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Elodie.21
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: mercredi 10 juin 2009 08:07



Inscrit le: 31/08/2005
Messages: 3 022
Bonjour à tous,

J'espère que toutes les mamans de la file ont été gâtée dimanche...

Bonne journée à toute la file

:bisou: Elodie

http://gw.geneanet.org/index.php3?b=lolo021
Si vous voulez voir mes peintures : egeorgel.livegalerie.com
Serge.S273
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: mercredi 10 juin 2009 08:24



Inscrit le: 10/05/2007
Messages: 3 217
Bonjour.

J?ajoute à la carte récente d?Épinal quelques commentaires.

J?ai habité en effet dans ce quartier, de la fin de 1939 jusqu?en octobre 1954, donc durant toute l?occupation allemande. Pour les généalogistes qui cherchent à garnir leurs arbres de quelques feuilles d?histoire, je pense que mes souvenirs pourraient éventuellement intéresser les plus jeunes dont certains parents vécurent là durant ces années agitées.

Dans ces souvenirs d?enfance, entre six et onze ans, les dates, circonstances et personnages se mêlent désormais avec quelque flou et le doute survient quant à leur fidélité. Néanmoins je trouve là l?occasion de fixer ces souvenirs pendant qu?il en est encore temps, tels qu?ils me reviennent, avant que le flou ne les brouille totalement, inéluctablement.

La vue fut prise antérieurement au 7 octobre 1909, selon le cachet de la Poste, depuis l?allée courant sur l?enceinte basse du Château ; elle représente le quartier situé entre l?actuelle place du Tribunal, la rue des Halles, la rue de la Maix et la rue de l?Abbé Friesenhauser. Quatre bâtiments y campent, entourant une sorte de petite place en forme de « T » couché : de gauche à droite : l?ancienne prison dont on ne voit qu?une petite dépendance et les murs, le palais de justice, palais étant bien prétentieux ici surtout vu du côté de sa façade arrière, la caserne de pompiers et l?école de la rue Lormont.

Visitons par la pensée dans cet ordre.

La très vieille prison n?existe plus, un bâtiment moderne destiné à l?enseignement, la remplace aujourd?hui.

Or, en 1944 l?aspect de ce bâtiment différait déjà de ce que nous montre la carte. La petite construction basse, absente de ma mémoire, devait être également absente de ce lieu, détruite totalement ou en partie. Ce qui forme la jambe du « T » constituait déjà en 1944 une petite place bien plus large que ce que nous voyons, occupée en partie par un gros poste de transformation de la Compagnie fournissant l?électricité à ce quartier ; trois ou quatre tilleuls s?alignaient en outre à la limite de la barre du « T ».
De même les deux murs extérieurs, en équerre, n?existaient plus ; un préau, construit pour l?école, couvrait approximativement la place de la petite courette plantée d?arbres, visible en bas et à gauche de la carte ; ce préau s?adossait au troisième mur, seul resté en place. En 1944, la barre biscornue du « T » était devenue une large cour d?école, prolongeant la rue Lormont jusqu?à la rue de l?Abbé Friesenhauser qui la barrait en biais.
L?existence d?une autre prison, à l?autre bout d?Épinal, justifiait vraisemblablement ces modifications de l?établissement pénitencier. Néanmoins ce reste de geôle désuète, jouxtant le palais de justice, devait rester utile avant l?arrivée des Allemands, car dans le corps principal du bâtiment dont on ne voit que l?extrémité, existaient toujours un petit nombre de cellules dotées de portes massives, en bon état et fermant bien. J?en fis l?expérience à mes dépends.
Or, lors des combats de 1944, un obus tomba sur ce qui restait de mur et sur le préau contigu, à leur extrémité touchant la rue de l?Abbé Friesenhauser. Une prison dotée d?un mur partiellement démoli ne pouvait donc plus assurer son office ; elle resta longtemps ouverte aux quatre vents, à la disposition des galopins du quartier qui y jouaient à la cachette. C?est ainsi qu?un copain malicieux, poussant le loquet de la porte qui me dissimulait, m?y enferma et m?y oublia. Gros émoi pour ma mère qui ne retrouva son fils unique et préféré qu?une bonne paire d?heures après son incarcération ; elle me fit comprendre sans un mot et vous vous doutez bien de la manière, que la plaisanterie n?était pas de son goût.
La prison possédait de bonnes caves, bien solides. Elles furent aménagées en abris pour les élèves de l?école. Un édicule, construit de madriers assemblés en double paroi emplie de sable, formait un écran devant l?entrée de ces caves et assurait une sorte de protection contre d?éventuels jets directs de projectiles ou d?éclats. La porte de ces abris n?était déverrouillée qu?au début des alertes ; les élèves attendaient sagement son ouverture, en rangs dans la cour ; les écoliers de cette époque savaient en effet se mettre en rang par deux et ne bougeaient que sur l?ordre du maître ou de la maîtresse. Une certaine alerte, la clé ou le préposé dépositaire de la clé, je ne sais plus, resta introuvable ; nous attendîmes ainsi une bonne partie de l?alerte dans la cour, au grand émoi des enseignants. Nous, nous étions satisfaits : dans les abris, l?école continuait. Eh oui !

Le palais de justice était bien vieillot, ce qu?il semble être encore, ce rescapé d?une autre époque. J?en ignore tout. En fait je n?y suis entré qu?une seule fois pour en ressortir rapidement, comme je vous l?expliquerai quelques lignes plus loin.

La caserne des pompiers? Elle, je la connaissais par c?ur !

Au premier étage, le long de la jambe du « T » vous apercevez quatre fenêtres, deux au-dessus de l?enseigne du Restaurant populaire : la chambre, la cuisine et les deux chambres du logement des F?, famille d?un sapeur. Robert F?, le plus jeune des quatre enfants de la famille était un grand copain. Il fut blessé au genou par quatre éclats d?obus, devant l?école, je vous raconterai comment ; néanmoins, avec sa canne, il courait aussi vite que moi ! Nous avons commis les quatre cents coups dans cette caserne.

Mais revenons à l?objet de la visite : l?immeuble, composé de deux parties, comme on le voit, l?une bordant la cour avec son pignon a deux épaulements, l?autre, une ancienne halle, longeant évidemment la rue des Halles.

Un grand couloir, partant de la plus grande des deux portes visibles dans le pignon, desservait le rez-de-chaussée. Couloir immense pour mes yeux d?enfant lequel en fait ne desservait que l?escalier menant aux couloirs identiques des deux étages supérieurs ainsi qu?au Restaurant Populaire? Le dit restaurant n?en était plus un en 1944, si mes souvenirs sont exacts, le local étant devenu en partie un asile de nuit et pour le reste le logement de sa gardienne ; en fait, je n?y vis jamais grand monde. Une clôture basse partant du pied de l?épaulement du pignon, délimitait un maigre et étroit jardin potager peu entretenu et peuplé de quelques poules et canards saccageant les maigres plants de patates et de rutabagas. Une vieille dame gérait ce petit espace de misère ; elle habitait là en compagnie de son petit-fils qui était également l?un de mes camarades d?école.

Le grand couloir longeait le mur séparant les deux bâtiments. Le deuxième bâtiment fut autrefois, m?a-t-on dit, la halle d?Épinal, d?où le nom de la rue qui le borde, rue invisible sur cette image. Tout le rez-de-chaussée de cette vieille halle abritait le garage des autos pompes.
Merveilleux garage peuplé de véhicules rutilants, rouges et décorés d?éléments en cuivre, polis, briqués, étincelants ; si tout le décor semblait en complète décrépitude, le matériel soigneusement entretenu, aligné parallèlement à la rangée de portes cochères toujours ouvertes sur la rue, attirait continuellement les regards des gosses ; il y en avait toujours au moins un pour passer devant ces belles mécaniques en braillant : pin-pon, à la grande joie des sapeurs de garde.
Personnellement je vouais une admiration inaltérable pour leur vétéran avec sa transmission à chaîne, ses sièges en bois vernissé et mordoré, sa grande échelle au mécanisme impeccable et ses roues à bandage. Que sont devenus ces engins d?un autre âge ? J?espère que certains survivent, conservés comme pièces de musée.

Avant de monter dans les étages supérieurs, j?ajoute que j?ai mémorisé le souvenir d?une petite cour, au bout de ce couloir, une sorte de puits de lumière entre la caserne et le palais de justice. Ma mémoire me trompe-t-elle ? Je n?aperçois en effet aucun détail dans l?image signalant la présence d?un tel espace. Et pourtant, c?est bien par ce chemin que R. F? et moi, découvrant une porte mal fermée, pénétrâmes dans ce palais de justice mystérieux pour en être évacués dans la minute suivante par un quidam majestueux, prétendant que deux galopins n?avaient rien à faire dans un local aussi solennel !

« Ouste ! Gare à vous si je vous y reprends? Non mais alors, quelle engeance ces jeunes d?aujourd?hui? »

Aujourd?hui (de maintenant) lorsque je vitupère ainsi à mon tour, je ne peux pas éviter de rire et les gosses me regardent? en riant.

Dans chacun des deux étages, un couloir identique au précédent, immédiatement en dessous, desservait de part et d?autre des enfilades de ce qui pouvaient être autrefois de grandes chambrées.

Côté cour, avec je le pense un cloisonnement ajouté tardivement, ces pièces réunies formaient un logement à chaque étage. Logement d?un inconfort qui surprendrait aujourd?hui mais parfaitement banal dans tout ce quartier suranné. La cuisine était placée obligatoirement là où se trouvait simultanément un conduit de fumée et une évacuation d?eaux usées surmontée d?un évier ; l?eau courante y était disponible, du moins dans ces deux logements mais pas toujours dans ceux des immeubles voisins. on ignorait la salle de bain et les commodités étaient ailleurs? Dans les deux appartements que nous parcourons, la cuisine était donc aussi la salle familiale, pour les repas, la couture, la lecture, les devoirs des enfants, toutes les activités de la vie quotidienne ; cette pièce commandait en outre toutes les autres en enfilade.

Les chambrées de l?autre côté du couloir étaient, au premier étage, des sortes de capharnaüms dans lesquels la ville entassait tout un bric-à-brac indescriptible, au second, de vastes greniers emplis de bois de chauffage sec, détail d?importance? Vous comprendrez dans quelques lignes. Servirent-elles de casernements autrefois ?

L?une de ces chambrées au premier étage, au bout du couloir, servait de dortoir aux sapeurs de service ; mais ce souvenir est bien incertain, voire erroné, car, de toute évidence il nous était strictement interdit de pénétrer dans ce lieu de repos. Par contre, je me souviens bien mieux, avec précision même des deux premières chambrées de ce couloir.

La première fut nettoyée pour la rentrée de 1944 ; en effet la première année du Cours Complémentaire de la rue Lormont, correspondant à la sixième des lycées et collèges, fut divisée en deux classes en raison du nombre élevé d?élèves ; la chambrée donnant sur la cour reçut l?une de ces deux classes. Lors d?un congé, la ville y organisa une exposition sur les camps de concentration. La population qui venait d?en apprendre l?existence, surtout par le témoignage de rescapés qui en revinrent, en fut frappée de stupeur ; les enfants dont j?étais découvraient ces lieux maudits et leurs horreurs ; en ce qui me concerne, le souvenir que j?en ai reste indélébile.

La seconde était dévolue à l?orchestre et à l?harmonie de la ville qui y répétaient sous la baguette de Monsieur R?, professeur redouté de musique ; ces deux formations pas toujours faciles à distinguer y entreposaient un amas d?instruments en plus ou moins bon état, cordes et cuivres en vrac. Elle était également dévolue au cours de danse créé par ma mère, lequel cours devint une section du S.A.S., club sportif d?Épinal, en 1943. Des costumes de scène voisinaient donc avec les instruments de musique.

Musique et danse allant de pair, des répétitions conjointes animaient parfois ce local et je peux vous assurer que les discussions enfiévrées entre la maîtresse de ballets ? ma digne mère - et le chef d?orchestre ? également mon professeur de solfège - sur les tempos allaient bon train et sont restées dans bien des mémoires, celles des plus jeunes ballerines, mes contemporaines et la mienne, témoin obligé de ces événements artistiques.

Un seul escalier reliait ces trois couloirs. L?usure de ses marches en pierre témoignait d?un âge avancé. Proche du pignon, il n?en était séparé que par de petites chambrettes. Au premier, deux de ces chambrettes formaient le pauvre logement d?un gradé en retraite : l?Adjudant L? ; ce brave homme nous accueillait souvent R.F? et moi ; son grand plaisir était de nous détailler l?histoire de sa collection de quelques vieux casques démodés de pompiers ; réciproquement, grand était notre plaisir de contempler de véridiques couvre-chefs prestigieux, omniprésents dans nos images Pellerin.
Quand nous avions fait preuve de beaucoup de sagesse, aux dires de nos parents, ce qui arrivait parfois, il ouvrait alors les albums de sa collection de timbres-poste, de gros albums en cuir rouge ; c?était un privilège que des amateurs éclairés recherchaient car, de l?opinion générale, il possédait une fort belle collection. Elle fut dispersée par sa seule proche parente qui en hérita. Je l?appris d?une façon curieuse. Bien des années plus tard, furetant chez un brocanteur, je trouvai une page, une seule page, de cette collection ; or je connaissais cette page, pour l?avoir vue chez L?, ; elle rassemblait des essais de couleurs pour une série de timbres coloniaux. Méprisée par les acheteurs, elle gisait, orpheline, dans un amas de paperasses. Je l?acquis pour un prix dérisoire, en souvenir de L? J?en fis cadeau ensuite à mon petit cousin, postier de son état, et collectionneur ; il en connaît l?origine.

Terminons avec cette caserne.

Vous pouvez distinguer sur le toit du bâtiment, côté rue, une sorte de petite verrière pyramidale. Cette verrière couvrait un puits, traversant tous les étages, dans lequel les pompiers suspendaient les tuyaux devant sécher après usage. Une nuit, un incendie survint à cet endroit, difficile à maîtriser dans cette sorte de cheminée? Incendie bien ennuyeux car il y avait du bois partout et bien sec dans les greniers. Chez les pompiers, vous vous rendez compte : dans leur caserne ! L?affaire fit quelque bruit et surtout provoqua beaucoup de sourires, même de rires.
Or mes parents et moi et tous les résidents de l?école, étions aux premières loges. Le lendemain, je me rendis en classe bien décidé à narrer par le menu ce mémorable spectacle aux copains.

Aï ! R.F?, fils de sapeur, mécontent de l?événement et anxieux du qu?en dira-t-on, me filait déjà bon train avec sa canne :

« ta g? (comprenez : tais-toi) et fais gaffe ».

Je fis gaffe, surtout par ce qu?il était mon copain.

Mon Dieu ! Je cause, je cause?

À vrai dire, la pluie quasi continue qui m?écarte du jardin et un récent vaccin contre la fièvre jaune qui me rend un peu patraque m?incitent au bavardage tranquille.

Trop ne faut ! Nous pénétrerons dans l?école une prochaine fois.

Amitié.
Maurice.L95
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: mercredi 10 juin 2009 08:42


Inscrit le: 03/02/2006
Messages: 734
Bonjour a tous
La Bretagne sous la pluie, mais on connais, c'est toujours comme cela entre deux éclaircies.
Serge
Je vais me permettre de copier tes textes et visites virtuelles par cartes postales pour rédiger le livre de famille que je veux offrir a ma grande soeur. Elle est née a Epinal en juin 1939 .
Avec ta permission bien sur, et puis ce sera peut-être le début de tes mémoires

Bonne journée a tous
*martine*
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: mercredi 10 juin 2009 09:03



Inscrit le: 10/04/2005
Messages: 6 467


Le papillon vous dit bonne journée
Serge.S273
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: mercredi 10 juin 2009 09:50



Inscrit le: 10/05/2007
Messages: 3 217
Maurice,

Bonjour.

Permission ?

Tout ce que je raconte ici, chacun en use à sa guise ! C'est, depuis l'Antiquité, la vocation d'un forum.

Cependant, la présence des moteurs de recherche me fait éviter les noms propres. En message privé, si tu le souhaites je peux préciser qui sont : L..., F..., R..., et d'autres le cas échéant. Des noms présents dans de nombreuses pages de nos registres, appartenant éventuellement à des parents.

Amitié.
Maurice.L95
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: mercredi 10 juin 2009 10:01


Inscrit le: 03/02/2006
Messages: 734
Merci Serge
Pour les noms, tel qu'ils sont , cela me suffit. De plus, je ne connais pas du tout Epinal et je ne pense pas le découvrir cette année, le programme est déja fait. Ces textes vont me permettre de raconter a ma soeur, par auteur interposé, la ville ou elle est née.
Bonne journée
Eric le Gapençais
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: mercredi 10 juin 2009 12:13


Inscrit le: 15/04/2004
Messages: 94
Bonjour la file,
un acte reçu par la poste ce matin m'amène dans la commune de Sartes.
J'aurai besoin d'une aide pour rechercher les actes suivants:
Mariage de GRAVIER Claude et MOUGIN Marie entre 1726 et 1750
Deces de GRAVIER Claude entre 1776 et 1800
Deces de MOUGIN Marie entre 1776 et 1800

En vous remerciant par avance

Eric
Serge.S273
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: mercredi 10 juin 2009 15:01



Inscrit le: 10/05/2007
Messages: 3 217
Bonjour.

Nous sommes mercredi. Autrefois, le mercredi était un jour ordinaire d?école.

Si nous rejoignons de nouveau le début des années d?occupation, la cloche sonne au moment où j?écris ; entrons donc dans l?école de la rue Lormont.

Avec sa cour intérieure, elle formait un triangle enfermé entre la rue de la Maix, la rue de l?Abbé Friesenhauser et la grande cour extérieure dans le prolongement de la rue Lormont, décrite précédemment. L?école, construite dans l?élan novateur donné par Jules Ferry à l?école publique, était vraisemblablement en 1940 l?édifice le plus récent de ce quartier, ou alors de peu s?en faut.

Imaginez?

Vous ne voyez que des façades proposant toutes les nuances imaginables de gris, avec des tuyaux ou câbles se gondolant dans tous les sens : descentes d?eaux pluviales, d?eaux usées, conduites de gaz, fils électriques, etc. L?émergence du confort moderne durant l?entre-deux guerres nous valait ces plaquages externes anarchiques et seul le gel hivernal inévitable faisait consentir aux installateurs le prix d?une distribution intérieure pour l?eau. S?entassaient ainsi des maisons vieilles en moyenne de deux à trois siècles dans lesquelles les appartements s?étaient progressivement organisés de bric et de broc ; certaines, bien déchues, furent nobles autrefois.
Un quartier donc que les circonstances vouèrent progressivement à l?inconfort et à la grisaille.

C?était ainsi en 1940.

Néanmoins dans cet environnement, l?école de garçons et uniquement de garçons, de la rue Lormont, avait presque l?allure d?un palais. Apparence seulement car ses résidents, enseignants et leurs familles, exprimaient un avis contraire.

Le bâtiment, comme nous l?observons aujourd?hui encore, se compose d?un pavillon central, rez-de-chaussée surmonté de deux étages dont on voit la toiture sur la carte postale, flanqué de chaque côté d?une aile, chacune d?un seul étage. L?une de ces ailes, cachée, bute sur la rue de la Maix, l?autre, visible en partie, forme une équerre bordée d?un côté par la rue de l?Abbé Friesenhauser.

Le sous-sol de cette école eut une réelle importance pour les habitants du quartier.

En effet ses caves situées le long de la rue de l?Abbé Friesenhauser furent transformées en un grand abri public. Un long abri, organisé comme un wagon de chemin de fer avec une allée centrale séparant des bancs. Les bancs, pour trois à quatre personnes, étaient disposés en vis à vis par paire. Chaque paire se trouvait séparée des autres, comme dans un compartiment, par de massifs et robustes étais de mine renforçant la voûte. Endroit sinistre dans lequel beaucoup d?habitants vécurent des heures, des jours, selon les événements : alertes, bombardements ou combats de rues.

Le socle gréseux proche justifie probablement la faible profondeur des caves. Cela explique le renforcement de tous les murs de l?école au moyen d?une épaisse maçonnerie de protection en surface, enrobant leur base et aveuglant les soupiraux ; il me semble que ce renfort existe toujours ; tenez, il faudra que j?aille m?y promener pour vérifier?

La porte de l?abri, dans l?axe de l?aile Friesenhauser, s?ouvrait directement sur la cour extérieure. Identiquement à l?entrée de l?abri sous la prison, des doubles parois formées de forts madriers et emplies de sable, la protégeaient sur ses deux côtés et sur son devant, laissant deux petits passages latéraux pour pénétrer.

Enfin, occupant l?abri, juste en bas et à droite du court escalier, un compartiment était aménagé en poste de secours. J?ai vu porter et soigner des blessés dans cet endroit?

Alors imaginez l?existence des personnes entassées sous terre dans un espace aussi confiné, le temps d?une alerte, passe encore ; mais durant les combats, les habitants y croupissaient plusieurs jours dans la promiscuité et les odeurs : intenable ! c?est ainsi que durant une accalmie des combats, en 1940, quelques hommes sortirent prendre un peu d?air frais devant l?entrée de l?abri. C?étaient presque tous des pompiers ce qui expliquait dans une certaine mesure leur imprudence due à leur habitude du risque. Malheureusement un ou plusieurs enfants les accompagnèrent. Combien et pourquoi ? Je l?ignore : mais mon copain R.F? sortit. Un obus tomba et explosa soudain près du groupe ; les traces des éclats étaient encore visibles des années après ; le sont-elles encore ? Six hommes, nombre approximatif dans ma mémoire, furent tués. R.F? que sa taille d?enfant dissimulait heureusement derrière un adulte échappa à la tuerie mais reçut quatre éclats dans le genou. Blessure douloureuse qu?il supporta durant toute la guerre et dont il ne fut définitivement guéri qu?après la Libération.

Outre l?obus qui détruisit le mur de la prison, celui qui tua ou blessa ces quelques voisins, il convient de compter un troisième qui écorna le toit de l?aile de l?école, au-dessus du carrefour de la rue de la Maix, de la rue des Halles et de la rue Lormont. La toiture sérieusement endommagée et ouverte fut rapidement réparée ; heureusement aucune pluie ne vint accroître ce désagrément. Cependant, d?autres ardoises du toit ainsi couvert à cette époque furent certainement endommagées de façon moindre mais insidieuse ; nous eûmes ainsi à supporter durant des mois l?apparition de gouttières dans les plafonds résultant d?ardoises brisées ou déplacées sans qu?on le soupçonnât. D?autres que nous n?avaient plus de toit, ni même plus rien, alors on épongeait le temps de dénicher quelqu?un et aussi des ardoises, assez rares dans la région, pour réparer.
L?habitude fut rapidement prise après chaque alerte, ou presque, de visiter les greniers afin de vérifier l?état de leur toiture ; dans ces temps troublés il pleuvait toutes sortes de choses un peu partout. Bien nous en prit : à l?issue du second bombardement, mon père visita le grenier au-dessus des salles de classes. Un éclat avait percé le toit et le feu commençait à prendre dans le plancher là où il avait chuté. Une bassine d?eau et l?affaire en resta là. Je possède toujours cet éclat qui me sert de presse-papiers ; refroidit il ne chauffe plus rien.

Les classes de l?école primaire occupaient les rez-de-chaussée des deux ailes, celui du pavillon central étant occupé par le logement du concierge et le bureau du directeur. Les quatre classes du cours complémentaire s?alignaient le long d?un couloir, au premier étage de l?aile Friesenhauser. Trois logements et quelques pièces inoccupées se partageaient enfin le reste de ce bâtiment : l?appartement du directeur au premier étage de l?aile de la rue de la Maix, celui d?une collègue de ma mère au premier étage du pavillon central et celui de ma famille au second étage.

En dépit de la construction relativement récente de cette école, l?inconfort était identique à celui que j?ai mentionné pour les logements de la caserne en face. Un peu avant l?arrivée des alliés, en 1944, la Municipalité informa ses administrés de délaisser les étages supérieurs des habitations à proximité de ponts encore valides : les Allemands se préparaient à les détruire, ce qui impliquait le risque de projections de gros débris. Nous quittâmes alors notre inconfort, mais seulement la nuit, pour partager celui de la collègue de l?étage en dessous. Des matelas, tables, chaises et quelques ustensiles indispensables pour la vie courante furent en outre descendus dans les caves en prévision d?hostilités comparables à celles de 1940. Personnellement je n?en fis pas l?expérience car lorsque les alliés arrivèrent nous étions à Raon aux Bois.

Une fois, peut-être deux, souvenirs devenus vraiment vagues, des soldats allemands cantonnèrent dans l?école ; peu de temps il est vrai, mais les logements devenaient rares à Épinal. Deux officiers se présentèrent ainsi un soir munis de l?ordre de les loger ; ils s?installèrent dans ma chambre. À dire vrai, les occupants les plus tenaces furent les postiers de la Poste Centrale, bien détruite par le second bombardement. Les garçons de Lormont refluèrent donc un temps chez les filles de Saint Michel ; le matin seulement, en laissant la place aux filles l?après midi : en dépit de tous ces événements, l?école publique s?obstinait à séparer les deux espèces? Pour la même raison nous eûmes deux nouveaux voisins : le receveur de la Poste Centrale et son épouse, casés, je n?ose pas dire logés, dans les deux cagibis libres de notre étage ; en pratique, ils étaient souvent chez nous, préparation des repas oblige, et devinrent nos amis ; j?ai déjà raconté cela.

Voilà ce qui me revint en vrac ce matin.

Bientôt 2010? Je ressens l?impérieux besoin de pousser une nouvelle et dernière fois la grande porte de l?école et regarder à l?intérieur ce qu?elle est devenue.

Aurai-je ce toupet ? C?est décidé, j?irai en juillet.

Bien d?autres choses me reviennent encore à l?esprit. Je les ajouterai, soyez en certains ; vous le savez : j?aime bavarder ; malheureusement, je le répète : suis-je bien fidèle à la réalité passée dans mes histoires ? Un exemple flagrant d?erreur : concernant la vieille prison, je citai souvent 1944 dans mon précédent envoi ; c?était 1940. Ah ! Ces neurones qui jouent des tours? Soyez indulgents et puis soixante ans plus tard, quatre années de plus ou en moins, quelle importance ?

Amitié.


marie paule
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: jeudi 11 juin 2009 00:34



Inscrit le: 18/03/2007
Messages: 5 701
Bonjour à tous
Enfin Mr Error daigne nous laisser la place !!!!!
Merci Serge
Arrivée à Epinal en 1957 et vivant dans un autre quartier à cette époque avant de devenir "Golbichonne" ,si je situais assez aisément les casernes du 149 au dessus de la colline à l'arriére plan ,je nageais totalement pour ce coin qui est totalement transformé .
Maintenant je situe ,grâce à tes explications -Merci .
Bonne Nuit à Tous


http://gw.geneanet.org/mariepaule7
Serge.S273
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: jeudi 11 juin 2009 07:50



Inscrit le: 10/05/2007
Messages: 3 217
Bonjour.

Une autre carte dénichée à Juvisy.



La rue Léopold-Bourg actuelle reste proche de ce qu?elle fut dans le passé. Rien de bien neuf dans cette image classique d?Épinal au début du XXe siècle.

Mais une torpédo y roule, conduite peut-être par un ancêtre de SP, lequel comme sa descendante ne devait pas trop savoir quel code appliquer : il roule à gauche ! Non mais alors ! Ce devait être un British?

Bon, c?est surtout cette voiture automobile et son conducteur équipé comme il se doit qui attirèrent mon attention. Bien qu?écrite en 1916, la carte devrait être antérieure à 1910? À vérifier.

Comme l?exprime Marie Paule, je connais mal ce coin. Je fais donc appel à ceux qui le connaissent : vos souvenirs seront les bienvenus. Si vos doigts commencent à frétiller devant le clavier, c?est que vous avez quelque chose à dire. Allez, courage et que cela sorte !

Bonne journée.
Marie-Josée .P
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: jeudi 11 juin 2009 08:06



Inscrit le: 26/08/2005
Messages: 8 096
bonjour à tous

je vois que "mister error" à fait encore des siennes

pour ma part j'ai rencontré une charmante dame, qui nous a reçu comme des rois , un repas digne de resto, et une pêche aux actes

devinez qui est-ce ??????????????????????

vous donnez votre langue au chat ,?????????????????

et ben c'était Odilou a qui je refais de gros bisous

bonne journée à tous , malgré la pluie et le vent
bisous


l'amitié,c'est graine de rien qui ne pousse pas au jardin,mais au fond du coeur humain

Elodie.21
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: jeudi 11 juin 2009 08:11



Inscrit le: 31/08/2005
Messages: 3 022
Bonjour à tous

Vent et pluie dans le Haut Jura aussi...
Bonne journée quand même

:bisou: Elodie

http://gw.geneanet.org/index.php3?b=lolo021
Si vous voulez voir mes peintures : egeorgel.livegalerie.com
rmeu
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: jeudi 11 juin 2009 10:11


Inscrit le: 20/11/2004
Messages: 899
bonne journée à tous



bisous mesdames
Carole.J95
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: jeudi 11 juin 2009 12:32


Inscrit le: 03/06/2008
Messages: 360
bonjour à tous,

petits soucis également pour vous faire coucou à ma dernière connexion

petit coucou en passant, je suis pas mal pris ces derniers temps,
mais je pense bien à vous
bises
Serge.S273
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: jeudi 11 juin 2009 15:16



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Bonjour.

À l?époque de Jules Ferry, on ne mélangeait pas les filles et les garçons ; sauf, éventuellement dans les petits villages. Voici donc l?école de la rue Saint Michel, uniquement pour les filles, à quelques pas de l?école de la rue Lormont.



Entre le second bombardement d?Épinal et le début imprécis des vacances d?été, en raison des événements, les garçons fréquentèrent cette école le matin et les filles l?après midi ; je serais totalement incapable de préciser durant combien de temps l?Académie maintint cette répartition.

Pour ceux qui ne connaissent pas Épinal, le photographe, auteur de cette image, opéra certainement depuis l?emplacement de l?ancienne porte de la ville, à l?extrémité de la rue de l?Abbé Friesenhauser, juste après sa jonction avec la rue de la Maix ; en fait seul un postier pourrait affirmer lequel de ces deux noms doit s?appliquer à ce petit bout de rue, réunion des deux précédentes. Une autre porte se trouvait proche de la Moselle et, pour cette raison, la rue qui file sur la gauche se nomme : Entre les Deux Portes. Du côté gauche de cette rue, en allant vers la Moselle, toutes les maisons s?adossent encore aujourd?hui à l?ancienne courtine reliant autrefois les deux portes. La vieille muraille réapparaît donc à chaque démolition d?immeuble. Par exemple, l?immeuble occupant l?angle juste à gauche, disparu aujourd?hui, fut construit sur des restes de la porte et de sa défense ; il présentait encore en 1940 des traces de fixation du mécanisme de fermeture de cette porte. Même si ce souvenir nage désormais dans la confusion, je peux en témoigner, ayant pénétré à l?intérieur de cette maison : un autre copain, Serge B?, habita là jusqu?en 1941 ou 1942. Dans l?espace dégagé lors de la démolition, la ville conserve, visibles, les fondations mises à jour de cette porte.
Toute la partie de la ville, devant nous, construite sur des terrains autrefois hors des murs de la ville, date d?une époque relativement récente. Néanmoins, le contraste entre la vétusté de tous ces immeubles et la netteté de l?école saute aux yeux ; vétusté omniprésente dans tout le quartier, de part et d?autre du tracé de l?ancien mur.

La particularité de cette rue, invisible dans cette image, est son encaissement entre, à gauche la colline supportant l?actuelle Z.U.P. et à droite la colline du château. Les pentes raides de ces collines font que certaines arrières-boutiques des magasins alignés devant nous se situent en sous-sol. Les exceptions proviennent de l?existence de carrières ouvertes autrefois pour construire le château et les défenses de la ville ; à ces endroits, les façades arrières regardent de véritables falaises plongeant jusqu?au niveau de la rue. Une école d?escalade s?est même installée dans l?une d?entre elles.

Avant de déménager dans logement de fonction de l?école Lormont, mes parents louèrent un appartement au deuxième étage du numéro 7 de la rue Saint Michel, presque en face de l?entrée de l?école. Au premier logeait un épicier, juste au-dessus de sa boutique, mais de plein pied avec la cour située derrière. J?ajoute que de l?autre côté de la cour, un petit édifice composé de caves ouvrant directement sur cette cour et d?un séchoir par-dessus s?appuyait complètement contre la colline ; cette disposition permet d?apprécier la raideur du lieu.

Tout ce laïus pour vous convaincre que la cour de l?école, elle-même bien encaissée, permettait d?accéder à un talus en tellement forte pente que personne ne songea à le transformer en jardin ; couvert de plantes folles, toutes sortes de fleurs sauvages le parsemaient. Étonnant à une époque où la moindre touffe d?herbe était récupérée pour nourrir les cohortes de lapins, usines à protéines des citadins, durant ces années noires.

C?est là que j?interviens.

La collègue de ma mère, bénéficiaire du logement en dessous du nôtre à Lormont, enseignait les sciences naturelles aux élèves du Cours Complémentaire, dont je fus l?un, en première année, de la rentrée en 1944 jusqu?aux grandes vacances de 1945. Elle exigea de tous ses élèves la constitution d?un herbier personnel. Travail peu évident pour de jeunes citadins, toujours à cause de la concurrence des lapins, et même après le départ des occupants ; que voulez-vous, l?obsession de la nourriture croissant avec la taille de la ville et Épinal étant la plus grande ville des Vosges il était normal que cette obsession s?y situât à son maximum pour ce département. Logique, non ? Or, les conciliabules entre ma mère et sa collègue concernant mon travail scolaire allaient bon train ; trouver des fleurs sauvages se transforma alors rapidement en obligation impérieuse m?accablant. Cependant ma chère maman, qui détestait voir son fils s?éloigner d?elle, refusait de me laisser herboriser seul dans la nature pourtant proche, là, au-dessus, dans le parc du château ou dans les champs du coteau de la Justice, endroit pourtant fort agréable depuis qu?on n?y suspendait plus personne par le col. J?osai lui faire constater son illogisme en remarquant qu?aucune fleur ne poussait dans les caniveaux ; parler de logique à une dame : tâche que tous mes frères hommes s?accordent à assimiler à une mission impossible, surtout pour un garçonnet !

Mon outrecuidance fut pourtant récompensée.

Ma mère connaissait bien toutes les écoles d?Épinal, puisque, avant l?occupation, elle y exerçait de manière itinérante la fonction de professeur d?éducation physique. Elle me conduisit chez sa collègue, directrice de l?école Saint Michel. Je connaissais déjà cette importante et imposante personne, toute de noire vêtue. Allez savoir pourquoi, j?en ai conservé curieusement le souvenir, probablement inexact mais tenace, de l?archétype de la paysanne lorraine : vous savez, une femme robuste, solidement charpentée capable de vous monter rapidement une meule de foin, pas encore sec, et de la couvrir lorsque l?orage menace. La directrice-paysanne et votre serviteur grimpâmes de concert quelques marches, elle ouvrit une porte grinçante et me libéra dans un véritable paradis d?herboriste. Ah ! Cette belle moisson?

Mais après, il me fallut sécher, décortiquer, analyser, nommer et monter une cinquantaine de planches. Quelle richesse dans quelques mètres carrés d?herbes à lapins, enfin excepté celles leur donnant la colique. Mais quel travail ! Le résultat soixante-cinq ans plus tard : minable? Je me souviens seulement de deux espèces de renoncules qui se distinguent par leur feuillage et de l?image incongrue de la paysanne lorraine? La pédagogie de 1944 souffrait déjà de quelques bugs, pardon de quelques bogues.

Je me console en songeant que peu de personnes savent qu?existent deux espèces de renoncules.

Bon après midi.
ODILOU
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: jeudi 11 juin 2009 16:55



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Bonne fin d'après-midi à tous.

MARIE JO, j'espère qu'un jour prochain nous pourrons remettre cela. Bon travail avec tes actes et tu as de quoi. J'ai retrouvé mes TD sur Romont, pas rangés dans le bon classeur. Bisous



christ.L12
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: jeudi 11 juin 2009 18:45



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coucou bonne soirée

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Regis.93
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: jeudi 11 juin 2009 19:05



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bonne soirée
Marie-Josée .P
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: jeudi 11 juin 2009 19:55



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Qdilou

j'espère aussi

peut-être le mois prochain, quand ma fille sera en vacances et que j'aurai pas juju

bisous et merci encore pour cette journée sympa


l'amitié,c'est graine de rien qui ne pousse pas au jardin,mais au fond du coeur humain

Emilie
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: jeudi 11 juin 2009 20:18



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Bonne soirée à tous.

Bises.



http://gw.geneanet.org/emige



Elodie.21
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: jeudi 11 juin 2009 20:54



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Bonne soirée à tous

:bisou: Elodie

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Hubert.L123
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: jeudi 11 juin 2009 21:02


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Bonjour tout le monde, je relance une bouteille à la Vologne, il y a quelques semaines, j?ai envoyé le message ci-dessous et je n?ai reçu aucun écho. Je retente donc le coup :
Bonjour tout le monde, je m?appelle Hubert Lagarde, j?habite dans les Landes à Biscarrosse, donc un peu loin des Vosges où mon arrière grand-père est né. Aussi, je me demandais si quelqu?un de la file, aurait l?amabilité de vérifier, lors d?un passage aux archives départementales, si les actes suivants existent
:
Actes de naissance de :
Becker François Nicolas né le 29 mai 1828 à Hergugney
Bruyère Marie Anne née le 26 mars 1788 à Xaronval
Munier Marguerite née le 29 septembre 1751 à Hergugney
Couturieux Anne née le 14 décembre1663 à Vomécourt/Madon
Actes de décès de :
Becker Mélanie décédée le 23 septembre 1844 à Hergugney
Becker Marguerite décédée le 2 septembre 1844 à Hergugney
Becker Marie Jeanne décédée le 12 décembre 1846 à Hergugney
Bruyère Marie Anne décédée le 9 mars 1859 à Hergugney
Becker Nicolas décédé le 30 décembre 1839 à Hergugney
Munier Marguerite décédée le 28 mars 1829 à Hergugney
Couturieux Anne décédée le 23 février 1732 à Hergugney
Actes de mariage de :
Becker Michel * Munier Marguerite mariés le 21 août 1781 à Hergugney
Munier Claude * Gabriel Catherine mariés le 12 janvier 1745 à Hergugney

arkred">Je serais bien sûr comblé s?il était possible d?obtenir ces actes, j?enverrai bien sûr par avance, la rémunération qui me sera fixée. Je ne suis pas pressé, mais dans le cas où une personne sympathique me rendrait ce service, voici pour me contacter mon adresse mail : lagardehubert@free.fr Merci d?avoir lu mon message. Bonne chance à tous dans vos recherches.
Regis.93
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: jeudi 11 juin 2009 21:36



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bonsoir Hubert,
message en mp
bonne soirée

Hubert.L123
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 00:07


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merci beaucoup pour votre message en MP Régis, mais hélas je ne peux pas le lire car je n'ai pas d'offre illimitée, c'est pour cela que j'ai mis mon adresse mail dans mon message. cordialement Hubert
marie paule
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 00:50



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Bonjour à tous
Merci Serge
J'ai fait un petit dossier :Souvenirs de Serge car ça fait un vrai et passionnant roman !!
Mais comme je ne savais pas les enregistrer au début ,je vais être obligée de tout feuilleter pour les retrouver
Ou y a t-il un autre moyen ?

Marie-Jo j'ai vu la photo souvenir

Bonne Nuit à Tous


http://gw.geneanet.org/mariepaule7
Andrée.17
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 04:12



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Bonsoir à toute la ligne bleue des Vosges.

SPP lit avec intérêt et amusement les récits d?enfance d?un jeune spinalien pendant la guerre.

Serge,
Tu as le don de nous mettre dans l?ambiance immédiatement et tu donnes fidèlement le ton de l?époque à travers tes aventures de jeunesse. Dans le coffre de l?histoire.

Ma grand-mère me parlait des voitures « De Dion Bouton » (orthographe incertaine !) que mon grand père allait acheter au salon de l?automobile dans les années 20, malheureusement je n?ai pas de photo de cette époque.
Peut-être a-t-il emprunté la rue Léopold Bourg, qui par chance à cette époque, devait être à sens unique (elle l'est encore), pas besoin de se préoccuper de rouler à droite, allez savoir ! Smile

Je connais de nom la « Torpédo », ça doit être très ancien d?après ta photo d?Epinal du début du siècle.


christ.L12
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 05:58



Inscrit le: 19/09/2005
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Bonjour

c'est l' anniversaire de MONSIEUR ROTAKI,

alors bon anniversaire CLAUDE


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Elodie.21
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 08:13



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Bon vendredi à toute la file et bon anniversaire à Claude !

:bisou: Elodie

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Maurice.L95
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 08:19


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Bonjour a tous
St Barnabe est passé au sec, tout va bien, enfin c'est ce qui est dit.
Pas trop le temps de venir vous voir, préparation de Camping Car pour les vacances qui arrivent, enfin plutot le départ, car les vacances c'est permanent pour nous.
Temps gris sur la Bretagne, mais sec pour le moment.
Bonne journée a tous et bon anniversaire a Claude
rmeu
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 09:49


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CLAUDE




à tous et bisous aux dames
Hubert.L123
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 10:38


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Merci Régis, j'ai bien reçu les messages en mp, désolé de vous avoir ennuyé avec le message précédent. Je suis ravi par vos infos et je vous félicite pour votre rapidité. cordialement Hubert
Serge.S273
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 12:17



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(Dessin de Henri Valentin, même référence que pour les envois précédents).
Serge.S273
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 12:34



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Marie Paule,

Bonjour.

J?enregistre tous les messages que je place ici ainsi que les vôtres, relatifs aux miens. Ce sont des dossiers « pdf » lisibles avec « Acrobat » mais volumineux donc difficiles à transmettre par l?Internet.

Deux possibilités.

J?enregistre tout cela dans une clé « USB », je te l?expédie et tu me la retournes ensuite.

La même démarche, sans la Poste, puisque je dois aller à Épinal début juillet, je ne sais pas encore exactement à quelles dates ; nous connaissons tous deux le chemin pour nous rencontrer aux AD88.

Amitié.
ODILOU
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 12:40



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BONJOUR TOUT LE MONDE

Pour ROTAKI mon "cousin" par les Marquis

BON ET JOYEUX ANNIVERSAIRE avec des bises amicales à partager avec JOCELYNE




MARIE JO, c'est quand tu veux, mais préviens moi assez à l'avance car je pars en vacances à la fin du mois de juillet.


Micheline 46
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 13:03



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Bonjour la file des Vosges

à Rotaki


:bisou: :bisou:à Marie Jo

Micheline 46
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 13:06



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Coucou Eric,

GRAVIER Claude ° 8/2/1710 Sartes + 18/1/1786 Sartes ( Joseph + 20/12/1743 Sartes X RENARD Marie + 25/5/1750 Sartes )
X 29/4/1743 Sartes
MOUGIN Marie ° 14/10/1716 Sartres + 30/11/1794 Sartes ( Simon + 59 ans 14/6/1749 Sartes X VOIDEVILLE Françoise)

Bon après midi à toutes et à tous
Marie-Josée .P
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 13:37



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bonjour à tous

j'espère que cette fois ça fonctionne

tout d'abord BON ANNIVERSAIRE à Rotaki le taquin , hélas on ne voit plus assez souvent

Odilou, pas de soucis je te préviendrai

Micheline merci, j'ai encore bcp de travail pour vous ,

je ne suis pas venue plus tôt parce que j'ai des soucis de santé , hier soir je me suis couchée avec des nausées, et ce matin des vertiges , ce ne sont pas les mêmes qu'avant, donc je suppose que c'est du au nouveau traitement que je prends et que j'arrête dès aujourdh'hui , on verra, pour l'instant je suis obligée de me cramponner quand je suis debout
donc je vais aller me recoucher
bon aprem
bisous à tous


l'amitié,c'est graine de rien qui ne pousse pas au jardin,mais au fond du coeur humain

Marie-Josée .P
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 14:10



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voici un message reçu sur les sabotiers
Bonjour à la gente sabotière,

Suite à un courriel aux archives des vosges, voici la réponse, je laisse la liste derrière pour ceux que ça intéresse...

Mademoiselle,
Vous nous interrogez sur les possibilités de consultation des archives numérisées sur Internet.


Les Archives départementales des Vosges ont achevé la numérisation des :

· registres paroissiaux et d'état civil (jusqu'en 1904)

· tables décennales 1802-1893

· dénombrements de population (jusqu'en 1936)

· registres matricules (jusqu'en 1900).


Ces reproductions numériques sont en accès libre sur des postes de consultation, en salle de lecture.


Ces documents numérisés seront mis en ligne sur notre site Internet :
www.vosges-archives.com N'hésitez pas à vérifier régulièrement sur notre site l'annonce de la mise en ligne, vraisemblablement à l?automne 2009. Vous y trouverez également toutes les renseignements utiles pour une consultation en salle de lecture.

Si ce déplacement vous est impossible, vous trouverez également ci-joint la liste des organismes auxquels vous pouvez vous adresser. Je vous précise que la présente liste ne vaut pas agrément de la part de l?administration des archives.

Je vous prie d?agréer, Mademoiselle, l?expression de mes salutations distinguées.

La Directrice Adjointe

des Archives départementales des Vosges

Éliane MOUGEL


CERCLES GENEALOGIQUES DE LORRAINE

Cercle généalogique de Meurthe-et-Moselle 6, rue Clémenceau
54820 MARBACHE

* amida2@wanadoo.fr


Cercle généalogique de la Meuse B. P. 80271

55006 BAR-LE-DUC CEDEX

* geneameuse@orange.fr



Cercle généalogique de la Moselle 1 allée du château

57070 SAINT-JULIEN-LES-METZ

* webmaster@moselle-genealogie.net



Cercle généalogique des Vosges 15 rue Foch

88100 SAINT-DIÉ-DES-VOSGES

* deodalogie@wanadoo.fr



CERCLES GENEALOGIQUES DES VOSGES A VOCATION LOCALE



Cercle généalogique de Charmes 16 rue des Capucins

B. P. 14

88130 CHARMES CEDEX

Tél. 03.29.38.88.55

* cghpc@wanadoo.fr



Cercle généalogique de Liffol-le-Grand/Neufchâteau B. P. 43

88350 LIFFOL-LE-GRAND

Tél. 03.29.06.64.84

* cercle.liffol.neufchateau@neuf.fr



Liffol Généalogie 20 route d'Haréville

88350 LIFFOL-LE-GRAND

Tél. 03.29.06.68.60

* liffol-genealogie@neuf.fr



Cercle généalogique de Saint-Dié-des-Vosges 15 rue Foch

88100 SAINT-DIÉ-DES-VOSGES

Tél. 03.29.55.05.18

* deodalogie@wanadoo.fr



Cercle généalogique de Vincey et du Baillage d'Épinal 18 rue du Pincieux

88450 VINCEY

Tél. 03.29.67.45.56



Cercle généalogique de Vittel 37 square de l'Alpha

B. P. 128

88804 VITTEL Cedex

Tél. 03.29.08.17.65

* cercle-vittel@wanadoo.fr



Banque de données : 3617 GENLOR

Sur internet : www.genea.com



ORGANISMES DE GENEALOGISTES PROFESSIONNELS FAMILIAUX



Chambre des généalogistes de France 39 rue des Mathurins

75008 PARIS



Tél. 01.44.94.91.70


Chambre syndicale des généalogistes et héraldistes de France 231 rue Saint-Honoré

75001 PARIS

Tél. 01.42.60.02.04


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Regine.B56
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 14:25


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COUCOU MARIE JOSEE

TOUJOURS AVEC TES SOUCIS DE SANTE. JE TE SOUHAITE QUE TOUT RENTRE DANS L'ORDRE BIENTOT

MERCI POUR L'INFO QUE TU AS PASSE, C'EST BIEN GENTIL DE TA PART.

EN ATTENDANT REPOSE TOI BIEN ET BON WEEK END.

BON WEEK END A TOUTE LA FILE DES VOSGES AVEC DU SOLEIL

BON ANNIVERSAIRE ROTAKI

BISOUS A TOUS

REGINE
Eric le Gapençais
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 15:39


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Bonjour la file,
merci beaucoup Micheline pour toutes ces précieuses informations.
Il ne me reste plus qu'à collecter ces actes
Si quelqu'un se rend aux AD pourrait il se charger de cette mission?

Eric
Regis.93
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 18:24



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bonjour à toute la file,
BON ANNIVVERSAIRE CLAUDE
Merci Marie Josée pour toute ces infos
bonne soirée

Regis.93
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Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 18:41



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bonsoir Hubert,
voir MP,A+

marie paule
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 19:29



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Bonjour à tous
D'abord Bon Anniversaire à Claude alias Rotaki mon cousin par les Marquis
Et Bisous à Jocelyne

Marie-Jo espérons que c'est un simple épisode saisonnier ou que ça s'arrétera avec les médicaments !!!
Pour ce qui est des archives en lignes !!!
Si seulement c'était enfin vrai aprés un ajournement de semestre en semestre depuis au moins quatre ans !!
Les archives du Haut Rhin sont aussi prévues en ligne pour ce deuxiéme trimestre 2009 Mais ???
Mais ne vendons pas la peau de l'ours avant qu'il soit tué...
on a déjà tellement espéré !!!!!!

Serge J'ai aussi une clé USB
Eventuellement en cas de contre temps je peux te la faire parvenir
Je te signale que la fermeture habituelle des archives est entre le 1er et le 14 juillet ,donc ce sera sans doute du 27 juin au 15 juillet


http://gw.geneanet.org/mariepaule7
Elodie.21
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 21:19



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Bonsoir à tous

Bonne nouvelle pour les archives en ligne, si c'est vrai comme le dit si bien Marie Paule.

Bonne soirée à tous
:bisou: Elodie

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christ.L12
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: vendredi 12 juin 2009 21:28



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bonne soirée

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marie paule
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Envoyé le: samedi 13 juin 2009 01:49



Inscrit le: 18/03/2007
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Bon week end à vous tous
Ma petite fille fait sa communion ce dimanche 14
Donc à la semaine prochaine !!!!
Pour cette Nuit et les suivantes
Dormez bien tous


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Regis.93
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: samedi 13 juin 2009 05:09



Inscrit le: 27/01/2007
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Serge.S273
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: samedi 13 juin 2009 08:08



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Bonjour.

Encore une gravure de mon dessinateur Vosgepatte préféré, Henri Valentin.



(référence inchangée).

Hier, me remémorant la directrice de l?école Saint Michel, mon esprit accabla certainement son aspect en l?affublant de la force de caractère qu?elle manifestait dans sa fonction d?éducatrice de petites diablesses.

Thèse outrancière sur la morphologie de la paysanne vosgienne ! L?image en est l?antithèse? Bien accortes et agréables à regarder ces jeunes filles.

Et la synthèse ? Les jeunes gens concluaient autrefois après la fenaison. Les registres paroissiaux en témoignent. Rhétorique irréfutable !

Je passe à autre chose, car là je suis bien parti pour sortir des bêtises.

Amitié.
Sandra.C153
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: samedi 13 juin 2009 10:26


Inscrit le: 01/03/2006
Messages: 195
Bonjour à tous,

Bonjour ma voisine Régine. J'espère que vous allez tous bien. Et que le beau temps est revenu partout.
A bientôt.

Sandra
Emilie
Mise en commun des ancêtres des VOSGES (88)
Envoyé le: samedi 13 juin 2009 11:45



Inscrit le: 08/05/2006
Messages: 2 848
Bonjour à tous.

Pour les archives en ligne, je le sens bien cette année. J'avais remarqué quelques petits changements sur le site des AD et m'étais dis que la mise en ligne ne tarderait pas. Je suis plutôt confiante. De toute façon cela fait 4 ans que c'est soit disant prévu, donc on est plus à ça près.
En fait, le mieux serait de ne rien dire et que d'un seul coup ce soit sur internet. Au moins ce serait une belle surprise. Alors que là...

Bon week-end à tous.




http://gw.geneanet.org/emige



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