !

A bientôt !!!

Véronique
Véronique

Mes patronymes recherchés :

16 : LEBAUD - CHIRON - GUERIN
25 : DEMESMAY
54 : BENOIT
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75 : BENOIT - VAGNER - DEMESMAY
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Véronique.L676
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: mardi 19 janvier 2010 07:29


Inscrit le: 04/08/2009
Messages: 611
Bonjour à tous,

Devant tant de sacrés exposés, je me permets encore de demander des infos sur un métier d'un de mes ancêtres.
J'ai regardé en page 15 et j'ai vu "crieur public". Sur mes actes, j'ai pu lire "crieur aux halles" et "facteur aux halles". Je ne sais pas si c'est la même chose. Pouvez-vous m'éclairer ???

Merci et bonne journée !

Véronique
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Benedicte.V5
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: mardi 19 janvier 2010 10:04



Inscrit le: 11/02/2006
Messages: 4 963
Bonjour à tous

Me voici revenue de mon séjour dans les Pyrénées...... je crois que j'ai mon compte de froid et neige pour cette année !!!

J'ai lu avec intérêt les dernières trouvailles....

Pour Véronique, je rajouterai cet article sur le lustreur:



on continue d'utiliser une calandre pour lustrer (bien sûr beaucoup plus perfectionnée...) et l'ouvrier qui la conduit est un calandreur.

Description d'une calandre au 18ème siècle:

http://books.google.es/books?id=qss7AAAAcAAJ&pg=PA286&lpg=PA286&dq=lustrage

Bonne journée

:bisou: :bisou: à tous
christ.L12
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: mardi 19 janvier 2010 13:19



Inscrit le: 19/09/2005
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bonjour

patronymes sur 57 Rall,Neufint/Tänny/Boltz/Bossert/Theobald/Scheuer/
Kiehl/Geisler/Dumolt/Walter/Stenger/Burgun/Schwoerer/Lehmann
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Benedicte.V5
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: mardi 19 janvier 2010 14:24



Inscrit le: 11/02/2006
Messages: 4 963
Pour Véronique.

Le crieur des Halles n'est pas la même chose que le crieur public.....


Crieur des Halles:

celui qui annonce les ventes des denrées apportées aux Halles, dans une vente à la criée.



Toute la marchandise du jour arrive aux pieds du crieur , personnage central. La marchandise, classée en lots, est placée entre les acheteurs (qui sont des grossistes ) et le crieur, et ce dernier joue le rôle d'intermédiaire : il fait monter les enchères et adjuge chaque lot au plus offrant.




on connaît surtout la vente à la criée pour le poisson ; La Criée était également dans certaines villes, l'endroit où le poisson était vendu en gros.




Actuellement ,les grossistes poissonniers achètent habituellement leur marchandise sur un marché professionnel où la vente à la criée est informatisée.



Facteur des halles, aux halles, intermédiaire chargé de la vente en gros à la criée des denrées alimentaires apportées aux halles (dans cette acception, on trouvait le féminin Factrice ; aujourd'hui, on dit plutôt Mandataire).


Bonne après midi
Véronique.L676
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: mardi 19 janvier 2010 14:46


Inscrit le: 04/08/2009
Messages: 611
Whouah !

Merci Bénédicte pour ces belles illustrations !!!! ça avait l'air sympa comme boulot, dommage que ça ne se passe plus comme ça...

A bientôt !

Véronique
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Benedicte.V5
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: mardi 19 janvier 2010 15:07



Inscrit le: 11/02/2006
Messages: 4 963
Joelle, j'espère que tous tes problèmes "lumbalgiques" ont disparu...:bisou:


Et pour être complet sur les crieurs, car ils ont tous la même origine....

Crieur de vin,juré-crieur de corps et de vins


Crieur de vin signalant l'ouverture des ventes.






Dictionnaire historique des Institutions, mœurs et coutumes de France….Pierre Adolphe Chéruel – 1865








Crieur de journaux




on vendait jadis les journaux à la criée. À la grande époque des journaux, les quotidiens employaient des jeunes garçons qui sur les trottoirs des grandes villes européennes, clamaient la Une du journal. Les clients venaient à lui pour en acheter un.


Crieur de journaux vers 1905.


:bisou:
joepiednoir
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: mardi 19 janvier 2010 16:19



Inscrit le: 10/04/2003
Messages: 4 142
Hiding Béné, Jean, Christophe, Jean Marc et Véronique

La lumbalgie çà va mieux,
là je viens de me faire un tri d'enfer dans les photos d'ancêtres pour mettre sur mon arbre.

Je n'en peux plus, j'ai les yeux qui se croisent.fou

bravo Béné pour toutes ces précisions.

:bisou: :bisou:
à+





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Jean-Marc.L30
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: mardi 19 janvier 2010 22:06



Inscrit le: 14/09/2005
Messages: 937
Bonsoir Bénédicte, bonsoir Jean, bonsoir Christophe, bonsoir Joëlle, bonsoir Khalida, bonsoir Sibie, bonsoir Véronique.:bisou:

Jean , je ne la connaissais pas cette escroquerie; pas mal ! Laughing

Bénédicte, il vaut mieux un bon coup de froid, qui à greloter un peu maintenant et avoir un bel été.Mr. Green Mais il est vrai qu'on est mais au chaud.Rolling Eyes

Joëlle, je te remercie de ces éloges Embarassed , mais c'est grâce à vous toute et tous que je suis passé du statut de débutant en recherches sur les métiers ancien à niveau intermédiaire. La palme revenant à égalité à Bénédicte et toi!ouioui WOW Thumb Up

Bonne soirée.
Véronique.L676
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: mardi 19 janvier 2010 22:30


Inscrit le: 04/08/2009
Messages: 611
Bonsoir Jean Marc, bonsoir Bénédicte, bonsoir Joelle, bonsoir Jean, bonsoir Christ... et bien d'autres encore...

J'ai adoré tous les articles que vous avez trouvé, c'est impressionnant et ça fait rêver de savoir que nos ancêtres ait eu des boulots sympas ou difficiles... ça paraît presque irréel et pourtant nous devons ce que l'on a aujourd'hui à ces chers prédécesseurs !

Je reviendrais encore dans pas longtemps pour d'autres métiers. Au fait, j'ai vu qu'un de mes ancêtres était doreur sur un acte, et orfèvre sur l'autre. C'est la même chose ? Merci.

Véronique
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Benedicte.V5
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: mercredi 20 janvier 2010 12:13



Inscrit le: 11/02/2006
Messages: 4 963
Bonjour à tous

Véronique, le doreur et l'orfèvre sont deux choses différentes..

orfèvre p7


Atelier d'orfèvre bijoutier. Planche de l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert.

Pour l'histoire ce lien:
http://www.france-pittoresque.com/metiers/40.htm

et un orfèvre aujourd'hui:
http://www.ushuaia.com/ushuaia-terre/videos-photos/videos/eco-social/0,,4123018,00-decouvrez-le-metier-d-orfevre-.html

doreur p26

mais il doit s'agir d'un doreur sur métaux... ce qui correspond mieux; voir doreur/argenteur sur métaux p127.

Sibie, contente de te revoir parmi nous.

Bottier :
Cordonnier fabricant de bottes.



Gravure Abraham Bosse

Le cordonnier a été étudié en p 91

Pour l’histoire, ce lien :
http://www.france-pittoresque.com/metiers/49.htm


À l'origine, les bottes avaient un rôle utilitaire, comme la plupart des vêtements et accessoires. on porte naturellement des bottes pour monter à cheval en protégeant la partie basse du corps.
on distinguait alors :
• les bottes molles dites aussi bottes à la française ou à l'écuyère dont la tige, molle et large, se terminait par une large genouillère dans laquelle le genou était engagé,
• les bottes de cour ou à chaudron dont la genouillère était évasée en forme d'entonnoir,
• les bottes fortes comme celles qui servaient aux postillons,
• les bottes à la hussarde dont la tige portait des plis sur le cou-de-pied,
• les bottes à l'anglaise ou à revers.
Historiquement, seuls les hommes ont porté des cuissardes pendant plusieurs siècles, de la Renaissance jusqu'à la Révolution. Les bottes montant jusqu'aux cuisses étaient indispensables pour préserver les pantalons, usés prématurément par frottement sur la selle du cheval. Lorsque l'on ne montait pas à cheval, les cuissardes étaient rabattues (on disait « port à la mousquetaire »). L'invention du métier à tisser Jacquard en 1801 a permis de disposer de tissus à prix abordable, ce qui a amené les bottes à redescendre en dessous du genou. Les femmes montaient à cheval en amazone.
(Wikipedia)
Un lien sur les bottes:

http://www.iconofly.com/fr/icones/les-bottes/histoire.html


Depuis le développement de la fabrication mécanique de la chaussure, le Cordonnier s'est plus spécialement occupé de la réparation, tandis que le nom de "Bottier" a été définitivement adopté pour désigner le maître artisan confectionnant, à la main et sur mesure, des articles de haut luxe : bottes et chaussures.

Voir ce lien :
http://www.jeanpierrecoffe.com/metier-bottier


Merci pour tes voeux Khalida.

Bonne journée à tous

:bisou:
christ.L12
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Envoyé le: jeudi 21 janvier 2010 06:10



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un bonjour matinal avant de partir au travail

patronymes sur 57 Rall,Neufint/Tänny/Boltz/Bossert/Theobald/Scheuer/
Kiehl/Geisler/Dumolt/Walter/Stenger/Burgun/Schwoerer/Lehmann
patronymes sur 67 Rall/Woelffel/Muller/Simon/Wattron/Zehner/Fritsch/Lux/Martin/Dumolt/Hilt
patronymes sur le luxembourg Boltz/Kiehl/Bernard/Sosson/Jung/Wagner/Medernach/Hansen
Benedicte.V5
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Envoyé le: jeudi 21 janvier 2010 09:49



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Bonjour à tous

Voilà Sibie, je comprends maintenant pourquoi les poulaines ne sont jamais revenues à la mode........ les robes étant beaucoup plus courtes....Laughing

Métier de la famille des colporteurs:

Le Caïffa

Colporteur de café, épicier ambulant.



La société Au Planteur de Caïffa est fondée en 1890 par Mr et Mme Michel Cahen.
Cahen avait acheté la cargaison d’un bateau au Havre ; bateau, qui à la suite d’un coup de mer, avait eu son fret en partie noyé, donc invendable. Cahen avait tout acheté, avait séché et fait griller le café, l’avait enfin vendu à la petite semaine par colportage. Ensuite, il était devenu marchand de café et importateur.




Initialement uniquement torréfacteur, vendant toute une gamme de café dans son magasin, Michel Cahen tout en restant spécialiste du café, transforme son magasin en épicerie. Il ouvre alors un deuxième puis un troisième magasin et de nombreux autres en province.


Grâce à deux idées très nouvelles pour l'époque, sa société connaît rapidement une très forte expansion:

• Dans la France encore très majoritairement rurale de la fin du XIXe siècle et du début du 20ème, il est important d'aller chez l'habitant. De nombreuses succursales sont créées (on en comptera plus de 400 juste avant la Seconde Guerre mondiale) dans toutes les villes et les gros bourgs. Ces magasins servent à irriguer les campagnes. De nombreux colporteurs iront de ferme en ferme proposer les produits de la société. À pied avec des poussettes à bras, à vélo en triporteur, avec des voiturettes tirées par des chiens ou un cheval, ces milliers de colporteurs font très vite partie du paysage rural français. Le "Caïffa" comme on l'appelle, avec son uniforme vert-bouteille et sa casquette portant le nom de la maison devient aussi populaire que le facteur. Le caisson qu'il trimbale d'environ 1/2 mètre cube aux roues cerclées de fer qui tintent sur les pavés disjoints est peint aux armes du «Planteur de Caïffa». Il propose aux ménagères café, épices, levures, farines et différentes spécialités vendues directement sous la marque "Caïffa". Le métier de colporteur, rémunéré en fonction des ventes, est peu rentable et épuisant. Souvent exténué, parcourant les chemins quel que soit le temps, il trouve souvent refuge le soir chez un fermier généreux et apitoyé qui l'héberge dans sa grange.


• Pour fidéliser ses clients, le "Planteur de Caïffa" invente les timbres fidélité que les paysannes collent méticuleusement dans un petit carnet et qui une fois rempli, s'échange contre quelques objets peu onéreux (assiettes, serviettes etc..). Le carnet de timbres est généralement conservé comme un objet précieux ou un livret d'épargne.




Les bureaux de la société et l'usine de torréfaction sont situés à Paris dans le 14ème arrondissement. Une usine de conditionnement des produits est construite en 1909 à Malakoff en banlieue parisienne. Très vite, elle emploie quelques centaines d'ouvriers. Elle sert aussi de dépôt d'où partent chaque matin plusieurs dizaines de charrettes tirées par des chevaux et des voiturettes à bras.(…..)
(Wikipédia)




Bonne journée.

:bisou:
joepiednoir
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Envoyé le: jeudi 21 janvier 2010 13:06



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Bonjour Béné, Khalida,Sylvie, Véronique,

Salut les garçons, Jean, JeanMarc, Chrisitophe,

bravo Béné pour les CAIFFA, je ne connaissais pas.

Je reflechis toujours à de nouveaux métiers, mais pas d'idée bougie à l'horizon.

Bonne journée à tous. Le soleil est revenu.

:bisou: :bisou:

"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
mes recherches : TAMISSIER(55-23) - LAJOUX(55) - PERSIN(55)-(52)- CHAUVIN (23) - LAURENT (52)
PIEDNOIR(53)- TORTRAT(45-18) - JOUBARD(56) - STOPHE(75-77-78 et suisse ) - GRANDIERE(53-75)-DUCLOS (56) - GIQUEL (56) - LAGROUAIS (56)
SAVARD (45 et 18)- RAIZE (77 - suisse) Joliat (suisse)
Benedicte.V5
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Envoyé le: vendredi 22 janvier 2010 10:18



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Bonjour à tous

Pas vraiment un nouveau métier, mais en attendant que Joelle soit inspirée.....Idea


Fabricant d’Horloges Comtoises




L’ horloge comtoise est une horloge à pendule fabriquée en Franche-Comté, et plus particulièrement à Morez et Morbier dans le Haut Jura, à partir de la fin du XVIIème siècle et dont la fabrication industrielle s’est arrêtée au début du XXème siècle.
Les Comtoises sont des horloges très populaires, pendant des générations, elles ont rythmé le temps dans presque toutes les fermes de France. De nombreuses Comtoises ont également été exportées vers d’autres pays d’Europe et même plus loin.
La présence chaleureuse des Comtoises dans les foyers est due à leur tic-tac régulier et à la forme du meuble imposant qui l'abrite. En effet, le mécanisme en métal est souvent protégé par une gaine en bois. La Comtoise peut aussi être posée sur une console murale.



Photos du site www.horlogescomtoises.fr/ de Caude Converset.



Paysan allant vendre ses comtoises sur le marché de Morez


Voir l’histoire de ces horloges sur ce lien:
http://www.horloges-comtoises-anciennes.fr/page-7-0.html


Aujourd’hui, les horloges Comtoises sont devenues des objets de collection, car elles présentent une grande diversité. En effet, les Comtoises ont été fabriquées sur une période exceptionnellement longue : près de 230 ans Les Comtoises les plus anciennes sont plus rares et plus recherchées.
Les variations concernent essentiellement le cadran, le fronton, l’encadrement et le balancier. De nombreuses Comtoises comportent des complications, avec entre autres des horloges munies de plusieurs timbres, d’indication de la date ou des phases de la lune ou plus exceptionnellement avec des mécanismes d’animation, des carillons …




L’horloge Comtoise est réputée pour la très grande variété de sa décoration. En effet, la décoration varie suivant la période mais aussi parfois suivant le régime politique (les Bourbon, la révolution française, l'Empire ...).La gaine en bois a également beaucoup évolué au fil du temps. (Wikipédia)


Bonne journée.

:bisou:
christ.L12
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Envoyé le: vendredi 22 janvier 2010 13:53



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UN PETIT COUCOU

patronymes sur 57 Rall,Neufint/Tänny/Boltz/Bossert/Theobald/Scheuer/
Kiehl/Geisler/Dumolt/Walter/Stenger/Burgun/Schwoerer/Lehmann
patronymes sur 67 Rall/Woelffel/Muller/Simon/Wattron/Zehner/Fritsch/Lux/Martin/Dumolt/Hilt
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Benedicte.V5
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Envoyé le: samedi 23 janvier 2010 10:17



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Bonjour à tous

Bonjour Jean

Vengeur Public :
Magistrat du ministère public sous l’Ancien Régime

VENGEUR - Un vengeur est une personne qui exerce la vengeance. Au XVIIIe siècle le terme était fréquemment employé ; notamment à l’égard du ministère public, appelé « vengeur des lois », et du bourreau, nommé « vengeur du peuple ». De nos jours il revêt un caractère péjoratif.
Montesquieu (De l’esprit des lois, VI, VIII) : Pour faire exécuter les lois, le Prince prépose dans chaque tribunal un officier afin de poursuivre en son nom tous les crimes … le vengeur public.
(DICTIONNAIRE DE DROIT CRIMINEL
- professeur Jean-Paul DOUCET -)

Bonne journée.

:bisou:

Jean-Marc.L30
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Envoyé le: samedi 23 janvier 2010 18:08



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Bonsoir Bénédicte, bonsoir Jean, bonsoiur Christophe, bonsoir Joëlle, bonsoir Khalida...
Un petit coucou en passant.
Bon w.end.WOW
christ.L12
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Envoyé le: dimanche 24 janvier 2010 06:26



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bonjour et bon Dimanche


c'est un peu vache ce que je vais dire ,
mais les prisons et les hôpitaux psychiatriques seraient moins pleins,
si ce métier de Vengeur public existait encore
(avec la même sentence pour les viols)


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Benedicte.V5
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Envoyé le: dimanche 24 janvier 2010 10:35



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Bonjour à tous

Aujourd'hui dimanche, faisons la grasse matinée....



Bonne journée.

:bisou:
Benedicte.V5
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Envoyé le: lundi 25 janvier 2010 09:18



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Bonjour à tous

Tourneur de métiers



Voici une carte postale qui m’a intriguée…. Je connaissais le tourneur sur métaux, le tourneur sur bois….. mais tourneur de métiers reflechis

Il semble que la photo ait été prise dans une filature.

La seule référence que j’ai trouvée d’un tourneur dans une filature, est celle-ci, pour la filature de la soie :

« Produire la matière première, le fil de soie, en quantité accrue, devient possible grâce à l’invention de l’ingénieur Gensoul en 1807. Un fil de plusieurs centaines de mètres peut être « tiré » sans effort du cocon du ver à soie une fois traité dans de l’eau chaude. Ce fil est cependant si fin qu’il faut dévider plusieurs cocons ensemble pour former chaque « bout ». Il va s’enrouler et former des écheveaux sur un dévidoir appelé volet (ou asple). A l’origine, la fileuse ne pouvant s’interrompre sous peine de faire des à-coups et de produire un fil irrégulier, elle est assistée d’un tourneur (ou tourneuse) pour actionner les volets et d’un chauffeur, généralement un enfant, pour alimenter le foyer situé sous la bassine. L’invention par Gensoul du chauffage collectif des bassines permet d’industrialiser le processus. »


Ici, il ne s’agit pas de soie, mais de coton ; j’ai vu qu’il y avait plusieurs filatures de coton à Falaise.
Mais la fonction du tourneur doit être la même : actionner les volets (dévidoirs)

Qu’en pensez-vous ?


Bonne journée.

:bisou:
joepiednoir
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Envoyé le: lundi 25 janvier 2010 10:51



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Bonjour Béné, Khalida, Sibie, Christophe, Jean Marc et Jean,

Super ce nouveau métier !!!
mais je n'ai rien trouvé" de complémentaire.

Bonne journée tout le monde

:bisou:

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Benedicte.V5
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Envoyé le: lundi 25 janvier 2010 15:33



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Hiding Joelle.

Merci Jean, c'est bien ce que j'avais trouvé..... mais la photo a été prise à Falaise , Normandie.... c'est pour cela que je pense qu'il s'agit d'une filature de coton et non pas de soie.

A ce sujet, cet extrait:

De tout temps, Falaise avant d’être la cité de Guillaume-le-Conquérant et du « Gars à la lanterne » fut la capitale du « bonnet de coton ».





A la fin du XVIIe siècle, l’intendant de la généralité parlait déjà des bonnets qu’on fabriquait plus spécialement à Falaise et qui trouvaient leur débit aux environs. En 1789, on fabriquait depuis longtemps des «bonnets de coton» et, en 1806, Leclerc dans sa Statistique sur Falaise estimait à 660.000 francs par an, la fabrication des bonnets qui, par suite de la crise commerciale, devait tomber, en 1812, à 391.000 francs. Mais de nombreuses filatures, sans compter les filatures à bras se remontèrent peu à peu, fournissant aux bonnetiers falaisiens, la plus grande partie de la matière, dont ils avaient besoin. Le reste était fourni par Rouen et Condé-sur-Noireau. Vers 1820, écrivait Galleron, il y avait 3000 métiers à faire des « bonnets de coton » sans compter quelques métiers particuliers appartenant à de petits façonniers jaloux de conserver leur indépendance. on fabriquait alors 2.380.000 bonnets par an, sans compter les « bonnets de coton » bleus et les bonnets écrus. Alors plus de 1.700 personnes, femmes et enfants, étaient employées au dévidage des fils, au raccommodage et au cousage. Les « bonnets de coton » étaient fabriqués à deux, trois, quatre ou cinq fils, les prix variant selon la qualité du coton ou le nombre des fils employés. Il est curieux de voir quel était le bas prix de la main-d’oeuvre employée : les journées d’ouvrier bonnetier les plus fortes étaient de 2 fr. et en moyenne de 1 fr. Les petits enfants, employés eux aussi à cette fabrication, recevaient un salaire quotidien de 30 à 40 centimes. Ils en fabriquaient 10 à 15 par jour, tandis que les bonnetiers ordinaires en faisaient une trentaine.

Toutes ces fabriques étaient réparties à Falaise même et surtout dans le faubourg célèbre de Guibray, où se trouvaient alors surtout les ateliers familiers indépendants. En dehors des filatures du pays, trois blanchisseries bertholiennes, comme on disait alors, au lendemain de l’invention de Bertholet, se trouvaient non loin du ruisseau de Traine-feuille ou au Val d’Ante où la blanchisserie Lefez blanchissait 20.000 douzaines de bonnets par an, qui coûtaient 80 centimes à blanchir. Tous les « bonnets de coton » fabriqués alors à Falaise étaient employés par la consommation normande, puis par la Bretagne et dans le midi de la France ; il s’en débitait alors beaucoup aux foires de Guibray et de Caen.

Le grand constructeur de métiers était M. Jérôme Toutain. Mais bientôt, au coton nécessaire à la fabrication, filé à la main sur place, allait se substituer la filature purement mécanique. Lorsqu’arrivèrent d’Angleterre les précieuses machines à filer, les bonnetiers de Guibray se refusèrent à en faire usage. Il en résulta une crise causée par la concurrence et qui dura plus de vingt années. Instruits par l’expérience, les industriels falaisiens se résignèrent enfin à adopter les machines à filer, mues par les manèges et par des chutes hydrauliques. La première application de la vapeur au filage fut faite seulement en 1835, par M. Lebaillif, aux filatures de Saint-Laurent et du Moulin-Elie. MM. Lagniel-Carrel ne tardèrent pas à suivre cet exemple et dès lors la bonneterie de Falaise fut approvisionnée en tout temps, comme nous l’avons dit, de coton filé sur place. En 1865, il y avait déjà cinq filatures de coton. (…..)

Depuis ces temps de triomphe, « le bonnet de coton » a bien décliné et Falaise a dû remplacer par d’autres tissus, sa vieille spécialité de jadis qui, pourtant, n’a point encore disparu complètement… Il fut un temps où les usines falaisiennes étaient au nombre de 80. M. Auguste Nicolas dans son livre sur le Calvados agricole et industriel, publié en 1918, constate que l’industrie de Falaise était réduite à neuf usines qui répondaient cependant à toutes les commandes faites. A cette époque, Falaise fabriquait surtout les « chemises de coton tricot », rayées de bleu de la marine française, qui avaient remplacé le pacifique « bonnet de coton » de nos pères, dont nous venons de conter l’histoire.
:Extrait de : Le Bonnet de coton en Normandie (1924). GEORGES DUBOSC(1854-1927)


Bonne après-midi.

:bisou:
Jean-Marc.L30
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Envoyé le: lundi 25 janvier 2010 18:15



Inscrit le: 14/09/2005
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Bonsoir Jean, bonsoir Christophe, bonsoir Bénédicte...:bisou:

Trés instructif, cet article sur les bonnets de coton!bravo bravo bravo
Benedicte.V5
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Envoyé le: mardi 26 janvier 2010 09:45



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Bonjour à tous

Ça Jean, c'est l'ancêtre du prêt-à-porter.......





Bonne journée.

:bisou:
christ.L12
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Envoyé le: mardi 26 janvier 2010 15:34



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bonjour

comme bonnet ,moi j'ai reçu celui là pour mes 40 ans!!!




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Jean-Marc.L30
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Envoyé le: mardi 26 janvier 2010 18:52



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Bonsoir Sibie, bonsoir Christophe, bonsoir Jean, bonsoir Bénédicte.:bisou:

Quelqu'un aurait un beau bonnet comme celui de Christophe, des gants et une écharppe ?etrange
Il fait de nouveau froid à travailler dehors!Angry
Bonne soirée.
christ.L12
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Envoyé le: mercredi 27 janvier 2010 05:55



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bonjour,

Jean Marc,tu veux le même !!!


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Benedicte.V5
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Envoyé le: mercredi 27 janvier 2010 11:18



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Bonjour à tous

Selon le Littré:

Marly: Sorte de gaze dont on fait des ouvrages de mode.

Blonde Very Happyentelle de soie. Une blonde d'Angleterre.


"Blonde de Caen". Moitié du XIXème.


Chenille : Sorte de passementerie veloutée en soie.
(mais également : Autrefois, un habillement négligé que les hommes portaient avant de faire leur toilette. Lorsqu'il me rendit visite, j'étais encore en chenille. )

Serais-tu encore en chenille Jean?

Bonne journée

:bisou:



joepiednoir
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Envoyé le: mercredi 27 janvier 2010 11:35



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Hiding Les amis,


Encore des trouvailles!!!!!!!!Super

Ici depuis ce matin ca neigeotte et il fait pas chaud.

Vivement cet été.


:bisou: :bisou: et bonne journée

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christ.L12
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Envoyé le: jeudi 28 janvier 2010 06:04



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bonjour

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joepiednoir
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Envoyé le: jeudi 28 janvier 2010 09:36



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Désolée , je ne suis pas très bavarde en ce moment. Mais je pense à vous.

Bisous

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Benedicte.V5
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Envoyé le: jeudi 28 janvier 2010 13:03



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Bonjour à tous

Hiding Joelle. Seraient-ce ces peits chats qui ont mangé ta langue? J'espère que tu vas bien:bisou:


Cressonnier

Cultivateur de cresson



Pendant très longtemps le cresson a été cueilli et consommé à l’état sauvage. Jusqu’au XIXème siècle , il est vendu par des marchands ambulants.
La culture du cresson est introduite en France entre 1809 et 1810 par Cardon, gestionnaire des hôpitaux de la Grande Armée, après qu’il eut découvert sa technique de culture en Allemagne. La crainte du scorbut l'incite à créer la première cressonnière. La culture prospère et de nouveaux exploitants se mettent à la recherche de sites favorables comportant des sources et une vallée à large fond plat. Charles Lefèvre s'installe à Méréville en 1894. Depuis, Méréville est devenue la capitale mondiale du cresson par la longueur des fossés et le nombre d'hectares cultivés.

Dans la cabane, le cressonnier rince les bottes dans un grand bassin d'eau courante et emballe chaque soir sa production expédiée aussitôt sur les marchés.



Le cressonnier est un ouvrier très spécialisé qui se contentait autrefois d'un matériel rudimentaire. À genoux sur la planche et à l'aide d'une pointe de vieille faux bien affûtée, il coupait, façonnait puis attachait les bottes de cresson avec de l'osier taillé et fendu durant les soirées d'hiver. C'est encore lui qui fabriquait les grands paniers d'osier contenant douze douzaines de bottes.

Voir des explications sur ce petit livret très bien fait :

http://www.essonne.fr/fileadmin/Culture/Archives_departementales/cresson_livret_exposition.pdf


Le cresson et…….

…….une vieille chanson...



Quand j’étais chez mon père,
Petit Jeanneton,
J’allais à la fontaine
Pour cueillir du cresson.
Verduron, verdurette,
Verduron dondon.
La fontaine était creuse,
Je suis tombée au fond.
Par le chemin y passent
Trois fort jolis garçons.
Verduron, etc. (…)

(Extrait d’une chanson populaire en vogue au début du XVIIIe siècle, déjà très ancienne. Recueil de Chants populaires du Nivernais, 1937)


….. les armoiries d’une ville..




Bonne journée

:bisou:
christ.L12
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Envoyé le: jeudi 28 janvier 2010 15:53



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COUCOU

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Jean-Michel.B235
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Envoyé le: vendredi 29 janvier 2010 13:25



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b'jour à tous
j'm
Les AD 75 sont en ligne maxi 1902

http://canadp-archivesenligne.paris.fr/

A LIRE IMPERATIVEMENT
http://www.genealogie.com/v4/forums/recherches-genealogiques-mains-tendues-plaquette-informative-des-ad-de-paris-recherche-avant-1903-1ere-page-t1056606.html

Avant 1860 pas nécessaire du N° arrondissement car dans les ACTES RECONSTITUES que 30% existants (classement Alphabétique ) les actes ne sont pas encore numérisés
http://canadp-archivesenligne.paris.fr/archives_etat_civil/avant_1860_fichiers_etat_civil_reconstitue/index.php

pour info sur Paris 1er recensement en 1926,1931,1936,1946


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Pas de demande en MP , en MAIL,SVP
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christ.L12
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: vendredi 29 janvier 2010 15:43



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bonjour

patronymes sur 57 Rall,Neufint/Tänny/Boltz/Bossert/Theobald/Scheuer/
Kiehl/Geisler/Dumolt/Walter/Stenger/Burgun/Schwoerer/Lehmann
patronymes sur 67 Rall/Woelffel/Muller/Simon/Wattron/Zehner/Fritsch/Lux/Martin/Dumolt/Hilt
patronymes sur le luxembourg Boltz/Kiehl/Bernard/Sosson/Jung/Wagner/Medernach/Hansen
christ.L12
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: vendredi 29 janvier 2010 15:49



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Benedicte.V5
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: vendredi 29 janvier 2010 16:23



Inscrit le: 11/02/2006
Messages: 4 963
Bonjour à tous

Pour Jean

Dératisateur




Rattus rattus, Rats des champs ou rat noir appelé aussi rat des greniers.
Très commun au moyen âge et jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, le rat noir ou rat des champs ou des greniers a été supplanté par le rat surmulot ou rat d'égout. (rattus norvegicus). Historiquement débarqué en Europe au XIIIe siècle en provenance d'Inde, le rat brun ou rat d'égout a quasiment décimé son cousin le rat noir (moins grand, moins prolifique) qui avait amené la peste en Europe. Depuis, le rat noir ne se trouve presque plus que dans les champs, d'où son nom de rat des champs.Le rat d'égout préfère les habitats humides, égouts, bords de lacs ou rivières.

La lutte des hommes contre les rats est une longue histoire : des premières tentatives de mettre les récoltes et la nourriture à l'abri des rats
(moyens mécaniques, obstacles, pièges etc) aux raticides actuels en passant par l’utilisation d’animaux ratiers (chats-déja employés dans l’Egypte Ancienne – mais aussi chiens ratiers et autres animaux)……. .
Mais une disparition totale des rats n'est pas à souhaiter: Leur rôle d'éboueurs dans les égouts et leurs passages réguliers dans ces canalisations permettent d'empêcher que des obstacles s'y accumulent et gênent le passage des eaux usées


Le dératisateur travaille actuellement dans des entreprises de “Désinfestation - Désinfection - Dératisation – Désinsectisation »

Les techniques de dératisation évoluent constamment en fonction des nouvelles découvertes.
L'éradication de ces rongeurs se fait actuellement principalement avec des anticoagulants, ce qui limite le risque vis-à-vis de l'environnement et permet une dératisation très efficace de ces hôtes indésirables. Des contrôles réguliers sont nécessaires pour assurer une dératisation complète et efficace d'un immeuble.

Un examen attentif de la situation, quantité d'excrément de rats, récents (humides) ou anciens (secs), dégâts, rat isolé ou colonie installée permet d'avoir une idée exacte de l'infestation de rats et de dératiser avec une efficacité totale. Le dératiseur peut aussi vous proposer la pose d'un grillage ou d'une cloche sur des évacuations d'eaux pluviales pouvant donner un accès aux rats.

Lorsque un rat s'est introduit dans un local, magasin, garage etc, il s'agit probablement d'un rat isolé, rentré par accident:
Porte ouverte, travaux en cours dans l'immeuble (réseau d'eaux usées par exemple). Dans ce cas, un piégeage peut être très efficace. Les pièges, cages prenant les rats vivant (à vous de les tuer ou de les relacher dans la nature à bonne distance de votre maison!) ou tapettes à rat les tuant instantannément en leur brisant le cou, sont d'une efficacité redoutable. Appatez avec du poisson ou la nourriture déjà consommée par le rat. Sachez seulement qu'il n'est pas possible d'éradiquer toute une population de rongeurs uniquement par le piègeage, qui bien sûr doit être accompagné d'une dératisation classique.


Autrefois il existait le :


vendeur de mort-aux-rats.



Rembrand 1632


Il est reconnaissable grâce à plusieurs indices. Tout d'abord par sa cage perchée sur un baton qui renferme des rats capturés par ses soins. Des rats morts, accrochés en dessous, sont fiérement exibés comme des trophées. Au sommet de la cage, se trouve également un rat libre. Sur son épaule est perchée un furet apprivoisé, redoutable chasseur. Enfin, il porte une épée à la taille pour tuer les nuisibles.
De fait, même si des poisons à base d’arsenic (comme les premières mort-aux-rats) existaient à cette époque, ce n’était pas, comme on le voit, la méthode d’extermination des rats la plus répandue.



Gravure d’Abraham Bosse. XVIIème siècle






Et un dératisateur de légende :



Le joueur de flûte d’Hamelin.

Je précise que moi ne n'ai rien contre ces petites bêtes....


Bonne journée.

:bisou:
Jean-Marc.L30
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: vendredi 29 janvier 2010 22:16



Inscrit le: 14/09/2005
Messages: 937
Bonsoir Jean, bonsoir Bénédicte, bonsoir Joëlle, bonsoir Christophe.:bisou:

Christophe, pour sûr il est beau et doit être chaud , ton bonnet!Thumb Up

Pour les cressonnières, on peut les visiter à Méréville, prés de chez moi.ouioui Mais actuellemnt, on doit les préparer à la culture. Question

Jean, même si pensant les fêtes, j'ai pris un npeu d'embompoint, je ne prendrais pas de mort aux rats non plus.Mr. Green
Bonne soirée. Sleeping
Benedicte.V5
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: samedi 30 janvier 2010 10:33



Inscrit le: 11/02/2006
Messages: 4 963
Bonjour à tous

Empoisonneuse n'est pas un métier mais,toujours sur les poisons, petit article interessant à lire....

L’Affaire des poisons de 1679-1682 à l’origine de la réglementation relative
aux substances vénéneuses:

http://www.ordre.pharmacien.fr/upload/Syntheses/185.pdf




Bonne journée

:bisou:
christ.L12
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: samedi 30 janvier 2010 14:08



Inscrit le: 19/09/2005
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coucou



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