fosses communes - Filae.com |
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Inscrit le: 27/04/2010 Messages: 6
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Bonjour,
j ai perdu un gd oncle pdt la guerre civile , il avait été chauffeur de Durruti et est décédé en 1937 pas loin de Barcelone ( il parait que sa mere etait à "la garriga" pdt ce temps et a pu s y rendre à pied). Je cherche qq qui saurait où exactement se situe cette fosse et comment retrouver son nom ; Il n apparait sur aucune liste que j ai pu trouver . Il s appelait Joaquin Gine balague et avait 22 ans, il etait originaire d amposta ( Pce tarragone) . Merci pour votre aide .
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Bonjour
Encore une recherche des plus difficiles, nous en avons tellement de ces recherches.
Sur le lien suivant :
http://www.genealogie.com/v4/forums/recherches-genealogiques-sites-recherches-disparus-espagne-maj-27/03/2011-t1301693.html
en 1ère page il y a des sites de fusillés, disparus, etc...
on va essayer de vous aider.
Cordialement
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Inscrit le: 27/04/2010 Messages: 6
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merci je vais aller voir de suite encore merci
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Précisez-nous si Gine est un prénom ou son premier patronyme.
Il est important de mettre le prénom en minuscule et les patronymes en majuscules.
A vous lire
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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J'ai trouvé ceci
Né à Barcelone le 19 septembre 1919 – mort en 1997 BALAGUE, Albert FIJL - CNT – Barcelone (Catalogne) – Nîmes (Gard)
lundi 30 août 2010
Albert Balagué était né dans une famille républicaine et franc-maçonne. –son grand père était membre de la loge Lealtad et son père un des dirigeants des Jeunesse radicales – et aurait été le neveu de Francisco Ascaso.
Á l’age de 15 ans il avait adhéré à la Fédération ibérique des jeunesses libertaires (FIJL) et en juillet 1936 avait participé aux combats à la caserne Atarazanas dans lesquels fut tué Ascaso. Enrôlé comme milicien dans une Colonne confédérale (Libertad ?), il participa ensuite en août aux combats de Talavera de la Reina sur le front de Madrid.
Blessé à une jambe il fut hospitalisé à l’hôpital des Brigades internationales à Tarazona de la Mancha., puis passa sa convalescence au camp d’aviation dont Malraux, qui l’aurait pris en amitié, était le commandant.
En décembre 1936, il demanda son incorporation dans les Brigades Internationales et fut affecté à la 13ème BI Dombrowsky avec laquelle il participa aux batailles de Guadalajara, Brunete, Teruel et à l’offensive sur l’Ebre où il fut une nouvelle fois blessé.
Passé en France le 21 février 1939, il fut interné au camp d’Argelès. Lors de la déclaration de guerre, il s’engagea dans la Légion étrangère comme beaucoup de réfugiés espagnols - le 11ème régiment étranger comptait jusqu’à 68% d’Espagnols – et participa aux combats de mai et juin 1940. Fait prisonnier par les allemands en juin 1940 près de Verdun, il parvenait à s’échapper mais était repris à Nancy et interné au stalag XVII B d’où il fut ensuite transféré le 28 novembre 1941 au camp de concentration de Mauthausen (matricule 4504) dont il ne sortira que le 5 mai 1945.
Dans son témoignage sur Mauthausen, J. Borras raconte : "...Chaque matin avant l’appel, il y avait distribution générale de coups de nerfs de bœuf ou de câble torsadé pour chaque lit mal fait. L’interprète –J. Borras – obtint du chef de baraque de pouvoir faire l’inspection des lits pour éviter des désagréments aux copains. Il remarqua durant quelques jours un lit non fait, qu’il refaisait complètement. A la recherche de l’intéressé, il tomba sur un jeune malade et affaibli au point de ressembler à une loque humaine, qui lui répondit qu’il s’en moquait car il allait crever. Il contacta Termens, le médico espagnol, lequel trouva le jeune Santiesteban, celui qui offrit son sang plusieurs fois. Avec le supplément de nourriture reçu du chef de baraque et les transfusions intraveineuses, faites directement à la seringue de bras à bras sans connaître le groupe sanguin, Albert Balagué fut sauvé ».
A la Libération Albert Balagué s’installa à Nîmes où il milita à l’Union rationaliste et aux Citoyens du monde. En 1954 il fut initié à la Grande loge de France. Á partir de 1967, il effectua plusieurs voyages en Catalogne, où il avait des contacts avec le mouvement libertaire, pour y aiser à la réorganisation clandestine de loges maçonniques. Il organisa également une conférence clandestine de citoyens du monde espérantistes dans un local discret de Barcelone qui appartenait à l’UNESCO.
Albert Balagué, dont le grand-père avait été assassiné par les franquistes le 23 mars 1939 sur son lit d’hôpital, est mort en 1997.
Ce n'est pas le vôtre mais peut-être de la même famille
J'ai lu aussi au sujet de DURRUTI
À Barcelone, avec Joan García Oliver, Francisco Ascaso et d'autres anarchistes, ils fondent Los Solidarios (Les Solidaires)
A suivre
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Inscrit le: 16/04/2007 Messages: 1 289
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Bonsoir à tous,
Vous arrive t'il d'écrire un message et avant de cliquer sur envoyer celui-ci s'efface?????C'est la 3ième fois aujourd'hui et c'est très pénible de recommencer!!!!!!!!! Isabelle
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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oui moi aussi alors je clique s sur la flêche retour en haut à gauche de mon écran, je fais un copié
et je clique sur "répondre" du message précédent et fait collé
et là ça fonctionne.
Bisous
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Inscrit le: 16/04/2007 Messages: 1 289
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Bonsoir Christine,
Avez-vous écrit à :
---Archives de Salamanque?
--Archives militaires en Espagne?
--Archives de la CNT?
--Generalitat de Catalunya,departement de Justicia, Direccio General de Regim Penitenciari i Recurso Avenida Pau Claris,158,atic,1a 08009-Barcelona Faire aussi une demande sur leur site: " www.gencat.cat/vicepresidencia/morts-guerra-civil" ou "www.gencat.cat/justicia Si cela ne suffit je vous chercherai d'autres adresses. Pour cette dernière adresse, ils font les recherches très conciencieusement; un certain temps pour la réponse, il faut patienter. A+ Isabelle
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Inscrit le: 27/04/2010 Messages: 6
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Merci beaucoup pour tous ces renseignements . GINE et le patronyme .
Je ne pense pas que Albert Balague soit de le même famille car j habite non loin de Nimes et si tel avait été le cas ma Gd Mere aurait entretenu des relations avec lui .Elle est décéde seulement il y a 3 ans .
Je commence seulement mes recherches lorsque j ai un peu de temps libre ( tres peu à mon gout !!)suis en vacances ce soir et vais avoir le temps de m y pencher cette semaine . Un gd merci pour tous vos efforts et votre aide
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Inscrit le: 16/04/2007 Messages: 1 289
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Bonjour,
Merci Janine pour tes conseils Isabelle
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Bon WE Isabelle
Bonnes recherches Christine, tu y arriveras, nous on essaie aussi d'avancer, déjà d'essayer c'est faire honneur à nos républicains.
Cordialement
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Inscrit le: 27/04/2010 Messages: 6
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Bonjour isabelle et janine pour l instant les recherches restent vaines j ai effectue plusieurs demandes par mail . Pour info j ai trouvé un site sur la situation des fosses communes en catalogne :
http://fossesirepressio.cat/
Je vous tiendrai informées de mes recherches à bientôt
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Merci pour le site
Horrible qu'il y en ait tant !!!
Cordialement
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Inscrit le: 18/06/2011 Messages: 7
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Bon soir, voyez ici: http://www15.gencat.cat/cchgcc/AppJava/pages/veureDetallsWeb.jsf?fitxa=9042
Il y a un Joaquim Jané Balaguer (né le 1915 et mort le 24/09/1938).
Salutations Francesca
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Inscrit le: 18/06/2011 Messages: 7
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Un autre message par Christine.S952: Ce Joaquim Jané Balaguer on peut le trouver dans la liste de morts de l'Hospital Militar de Campanya de Cervera
Núm184: JANÉ BALAGUER, Joaquim (S) 23 ans Mort le 24-9- 1938 Vivait au Prat de Llobregat (Baix Llobregat) Unité: Xème Cos d’Exèrcit, Cos de Tren Font: RCD T. 47 f. 36
on peut le voir à: http://www.mailxxi.com/guerracivil/cat/index.asp?id=2
on peut demander info à: Monsieur Jordi Oliva i Llorens (mail: jolival@uoc.edu)
Salutations. Francesca
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Inscrit le: 30/10/2018 Messages: 1
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Incroyable
Je lis à peine votre message francisca . 8 ans après .... en tapant le nom de mon oncle sur Google . Figurez vous que le Joaquin jané balaguer est bien mon oncle que j ai retrouvé il y a 3 ans a peine . J aurais pu le retrouver il y a 8 ans grâce à votre message si je l avais eu ....,
Un grand merci avec 8 ans de retard ... je ne comprends pas pourquoi je n ai pas eu ce mail ...
Toutes mes excuses de ne pas vous avoir répondu
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