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JE RECHERCHE UN ONCLE DE MA MAMAN DANS LA PROVINCE DE LIEGE - Filae.com
Yeliz.C
JE RECHERCHE UN ONCLE DE MA MAMAN DANS LA PROVINCE DE LIEGE
Envoyé le: vendredi 4 janvier 2008 01:47


Inscrit le: 04/01/2008
Messages: 1
bonjour a tous, je suis tres contente de trouver ce site, jespere pouvoir y trouver mon bonheur.
j'habite en belgique dans les environs de charleroi.
Ma famille est en belgique de puis de nombreuses années.
mon arriere grand pere paternel est arrivé a Liege en septembre 1965.
Il a rencontrer une dame dont on ignore le nom et le prenom, il a habiter avec elle un an et demi, il s'appelle Mehmet Bayram, est d'origine turque.
Il a eu avec cette dame un garcon, malheureeusement on ne connait rien de lui Non plus. Il doit etre né en 66 ou 67, et cest certain que cest un garcon. Mon arriere grand pere Mehmet bayram vit toujours en turquie, il approche les 80 ans, il a une fille (ma grand mere) et 3 fils, qui vivent tous les 3 en Allemagne. le fils illégitime serait le cadet de la famille. il ne nous dit rien a son sujet. ses autres enfants voudrait le retrouver, et moi etant la seule residante en belgique, cette mission ma été confiée, moi aussi, je voudrais savoir ce qu'est devenu mon grand oncle belge Smile si qq'un peut me donner des informations, comme par exemple ou dautre je pourrais me renseigner, a part la commune, ce qui est deja fait(j'attend des nouvelles) ce serait gentil. j'attend vos reponses avec impatience. et je souhaite que tout ceux qui sont a la recherche d'un membre de sa famille , puisse avoir des nouvelles positives. je vous remercie de l'interet que vous porterez a mon message. a bientot
Michel T163
JE RECHERCHE UN ONCLE DE MA MAMAN DANS LA PROVINCE DE LIEGE
Envoyé le: vendredi 4 janvier 2008 19:25



Inscrit le: 14/11/2005
Messages: 2 373
Bonsoir Yelis,

Je dois vous signaler, pour les archives de moins de 100 ans, il faut l?autorisation du procureur du Roi, et prouver votre filiation avec la personne concernée.

L'état civil récent (les dernières années du 19e siècle et le 20e )
Les registres d'état civil (NMD), avec leurs tables annuelles et décennales, sont réalisés pour chaque commune en deux exemplaires.
L'un est conservé par l'administration communale où il n'est éventuellement consultable qu'avec l'autorisation du bourgmestre ou de l'officier de l'état civil. L'autre est versé en fin d'année par la commune au greffe du tribunal de première instance. Là, une autorisation écrite du procureur du Roi est nécessaire pour y accéder, moyennant requête motivée.
Mais, la plupart du temps, on pourra se passer de ces démarches. Qui ne connaît suffisamment ses parents et grands-parents jusqu'à la fin du 19e siècle par des sources personnelles ou familiales ? Sauf pour des généalogies descendantes, le généalogiste amateur pourra en général se passer de recherches à l'état civil récent.
Il lui est toujours possible d'adresser aux administrations communales une demande de photocopie ou de copie conforme littérale, signatures comprises (de préférence à un simple extrait qui risquerait d'omettre des détails du plus haut intérêt pour l'orientation de vos recherches). on n'obtiendra ces documents que si on fournit à l'administration les références de l'acte : nom de la commune et date (au moins approximative), car l'administration n'effectuera pas de recherches généalogiques pour vous.
En haut
L'état civil ancien (de 1796 environ jusqu'à la fin du 19e siècle)
on dispose pour cette période des mêmes registres d'état civil que pour la période contemporaine, parfois moins élaborés au fur et à mesure que l'on remonte dans le temps, encore que certains actes rédigés à l'époque napoléonienne comportent parfois un luxe inouï de détails sur les parents, les grands-parents, les témoins, etc.
Comme pour l'état civil récent, la commune conserve un exemplaire de l'ancien, consultable selon le bon vouloir de l'administration communale et dont on peut obtenir des copies aux conditions énoncées plus haut.
L'autre exemplaire, celui du greffe du tribunal, est généralement versé aux Archives (Archives générales du Royaume à Bruxelles, Archives de l'État en province), où il peut être consulté par les chercheurs.
De plus, les Archives générales du Royaume (AGR) procèdent au microfilmage de ces registres pour toute la Belgique. on peut consulter ces microfilms au moyen de visionneuses dans une salle de lecture spéciale, située sous le hall d'entrée des AGR. on trouvera sur place les inventaires (registres et fichiers) nécessaires pour retrouver les cotes des bobines de microfilm.
En haut
Les registres paroissiaux (avant 1796)
Les anciens registres paroissiaux, abondamment utilisés par les généalogistes, comprennent essentiellement des actes de baptême (B), mariage (M) et décès (D) ou inhumation. Il existe des tables alphabétiques par paroisse. Le tout est généralement conservé aux Archives générales du Royaume pour le Brabant et aux Archives de l'État en province, de plus en plus rarement dans les communes ou dans certaines Archives de villes (cas de Bruxelles, Anvers et Malines par exemple).
Selon les paroisses, les registres paroissiaux remontent au début du XVIIIe siècle, au XVIIe ou même, dans des cas exceptionnels, jusqu'en plein XVIe siècle.
Sauf exception, les registres paroissiaux de toute la Belgique, ainsi que leurs tables, ont été microfilmés. A Bruxelles, ces microfilms sont consultables, de préférence aux originaux, dans la salle de lecture spéciale des Archives Générales du Royaume dont il est parlé plus haut.
De plus, on peut consulter à l'Office généalogique et héraldique de Belgique une copie des tables des anciens registres paroissiaux de Bruxelles, lesquels réfèrent à plusieurs centaines de milliers d'actes (voir à ce propos Les tables des anciens registres paroissiaux de Bruxelles, dans Le Parchemin, 1976, pages 167-175).
Les actes paroissiaux sont parfois très laconiques. Le nom des parents ne figure pas toujours dans les actes de baptême. on notera toujours les noms des parrain et marraine, indications qui pourront souvent se révéler utiles pour reconstituer peu à peu le puzzle familial.
Les généalogistes belges ont entrepris un gigantesque fichier national des tables des anciens registres paroissiaux, vaste oeuvre de collaboration bénévole qui sera appelée à rendre d'éminents services aux chercheurs.
Amicalement, Michel T163
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