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joepiednoir
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: jeudi 20 décembre 2007 12:27



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LE POSTILLON

Le postillon était un homme chargé de mener une voiture hippomobile, tout comme le cocher. Mais alors que le cocher conduit l'attelage depuis la voiture, assis sur un siège, le postillon monte le cheval, ou l'un des chevaux qui tirent le véhicule, et que l'on appelle le porteur.

Les chaises de poste étaient généralement menées par un postillon (ce qui explique l'origine du nom) : on appelle attelage en poste tout attelage mené par un ou plusieurs postillons. Les grandes diligences du XIXe siècle nécessitaient souvent la présence simultanée d'un cocher et d'un postillon (attelage en demi-poste) : dans ce cas le cocher avait toujours la prééminence. Les cochers considéraient souvent les postillons avec condescendance. Le postillon montait le timonier (on appelle ainsi les chevaux attelés au plus près de la voiture) de gauche. Ses conditions de travail étaient assez rudes, puisqu'il devait passer de longues heures à cheval, par tous les temps, sans protection contre les intempéries. Il mettait ses pieds dans de grandes bottes de cuir bouilli, avec lesquelles il lui aurait été impossible de marcher, mais qui étaient fixées sur les flancs du cheval. Les postillons des grandes compagnies de diligences portaient une livrée caractéristique. Ils utilisaient un cor de poste (ou cor de postillon) afin de prévenir les relais de leur arrivée, et aussi de se signaler dans les passages dangereux.

Le travail du postillon de relais était d'accompagner les voyageurs qui louaient des chevaux de selle (les bidets) entre deux relais, soit environ deux lieues (8 km), et de ramener ensuite les chevaux au pas, après un repos. C'est lui qui réglait l'allure, et il était interdit de lui demander d'accélérer, sauf à lui payer « double poste ». Il pouvait accompagner six chevaux, le maximum estimé pour pouvoir les ramener au pas. En contrepartie des désagréments du métier, le postillon était considéré comme un joyeux drille, aimant boire et plaisanter.

Au XIXe siècle, dans les sociétés aisées, les bonnes manières imposaient des types de voitures et d'équipages très spécifiques, demandant des cochers, des postillons (ou pas, la mode sportive voulant que les propriétaires conduisent eux-mêmes certaines voitures). Ainsi, une calèche attelée à la d'Aumont était tirée par quatre chevaux, deux à deux, chaque cheval de gauche étant monté par un postillon
.


VOITURES DE POSTE



BOTTE DE POSTILLON constituée de 7 epaisseurs de cuir qu'il mettait par dessus ses bottes pour le proteger et branches et en cas de chutes


COR DE POSTILLON pour prevenir les gens de son arrivée ou sonner l'heurede départ de la voiture



"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
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PIEDNOIR(53)- TORTRAT(45-18) - JOUBARD(56) - STOPHE(75-77-78 et suisse ) - GRANDIERE(53-75)-DUCLOS (56) - GIQUEL (56) - LAGROUAIS (56)
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joepiednoir
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Envoyé le: jeudi 20 décembre 2007 15:29



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HISTOIRE DES RAMONEURS
(texte tiré de "L'héritage de la terre Franc-Comtoise" par Bernadette Maréchal=




arkblue">Les ramoneurs sont nés il y a plus de quatre cents ans. Ils protègent les foyers contre le feu, ce qui leur vaut une popularité sans égale et leur attache la réputation de porte-bonheur.
Origine du mot "ramoneur" :

XIIIe :"ramoner" signifie balayer, puis le sens originel de balayer tombe dans l?oubli. Ce n?est qu?en 1606 qu?on peut lire dans le Trésor de la langue française de Jean Nicot (1) au mot ramoneur : "est indifféremment appelé quelconque qui use du Ramon", mais le français l?a restreint à "celui qui ramone les cheminées"

Fin XVIIe (1694) le Dictionnaire de l?Académie française donne la définition suivante "Ramoneur : celui dont le métier est de ramoner les cheminées, les ramoneurs viennent presque tous de Savoye".

Au XVIIIe, la révolution de la cheminée atteint sa pleine ampleur par l?invasion des demeures bourgeoises et des habitations collectives à étages peuplées de cheminées qu?il faut débarrasser de la suie. Le ramonage devient une activité courante, puis obligatoire.

Au XIXe, en 1870, le Dictionnaire Universel de Pierre Larousse, fait de savoyard un nom commun, "savoyard :.fumiste, ramoneur, la Savoie, fôurnissant un grand nombre d?hommes et d?enfants qui exercent cet état".

D'où viennent les ramoneurs ?

Aux XVIIIe et XIXe, les petits ramoneurs se répandent à travers la France, traversant les campagnes pour terminer leur course dans les grandes villes. Au XVIIIe l?expatriation des ramoneurs est entrée dans l?usage et est une source de revenus réguliers pour bon nombre de paroisses. Sous la Restauration, puis dans la moitié du XIXe, on compte un demi-millier de partants. Le maximum est atteint sous le Second Empire.


Les petits ramoneurs et bergers, étaient souvent savoyards, mais leur recrutement se fait dans trois régions : la Maurienne, la Tarentaise et la vallée d?Aoste; enfants de familles pauvres, ils quittaient leur maison vers l'âge de dix à treize ans. Les filles, quant à elles, étaient placées dans quelque maison bourgeoise. Certaines trouvaient de bons et généreux patrons et patronnes, d'autres vivaient sous la dictature de maîtres méprisants et méprisables, un esclavage que leur très jeune âge et la séparation de leurs parents rendaient insupportable.

Chaque semaine ou pour certains, chaque mois, ces pauvres petits ramenaient à la maison le maigre salaire que leur avait rapporté un travail péniblement démesuré pour leur âge. Les familles étaient nombreuses, frères et soeurs vivaient souvent grâce aux revenus des plus grands. Nos petits ramoneurs étaient souvent embauchés par les marchands de bois ou de charbon. Levés à six heures et équipés de genouillères, de raclettes et de cuirasses, ils partaient avec leur chef, qui lui portait le hérisson et la tringle à nettoyer les tuyaux. Les gosses montaient dans les conduites des cheminées, en s'aidant des genoux et des coudes : à mesure qu'ils montaient, ils raclaient la suie. Ils n'étaient habillés que des vêtements que les gens voulaient bien leur donner. Ils usaient beaucoup, leurs vêtements étaient toujours déchirés et noirs de suie. Sur la tête, ils coiffaient un bonnet qu'ils tiraient jusque sous le menton lorsqu'ils montaient dans les cheminées. on reconnaissait facilement les nouveaux venus parce que leurs genoux étaient écorchés, le patron leur passait la peau à la flamme d'une chandelle. Au bout de quinze jours, elle s'était durcie et ne craignait plus les rudesses du métier. Oui le métier était rude, et dangereux. Certaines cheminées dépassaient le toit de plusieurs mètres et il leur fallait y grimper pour tirer le hérisson. Certaines autres étaient trop étroites et même les plus petits ne pouvaient s'y glisser. Un d'entre eux racontait un jour, comment resté coincé dans une conduite, terrorisé à l'idée de la réprimande du chef, il était resté là, pleurant sans oser redescendre.


Le jour de la Saint Gras (2) en général, les troupes de petits Savoyards s?en vont par les chemins, suivant un itinéraire précis. Chaque maître ramoneur a sa tournée et malheur à qui s?avisait d?aller chasser sur les terres d?autrui. Des rixes violentes s?ensuivaient. La saison d'été se passait en ville, celles d'automne et d'hiver en campagne, durant lesquelles ils traversaient plusieurs départements à pied, même pieds nus pour économiser les sabots. Ils abattent des étapes de 40 à 50 kms par jour, les plus forts chargés de marchandises. Souvent ils marchent la nuit pour échapper à la police, à l?affût de toute sorte de mendicité. Même quand circulèrent les chemins de fer, on fit encore à pied le voyage aller; pour le retour, les ramoneurs obtenaient du PLM un permis à demi-tarif pour être rapatriés comme chômeurs. Lors de leurs déplacements ils tiraient derrière eux une charrette sur laquelle ils entassaient la suie récoltée. cette suie était ensuite expédiée au Creusot pour la trempe des aciers. Ils dormaient dans les granges ou dans les écuries, parfois dans des hangars où, loin de la chaleur des bêtes, ils devaient se couvrir de leurs sacs à suie pour ne pas grelotter de froid. Leurs repas étaient composés des dons que les paysans leur faisaient : pain, lard, parfois du vin. Voyageant ainsi de commune en commune, ils frappaient tout d'abord à la porte du maire qui leur indiquait chez qui ils devaient aller. Les habitants de certaines communes se montraient plus généreux que d'autres. En général aussi, bourgeois et châtelains se révélaient méprisants et avares alors que les petits propriétaires et ceux qui avaient peu pour eux-mêmes, cherchaient avec bon coeur et générosité à faire plaisir et consoler.


on demandait au ramoneur de chanter lorsqu'il atteignait le haut de la cheminée, alors avec courage, il faisait marcher sa raclette et arrivé au sommet, il s'asseyait sur le rebord et chantait tout son répertoire; les chansons étaient plutôt osées, mais les enfants qui écoutaient ne comprenaient pas, ce n'était donc pas grave ... L'hiver était redoutable, alors que le chef portait un long manteau de cuir, les petits ramoneurs tremblants de froid, n'avaient sur les épaules qu'un sac. Ils ne pouvaient se réchauffer que dans les cheminées encore vivantes du feu que l'on venait d'éteindre. Il leur fallait de plus tirer, parfois dans la neige épaisse, leur lourde charrette de suie.

Se mettre à table avec un ramoneur portait bonheur. on l'invitait à dîner les jours de noce s'il se trouvait d'être là. Le dimanche ils ne travaillaient que jusqu'à dix heures, puis ils quittaient leurs bonnets, coiffaient leurs casquettes et sortaient en ville.





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Envoyé le: jeudi 20 décembre 2007 15:41



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AUTRES PHOTOS DE PETITS RAMONEURS









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Envoyé le: jeudi 20 décembre 2007 17:19



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CHERCHEUR D'OR EN FRANCE

Certaines idées reçues ont parfois la vie dure, dans le domaine de l'orpaillage comme ailleurs. Pour la majorité de nos concitoyens, parler de chercheurs d'or évoque aussitôt la Californie et la ruée vers l'or de 1846, Far-West, cow-boys, chemises à carreaux et revolvers. A les entendre, on pourrait penser que l'histoire de l'or débute au 19ème siècle dans les vastes contrées de l'Ouest américain. L'habillement, pour ne pas parler parfois de l'accoutrement de certains orpailleurs d'aujourd'hui rencontrés au hasard des championnats ou le long des rivières françaises ne peut que consolider cette image largement colportée par les articles de presse.
Non l'histoire de l'orpaillage n'a pas débuté en 1846 mais semble bien remonter à la nuit des temps classant cette activité parmi les plus vieux métiers du monde.


L'or en France
C'est souvent sous forme de paillettes et plus rarement de pépites ou de grains que l'on peut rencontrer l'or dans le sable des rivières françaises.
L'or est largement distribué dans les cours d'eau de notre pays mais il est possible de distinguer trois secteurs aurifères importants par leur étendue et leur richesse. Ce sont les Pyrénées, la bordure sud-est du Massif Central (Cévennes) et le Massif Armoricain. A ces grands districts, il faut ajouter le Limousin, quelques rivières du Puy-de-Dôme, du Cantal, la plaine du Rhin, la Savoie et le Rhône et quelques autres d'importance plus modeste.
Dans notre pays, le lavage des sables des rivières semble remonter à l'Antiquité, il sera pratiqué au Moyen-Age et se poursuivra jusqu'à la fin du 18ème siècle. Depuis 1975, on assiste au renouveau de l'orpaillage comme activité de loisir essentiellement.

Historique
Période antique : intense activité
Il semble bien que la richesse aurifère de la Gaule fut l'une des causes de l'invasion romaine, il y a environ 2 000 ans.
Les écrits de nombreux auteurs antiques, (Strabon, Possidonios, Diodore de Sicile, Pline, ?) attestent de la prospérité de la "gallia aurifera". Les vestiges des exploitations antiques gauloises si souvent évoquées sont toutefois difficiles à localiser précisément.
Des recherches archéologiques récentes apportent la preuve que 400 ans av JC, les Gaulois creusaient le sous-sol du Limousin à la recherche du métal précieux. Dans les Pyrénées, près de Cambo, dans la région des Aldudes et le long du Rio Arizacun subsistent des haldes considérables qui semblent bien être les vestiges d'exploitations alluvionnaires antiques.


Moyen-Age (4ème / 14ème siècle)
Nous ne possédons que très peu de renseignements sur l'exploitation de l'or à cette époque. Il semble bien que 'après la chute de l'Empire romain, l'exploitation minière se soit totalement éteinte. Les raisons de cette extinction restent mystérieuses. Le lavage des sables des rivières semble avoir subsister et s'est certainement développé principalement le long du Rhin, dans les Alpes, les Cévennes, les Pyrénées et le Limousin.


15ème / 18ème siècle : âge d'or de l'orpaillage
C'est de cette période que datent les premiers actes, décrets et document écrits qui concernent l'orpaillage et commencent à régir légalement cette activité.
L'activité des orpailleurs atteindra son apogée à cette époque le long du Rhin, du Rhône et de ses affluents, dans les Cévennes et les Pyrénées.
D'après les textes anciens, il semble bien que la récolte des paillettes d'or soit toujours restée une activité annexe permettant aux bergers, agriculteurs ou pêcheurs d'améliorer leurs revenus.


19ème siècle : disparition des orpailleurs
Jusqu'en 1810, date de promulgation de la loi sur les mines et carrières, l'orpailleur travaillait sous le régime des patentes royales. Fournisseur du trésor du roi, il était détenteur de certains privilèges dont celui de pouvoir choisir librement ses gisements et de les exploiter sans tenir compte de l'avis du propriétaire du lieu.
La loi de 1810 supprima les patentes, l'autorisation des propriétaires riverains des cours d'eau aurifères fut alors nécessaire et bon nombre de chercheurs d'or furent alors chassés impitoyablement.
Malgré le grand nombre de personnes qui pratiquèrent la recherche de l'or alluvionnaire, cette activité resta toujours au stade de l'exploitation individuelle et la faible productivité du chercheur isolé explique aussi cette disparition. on estimait la production individuelle des orpailleurs du Gardon ou de la Cèze (Gard) à environ 2 ou 3 g par jour.
Seuls quelques orpailleurs isolés subsistèrent encore quelques années mais ils disparaîtront à l'aube du 20ème siècle.





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Envoyé le: jeudi 20 décembre 2007 18:29



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JE VOUS ABANDONNE POUR CE SOIR MON HOMME RENTRE DE DEPLACEMENT JE DOIS FAIRE LA SOUPE
BONNE SOIREE A DEMAIN



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Envoyé le: vendredi 21 décembre 2007 08:46



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UN PETIT DEJEUNER POUR COMMENCER LA JOURNEE


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Envoyé le: vendredi 21 décembre 2007 09:27



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LE LAITIER



LA LAITIERE



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Envoyé le: vendredi 21 décembre 2007 11:18



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ET SI AVANT DE METTRE NOS SOULIERS DANS LA CHEMINEE on PARLAIT DES "SABOTIERS"
Les sabotiers

Les sabotiers travaillaient souvent en équipe de 3 ouvriers.
L'ébaucheur ou équarisseur, dégrossissait à la hache une pièce de bois pour lui donner une forme primitive.
Le pareur utilisait un paroir pour affiner les surfaces extérieures gauches et droites du sabot et commençait à le creuser.
Le troisième ouvrier à l'aide de mèches, de cuillères et de gouges évidait l'intérieur du sabot.
Le maître sabotier tel le maître bottier, effectuait le travail sur la qualité du chaussant, apportant au sabot toute l'ergonomie et le confort requis pour le bien être du pied.
Les fleuristes en sabot exécutaient des motifs décoratifs fleuris à l'intention des femmes qui les portaient le dimanche pour se rendre à l'église.
La fabrication du sabot était un travail entièrement fait à la main et représentait une tâche pénible.



maison des sabotiers


travail a la gouge


travail au paroir


le fleuriste en sabot est passe par là

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Envoyé le: vendredi 21 décembre 2007 13:29



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Le Sabotier :



Louis XIV en 1669 par ordonnance royale interdit à tous les métiers utilisateurs de bois : Sabotiers, Verriers, Cercliers, Potiers de "tenir atelier à moins d'une demi-lieue de la forêt" soit deux kilomètres, afin sans doute de prévenir les incendies.

Les sabotiers de Fougères continuèrent cependant à loger dans leurs huttes en forêt dont ils ne sortaient que le dimanche. Ils étaient considérés comme des marginaux. Les frères Chéenne de Fougères sont issus d'une longue lignée de Sabotiers et perpétuèrent ce métier. Ils ont reçu le titre de Meilleur Ouvrier de France en 1961 et 1965.

De quel bois je me chausse ?

Chaque région utilisait le bois le plus courant sur son terroir : frêne, érable, bouleau, merisier, peuplier.

Le bois préféré des Sabotiers de Fougères était le hêtre si répandu en forêt. Chaque essence a ses qualités et ses défauts. Le "retrait" c'est-à-dire la rétraction du bois lors du séchage ( 2 à 3 mn ); Il faut en tenir compte pour le calcul de la pointure ! Le peuplier, bois tendre, permet au sable et au gravier de s'incruster; ceci augmente sa dureté et empêche de glisser ( utilisé pour chausser les marins-pêcheurs, et mariniers ...); Ces sabots de labeur étaient taillés dans la partie du tronc la plus proche des racines, réputée plus dure. La question du poids du bois avait également sont importance étant donné que les personnes ne quittaient pas leurs sabots de la journée. Le frêne donnait des sabots plus résistants à l'eau pour les paysans et le merisier des sabots vernis pour les Dames.



La fabrication :

Le bois était travaillé vert.

Le tronçonnage ( on découpe le billot en fonction de la taille du sabot )

Fendre le billot ( en quatre quartiers minimum en tenant compte des fentes naturelles du bois )

L'ébauche ( a la hache de sabotier, (outil à lame recourbée, a manche court terminé par une loupe de bois permettant de poser l'outil sur la hanche lors du travail ), on déterminait déjà le sabot gauche du droit en veillant à ce que l'écorce soit à l'intérieur et le c?ur à l'extérieur. on affinait l'extérieur avec le paroir et le talon à l'aide de la gouge. Pour creuser le sabot on utilisait d'abord la vrille puis des cuillers de différentes tailles, l'intérieur du talon était creusé au boutoir enfin la semelle intérieure était aplanie a la rouanne.

Le Paroir


La cuiller


Le Boutoir


Le séchage ( 2 ou 3 jours dans un séchoir à claies suspendu au-dessus du feu de copeaux. Dés que le bois blanchit il est prêt )

La finition ( "la pare" est souvent l'?uvre des femmes, a cheval sur un chevalet elles bloquent le sabot entre une cheville de bois et leur ventre, puis à l'aide d'un grattoir à fil retourné, elles lissent le bois. Pour terminer, chaque artisan dessine des motifs décoratifs à la rainette .

A fougères rue de la pinterie, en 1900, six sabotiers avaient encore pignons sur rue, un seul survivra à la première guerre mondiale ! Aujourd'hui les Sabotiers travaillent pour les touristes et diversifient les objets en bois qu'ils proposent afin de ne pas devenir eux-mêmes des "va-nus-pieds". Dans cette Bretagne riche en contes et légendes, que deviendrait le Père Noël s'il ne trouvait plus de sabots dans la cheminée ?



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Envoyé le: vendredi 21 décembre 2007 15:26



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LES SANTONNIERS
Quand l'argile prend vie

Dans l'éclatante lumière, la Provence chante les argiles: la rouge, l'ocre et la jaune.
La bible raconte que Dieu pétrit l'homme dans ce limon. La Provence raconte le santonnier pétrissant le santon dans la même terre encore gorgée d'eau et de soleil.


Et tout l'art du santonnier réside dans une expression, un geste, une offrande, un métier, des couleurs - vives, uniques - un style fait de sincérité et de naïveté authentique. La multitude des santons est diverse, autour des personnages de la tradition évangélique, seuls ont droit de cité les petits métiers, le petit peuple de la rue, tous porteurs d'offrandes
.



L'argile

De l'argile pétrissable et modelable à l'envi naît ce petit peuple sorti tout droit à la fois de l'imaginaire et de la tradition. Un matériau simple, essentiel ; lien directe entre l'artiste poète et la terre dont il est issU


La naissance
du modèle en argile.

L'art du santonnier est populaire. C'est un art simple, sincère et authentique dans son inspiration, rudimentaire dans sa technique pour laisser s'exprimer toute la richesse de l'imaginaire.
Le santonnier est habile, observateur, créatif, inspiré. De la glaise et des mains, puis du pinceau, surgit le réel à la rencontre de la légende, et naît le santon figé dans l'attitude qui le distingue et le rend digne de rejoindre le petit peuple de la mythologie provençale.






S'enflamme alors la poésie avec l'inspiration. Elle se nourrit de mille détails observés, engrangés. Long temps de l'observation qui lentement imprime dans le souvenir du santonnier ce moment, ce regard, ce geste, l'harmonie des tissus. Une quête ininterrompue, à la manière des poètes improvisateurs dont les promenades expertes permettaient de fixer en images et en rimes la vie des gens qui entraient ainsi dans leur légende.

L'estampage & le moulage

Ensuite vient l'étape de la reproduction à l'aide de moule en plâtre, tel qu'elle est pratiquée depuis la naissance de l'art santonnier. L'estampage consiste à appliquer l'argile dans le moule. Comme toutes les étapes de la fabrication du santon, celle-ci est manuelle. Vient ensuite le pressage de l'argile entre les deux parties du moule.



L'ébarbage

Des gestes de toujours, qui unissent l'artiste à l'artisan. Des gestes lents, délicats, simples, si proches de l'image qu'ils veulent faire naître. Le sujet s'affine, prend vie...
A l'aide de son outil, le mouleur élimine avec précision la trace de la jonction (dite "couture") des deux parties du moule. Il retouchera ici un évidement, ajoutera là l'anse d'un panier ou la baguette d'un tambourinaïre avant la cuisson de la pièce que précédera un temps de séchage nécessaire



La cuisson

Elle prolonge et conclu ce patient travail. La cuisson dure 24 heures, à 980°.

La préparation des couleurs.

Les couleurs sont toutes préparées en nos ateliers. Les pigments sont broyés à l'eau avec des colles arabiques. Les gouaches que nous fabriquons constituent une gamme unique, préservée. La gamme des Ateliers Marcel Carbonel. Chaque sujet possède sa propre palette et un modèle de référence, repectant la fidélité du modèle original.
La gouache, même si elle suppose quelques précautions dans la manipulation des sujets sur laquelle elle est appliquée, offre une profondeur de couleur impossible à obtenir avec tout autre peinture (acrylique, par exemple). Elle est appliquée au pinceau, en une seule couche.
Marcel Carbonel fit le choix de la gouache dès ses premières créations, fidèle à une tradition déjà séculaire. Les Ateliers Marcel Carbonel maintiennent cette technique avec la même conviction.




De la silhouette à l'âme.


Les teintes sont délicatement posées sur l'argile cuite. Lent et minutieux ouvrage de la vie. Par série, par couleurs.
Les visages s'expriment, les drapés s'affinent, les corsages se parent des couleurs de la Provence. Une farandole de fleurs, de fruits, de légumes, de poissons éclate au soleil.
S'enflamme alors la poésie avec l'inspiration. Elle se nourrit de mille détails observés, engrangés. Long temps de l'observation qui lentement imprime dans le souvenir du santonnier ce moment, ce regard, ce geste, l'harmonie des tissus. Une quête ininterrompue, à la manière des poètes improvisateurs dont les promenades expertes permettaient de fixer en images et en rimes la vie des gens qui entraient ainsi dans leur légende.




Le santonnier est Félibre*. Il chante la Provence. Il modèle l'argile, saisit le réel pour le restituer magnifié, fantastique et émouvant et chacune de ses créations est empreinte de l'émotion qu'il a ressentie en contemplant les gens de son terroir. En quelques traits, simples et saillants, il dira le berger ou la poissonnière, le tambourinaire ou le rémouleur.
Il y a dans cette rigueur, dans cette exactitude de la reproduction à l'identique, une obsession d'artiste, comme si chaque détail recréé voulait sceller l'intimité de l'authentique et de l'imagination, pour que vive le santon.




(les santons de Marcel Carbonnel)



JOYEUX NOEL A TOUS



"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
mes recherches : TAMISSIER(55-23) - LAJOUX(55) - PERSIN(55)-(52)- CHAUVIN (23) - LAURENT (52)
PIEDNOIR(53)- TORTRAT(45-18) - JOUBARD(56) - STOPHE(75-77-78 et suisse ) - GRANDIERE(53-75)-DUCLOS (56) - GIQUEL (56) - LAGROUAIS (56)
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Envoyé le: vendredi 21 décembre 2007 17:31



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POUR REMONTER

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Envoyé le: vendredi 21 décembre 2007 18:16



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Bonsoir veronick et merci de ton soutien
ils ne sont pas nombreux ceux qui laissent des encouragements
je me suis sentie ben seule aujourd'hui
Passe de bonnes fêtes et a bientôt

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Envoyé le: vendredi 21 décembre 2007 19:31



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Claire ce sont des tresors
merci de ta participation
amities
joe

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Envoyé le: samedi 22 décembre 2007 08:26



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A LUNDI
MERCI DE FAIRE REMONTER LA FILE A L OCCASION DE VOTRE LECTUREAMITIES
JOE

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Envoyé le: samedi 22 décembre 2007 22:05



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jp

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Florent.M39
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Envoyé le: dimanche 23 décembre 2007 14:38



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Bonjour,puis-je vous demander ou est-ce que vous avez trouvé ce texte concernant la Poste aux Chevaux?Je suis un collectionneur passionné d'histoire postale et de généalogie de familles de maitre de poste.Merci d'avance de vôtre réponse,cordialement.
Benoît.M31
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Envoyé le: dimanche 23 décembre 2007 22:51


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Bonjour,
Auriez vous dans votre livre la definition d'un BOUIX en Correze ?
Par avance, merci
Cordialement
joepiednoir
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Envoyé le: mercredi 26 décembre 2007 08:12



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BONJUR A TOUTES ET TOUS
MERCI A CLAIRE ET VERONICK POUR LEUR MESSAGES
BENOIT JE M OCCUPE DE TOI CET APRES MIDI



femme cocher

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Envoyé le: mercredi 26 décembre 2007 13:12



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POUR BENOIT
J AI PAS TROUVE GRAND CHOSE SUR "BOUIX"
CELA POURRAIT ETRE DERIVE DU MOT "BOUIS" OU "BOUEI" QUI SIGNIFIE "BUIS"
LE BUIS ETANT UN INSTRUMENT DE CORDONNIER JAI CHERCHE DE CE COTE LA ET J AI TROUVER LE METIER DE "BOUISSIER" QUI EST L ANCIEN NOM DE CORDONNIER
CELA TE SATISFAIT IL?
BONNE JOURNEE ET AMITIES
JOE

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Envoyé le: mercredi 26 décembre 2007 17:47



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AUJOURD HUI SILENCE RADIO
QUE PASA?


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Envoyé le: mercredi 26 décembre 2007 20:02



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pour faire remonter la file

transport de glace


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Envoyé le: mercredi 26 décembre 2007 21:40



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Envoyé le: jeudi 27 décembre 2007 08:48



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BONJOUR TOUT LE MONDE
Y A TOUJOURS PAS FOULE!
OU ETES VOUS ?




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Envoyé le: jeudi 27 décembre 2007 10:08



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Envoyé le: jeudi 27 décembre 2007 12:33



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LES SCIEURS DE LONG

Un chantier important employait plusieurs équipes.
Chacune comprenait deux ouvriers
qui sciaient et un troisième, le doleur, qui préparait la bille : sa place était généralement tenue par le patron
ou le chef d'équipe, à qui incombait aussi la délicate tâche de l'aiguisage
de la lame des outils. Ils étaient payés à la tâche, à la pièce,
mais rarement à la journée.

Le sciage d'une bille
Sa préparation consistait à l'écorcer,
à la tronçonner à la longueur souhaitée, à l'équarrir, à tracer sur le haut plusieurs traits correspondant
aux planches voulues, à la hisser
sur le chevalet (chèvre) puis à la fixer solidement à l'aide de chaînes
et de coins.




Organisation du travail



Les scieurs commençaient alors le travail :
l'homme du bas (renard) effectuait l'opération
en tirant la scie à lui, recevant la sciure sur la tête,
d'où le port d'un chapeau,
alors que son compagnon du haut (chevrier),
en équilibre instable sur la bille, remontait
la scie en suivant soigneusement les traits tracés.
Lorsque la moitié du travail était accomplie,
les scieurs détachaient la bille et la retournaient
sur elle-même pour scier l'autre moitié.
A la fin, le chevrier descendait de son trépied,
ils ôtaient la chaîne et laissaient tomber la bille
au sol, occasionnant une marque en V entre
les deux moitiés, ce qui permet de reconnaître
sur nos vieux meubles si une planche
a été sciée en long.




Et ainsi, chaque jour, du lever du soleil
au crépuscule...Quel métier harassant !
ce qui faisait dire au diable,
dans Trésor des contes d'Henri Pourrat
:


]"Ils prennent sur terre bien assez rude état,
Jamais en mon enfer, scieur de long n'entrera."[/color]







Le retour

A la fin de la campagne,
le patron leur versait leurs gains.
Pendant le trajet du retour, ils devaient
rester sur leurs gardes car des gens
mal intentionnés pouvaient les attaquer,
sachant que tous ces ouvriers rentraient
chez eux avec leur pécule en poche.
Pour leur bonheur ou pour leur malheur, tous ne sont pas rentrés...De nombreux célibataires se sont mariés sur place, l'émigration temporaire devenant
pour eux définitive. D'autres scieurs
y sont décédés : leur confrère remettait
alors l'acte de décès à leur curé,
dès leur retour. A l'inverse, certains ramenèrent une jeune fille au pays.





Déclin de cette activité
Au XIIe siècle, apparurent les premiers moulins à scier installés le long des ruisseaux, puis les moulins à vent à scier... mais les scieurs de long avaient encore de beaux jours devant eux. C'est entre 1850 et 1960, avec la naissance des scieries mobiles mécaniques à vapeur, puis des moteurs à essence qu'ils disparurent. La modernisation des moyens de transport des grumes mit un coup d'arrêt définitif
à cette activité séculaire.









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Envoyé le: jeudi 27 décembre 2007 13:06



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SALUT MICHEL
LE PERQUILLEUR EST UN PECHEUR QUI EXPLOITE UN PARC A POISSONS
ESPERANT AVOIR REPONDU A TA QUESTIN JE TE SOUHAITE UNE BONNE JOURNEE
A+


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Envoyé le: jeudi 27 décembre 2007 13:25



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je n'ai pas ces infos
la definition dit juste "sur les côtes"
amicalement
joe

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Envoyé le: jeudi 27 décembre 2007 13:29



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P.S POUR MICHEL
EN FOUILLANT SUR LE FORUM DE *** J AI TROUVE QUE CELA VENAIT DU COTE DE FECAMP
PERQUIER ETAIT UNE PERCHE OU LE PECHEUR TENDAIT SES FILETS
HE BEN VOILA on Y ARRIVE


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Envoyé le: jeudi 27 décembre 2007 13:39



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VA VOIR SUR LE FORUM ***
CELA DATE DE 2004

]"Ci-joint la synthése de mes recherches sur le métier de perquilleu avec les sources. Je vous recommande en particulier le site sur Yport qui est remarqueblement documenté;

"PERQUILLEU

Nous voulons savoir si à Yport, comme à Senneville, on fixait des perches dans le rocher pour y tendre des filets, l'ensemble étant appelé un par (parc) :

"Un perquier (pêcherie) qu'on appelait ça // des pars (parcs) / c'était des réservoirs à poissons / creusés dans le râtet / avec une planche et un cadenas // autrement un par (parc) / c'est pour les huîtres // autrefois / y en avait dans la Mare à vignots / elle est sur le râtet en face du Chicard / est là qu'y avait le perquier (pêcherie) à (au) Pé (père) Tranquille / avant y a les Foutaines (fontaines sources) / elles sont avant la Hauteur du parc / après le Qui (325 [http://yport.web.free.fr/pages/schortz/parler_yport_fn.php]) du chaland / après c'est le Câti / on va dans le Câti / pêquer (pêcher) les moules / et puis les femmes allaient là laver le linge des matelots / elles partaient avec la hotte pleine à baï (326 [http://yport.web.free.fr/pages/schortz/parler_yport_fn.php]) (à ras bord) // les draps / on allait les perrer (étendre sur le perrey) sur le port".

"Perquiers" ou "parcs" selon les localités. C'était un ensemble de"perches" (perques) employé par les pêcheurs pour y fixer leurs filets sur l'estran. Peut-être qu'à Vattetot les pêcheurs ayant des "perquiers" (si ce terme est employé à Vattetot) étaient nommés "perquilleur".
"Je viens d'avoir au téléphone un de mes témoins yportais. Il a connu le dernier "perquilleu" (c'est comme cela qu'il faut prononcer) d'Yport. Selon mon informateur, le terme était employé sur la côte en aval de Fécamp."

[http://membres.lycos.fr/lemaitreg/]
Etude de Michèle Schortz sur le parler d'Yport
Consultation en ligne
3.3.1 Le bord de mer
« Nous voulons savoir si à Yport comme à Senneville ?. »


Selon "Etude sur le langage de la banlieue du Havre" de l'Abbé Maze 1903 : les perquilleux (ou parquilleux) sont "à Saint Jouin, les gens ayant, à la mer, un parc pour le poisson".
Je pense qu'il parle de Saint Jouin de Bruneval (Antifer) près d'Etretat."

[http://perso.wanadoo.fr/chrh]
CHRH : CENTRE HAVRAIS DE RECHERCHE HISTORIQUE - Amis du Havre et de sa région."[/color]

VOILA JE TE FAIS UN COPIER COLLER DU FORUM
ESSAYE DE VOIR SI TU PEUX EN TIRER QQ CHOSE


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Envoyé le: jeudi 27 décembre 2007 18:47



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METIER DE PASSEMENTIER



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Envoyé le: vendredi 28 décembre 2007 08:06



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BONJOUR TOUT LE MONDE

JE PARS POUR PARIS PASSER LE REVEILLON EN FAMILLE JE SERAIS ABSENTE JUSUQ A JEUDI

EN ATTENDANT JE VOUS SOUHAITE UNE BONNE JOURNEE UN BON WEEK END UN JOYEUX REVEILLON

MEILLEURS VOEUX A TOUS



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Envoyé le: vendredi 28 décembre 2007 08:24



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AVANT DE PARTIR UN PETIT ARTICLE SUR
LA CONFRERIE DES ROTISSEURS

C?est au Moyen-Age que furent créées les Corporations. Elles jouèrent un rôle capital dans le développement sans frontière des valeurs artistiques et morales à travers l?Europe : musique, littérature, peinture, théâtre mais aussi cuisine.

En 1248, sous Saint Louis, Roi de France,
fut constitué la Corporation des «Ayeurs».
Avec le temps, la corporation des «Ayeurs» devint celle des Rôtisseurs », et obtint la consécration royale en 1610, par la remise solennelle des armoiries de la «Maîtrise des Rôtisseurs ». Jusqu?en 1789, elle n?a cessé
de se développer mais lors de la révolution française, comme toutes les corporations,
elle fut dissoute.


Cependant, le bon grain du « savoir manger, savoir boire » avait été semé et, de tâtonnements en évolutions, l?idée de recréer une chaîne de restaurateurs et de gastronomes était revenue dans l?air des années trente.
La fin de la guerre et par la même occasion la fin des restrictions alimentaires permettait de croire à un renouveau de l?art culinaire à la française. Ainsi fut
reconstitué, en 1950, la « nouvelle » Chaîne des Rôtisseurs.

De nos jours la confrérie de la Chaîne des Rôtisseurs est la première association mondiale de gastronomes et de la gastronomie. Elle est représentée dans 126
pays, répartis sur les cinq continents.

Les membres adhérents doivent être intronisés sous le parrainage de deux de
leurs « anciens ». Ils doivent prêter le Serment des Rôtisseurs et reçoivent ainsi
les insignes de leur grade.

La chaîne est une chevalerie dont les membres ont un devoir de fraternité et de respect les uns à l?égard des autres. Elle est mixte et pluraliste, elle respecte les croyances et convictions de chacun. Les membres de la Chaîne des Rôtisseurs sont de bons vivants sachant garder une bonne tenue. Ils savent manger et boire par goût et sans excès, il s?agit donc de gourmands souvent doublés de gourmets.










"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
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PIEDNOIR(53)- TORTRAT(45-18) - JOUBARD(56) - STOPHE(75-77-78 et suisse ) - GRANDIERE(53-75)-DUCLOS (56) - GIQUEL (56) - LAGROUAIS (56)
SAVARD (45 et 18)- RAIZE (77 - suisse) Joliat (suisse)
joepiednoir
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: vendredi 28 décembre 2007 11:17



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SVP SOYEZ SYMPAS REMONTEZ LA FILE AU HASARD DE VOS LECTURES
MERCI

"Jettes une poignée de pierres, une au moins atteindra son but"
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joepiednoir
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Envoyé le: vendredi 28 décembre 2007 17:06



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ET HOP

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joepiednoir
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Envoyé le: vendredi 28 décembre 2007 19:19



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BEAUCOUP DE VISITEURS MAIS PEU REMONTE LA FILE
SVP

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joepiednoir
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Envoyé le: vendredi 28 décembre 2007 21:05



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BONSOIR MICHEL
JE VERRAIS CELA JEUDI JE PARS DEMAIN MATIN A 5 H POUR PARIS ALORS CE SOIR DODO DE BONNE HEURE
AMITIES ET MEILLEURS VOEUX
JOE

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Annie.001
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Envoyé le: dimanche 30 décembre 2007 10:47


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Messages: 485
Bonjour à tous, je ne connaissais pas cette file. Une mine d'or, super intéressante.

J'ai visité cet été le village du Bournat dans la commune du Bugue (Dordogne). Ce site nous présente beaucoup de métiers d'autrefois. Certains artisants font des démonstrations au public, tous les jours d'ouverture. Pour ceux qui passent dans le coin, je vous conseille cette visite. Mes filles (10 ans et 7 ans) ont adoré.

Annie
trefle trefle trefle
MarieMart.L1089
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: lundi 31 décembre 2007 17:02


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Bonjour, j'aimerais connaître la définition de BADESTAMIER, métier d'autrefois qu'exerçaient mes ancêtres à ROUEN et si vous aviez des photos je pourrais vous donner mon mail.Je vous remercie par avance.
Jeanne.L127
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: lundi 31 décembre 2007 17:29



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Bonjour Marie,

BADESTAMIER : Bonnetier fabricant des bas en estame ou grosse laine.

Bonne soirée.
Annie.001
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: mercredi 2 janvier 2008 16:41


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Bon je ne suis pas une habituée de cette file, je l'ai découverte il y a quelques jours, mais comme elle est très instructive, je vous aide à la remonter parce que vous êtes en page 4 Embarassed

Allez hop Jump Jump
Annie
trefle trefle trefle
P.Fontelaye001
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: mercredi 2 janvier 2008 17:50


Inscrit le: 31/01/2005
Messages: 206
Hiding

bonsoir et meilleurs voeux à toutes les personnes de cette file super intéressante que je viens de découvrir:

Sur un acte de 1863, j'ai une profession de "marchand de récumerie" (enfin je pense car j'ai eu un peu de mal à lire). Est-ce que quelqu'un pourrait éclairer ma lanterne sur cette profession?

Merci d'avance
Amicalement

Patricia
Valy8
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Envoyé le: mercredi 2 janvier 2008 18:22



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Bonsoir à toutes et à tous,


Meilleurs voeux pour cette nouvelle année 2008 avec d'excellentes découvertes généalogiques et toujours plus de petits détails à chercher, histoire de nous faire retrouver nos ancêtres plus rapidement !!!


Mon grand-père paternel était employé aux chemins de fer, pour cela pas de problème, mais j'ai récemment obtenu un document militaire le concernant sur lequel, il était noté en profession : négrier agricole, est-ce un synonyme de journalier car sur d'autres documents, après avoir travaillé aux chemins de fer, il était justement journalier. Je précise qu'il est né en Algérie Française en 1892 et que le métier de négrier agricole figure sur un document de 14/18 !!!


Merci pour la réponse que vous me fournirez, bonne soirée.





http://oran3644.unblog.fr/ (site perso)
http://valmart1967.unblog.fr/ (créations personnelles)

http://www.genom-online.com/ (base importante pour les recherches)




Recherches en Espagne : Albatera - Benferri - Orihuela et Murcia


joepiednoir
Métiers d'autrefois - Liste des métiers étudiés en page 15
Envoyé le: mercredi 2 janvier 2008 20:16



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SALUT TOUT LE MONDE JE SUIS DE RETOUR
JE M OCCUPE D VOUS DEMAIN

BONNE ANNEE A TOUS


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joepiednoir
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Envoyé le: jeudi 3 janvier 2008 11:09



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BONJOUR TOUT LE MONDE
JE VOIS QU IL Y A DU PAIN SUR LA PLANCHE


JE ME METS AU BOULOT ET LES REPONSES CE SOIR (enfin j'espère)


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P.Fontelaye001
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Envoyé le: jeudi 3 janvier 2008 12:39


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WOW
bonjour joelle et merci pour votre file hyper intéressante
bon courage pour vos recherches
:bisou:
Patricia
Benedicte.V5
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Envoyé le: jeudi 3 janvier 2008 17:10



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Bonne et Heureuse Année 2008

à toute la file..

Amicalement.
Bénédicte
joepiednoir
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Envoyé le: jeudi 3 janvier 2008 17:16



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hello tout le monde

APRES MIDI DE RECHERCHES PAS TOUJOURS FRUCTUEUSES. VOICI QUAND MEME QUELQUES REPONSES

MARCHAND DE RECAMERIE (et pas recumerie)C EST UN MARCHAND DE BRODERIES

NEGRIER AGRICOLE EST UN TRANSPORTEUR ARABE D AFRICAINS (D AFRIQUE CENTRALE) POUR SERVIR D OUVRIER AGRICOLE DANS LES PAYS D ARABIE D IRAN OU MEME DE L INDE ET PLUS TARD EN AMERIQUE

BRAILLEUR LA IL Y A DEUX POSSIBILITES

1)BRAYEUR QUI EST UN MACON QUI HISSENT LES MATERIAUX AVEC UNE CORDE
(le brayer)

2)BRAIER QUI EST UN FABRICANT DE CEINTURES

POUR MICHEL DESOLEE PAS DE PATRON DE CANALMAIS JE CONTINUE A CHERCHER







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joepiednoir
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Envoyé le: jeudi 3 janvier 2008 19:07



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MERCI A TOUS D AVOIR REMONTER LA FILE EN MON ABSENCE
UNE PETITE GALETTE POUR VOUS TOUS


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P.Fontelaye001
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Envoyé le: jeudi 3 janvier 2008 20:31


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Bonsoir Joëlle

Merci pour le marchand de récamerie (désolée pour l'erreur). ça correspond bien avec ce que j'avais entendu dire sur ma famille
Merci encore
:bisou: :bisou:
Patricia
Valy8
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Envoyé le: vendredi 4 janvier 2008 08:48



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Bonjour Joëlle,


Merci pour la réponse du NEGRIER AGRICOLE.

J'en profite en même temps pour souhaiter à tous tous mes voeux pour cette nouvelle année 2008 avec de bonnes trouvailles généalogiques et plus d'histoire encore à découvrir !!!


Bonne journée.





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