CAMPS de Réfugiés en France - Filae.com |
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 2 143
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Bonjour à tous et à toutes,
Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de messages sur les camps qui ont "hebergé" nos parents lors de la retirada de 1939. Comme il y a déjà des messages très interesssants, je vous propose de tout regrouper dans cette file, et chaque fois que l'un ou l'une d'entre nous aura une info de tout mettre ensemble. Cela sera plus pratique pour tout le monde. Merci d'y penser les uns et les autres. Bonne journée tous et à toutes. Liliane.
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Bonjour
Excellente idée de tout regrouper
voici un site
http://www.apra.asso.fr/Camps/Fr/Camp-Argeles.html
un autre
http://espana36.site.voila.fr/exil/exil.htm
A suivre
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Inscrit le: 07/06/2002 Messages: 36
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http://argeles1939.com/crbst_36.html
http://hijosdelaretirada.blogspot.com/2008/02/les-cre-camps-de-regroupement-des_21.html
http://ffreee.typepad.fr/fils_et_filles_de_rpublic/qui-sommes-nous.html
on pourrait aussi ajouter un rayon livre ??? photos , témoignages... Nat
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Inscrit le: 12/02/2009 Messages: 56
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http://www.exilordinaire.org/
http://cheminsdememoire.gouv.fr
http://gurs.free.fr
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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LORIOL (Drôme)
Une usine au quartier Marnas a abrité un camp d'internement pour "étrangers indésirables"
Il a été ouvert en 1939 après aménagement sommaire des bâtiments désaffectés depuis 1930.
Il abrita des ressortissants allemands, autrichiens, espagnols, italiens vivant en France depuis plusieurs année devenus indésirables suite à la déclaration de guerre à l'Allemagne.
Le camp a fermé en juin 1940 et rouvert le 20 août de la même année.
Définitivement fermé en mars 1941.
Il a accueilli près de 500 internés.
Des témoignages sont inscrits sur les murs sur le froid -10° et le vent, de nombreuses personnalités politiques et artistiques y ont séjourné.
Ce bâtiment va être démoli, mais il a été fait des photos des inscriptions, sur les murs, faites par les prisonniers.
il existe un livre "Des indésirables : les camps d'internement et de travail dans l'Ardéche et la Drôme durant la seconde guerre mondiale" (de Jean Sauvageon et Robert Serre, Vincent Giraudier, Hervé Mauran)
Lu sur le Dauphiné Libéré l'an passé.
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Bonjour,
Un site donné par François
http://tempspresents.wordpress.com/2009/02/09/retirade-camp-retirada-barcares-photos-documents-1939-1942/
Cliquez sur "accéder au diaporama"
Bonne journée
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 2 143
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Bonsoir à tous et à toutes,
Je suis allée en fin d'après midi à Bram (aude) où était inaugurée une stèle érigée à l'emplacement de l'ancien camp de concentration. J'ai fait des photos et j'essaierai d'en insérer une demain dans ce forum. Sur cette stèle sont inscrits les noms de toutes les personnes décédées dans de camp. Cette cérémonie a été suivie de divers discours qui ont rendu un hommage unanime à ces réfugiés qui avaient avant tous combattu pour un monde meilleur, et je vous assure que c'était très émouvant. Comme j'ai dit à un journaliste de l' Indépendant qui m'interwiuvait : "que depuis toujours ce que je déplorais le plus c'est qu'on avait occulté l'histoire de ces réfugiés, et que rien n'était pire que l'oubli". Cette journée s'est terminée par une conférence de Denis Pechanski sur "la rétirada".
Voilà, je voulais vous en faire part. Bonne soirée. Liliane.
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Bonjour,
Je mets le lien d'Isabelle sur cette file qui me semble appropriée :
http://exode-espagnol-1939.over-blog.com/
Que d'émotion lors de ces commémorations, Liliane.
Bon WE
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Bonjour,
Message à tout ceux qui ouvrent de nouvelles files pour les camps, mettez tous vos messages et toutes vos infos sur cette file.
Cela permettra d'avoir tout au même endroit et plus facile à retrouver que d'avoir plusieurs files sur le même sujet.
Bonne journée à tous.
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 2 143
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Bonjour à Tous et bonjour Janine,
J'ai comme ncé à lire le récit du lien que tu as mis d'Isabelle. J'ai pleuré en le lisant. Cet très douloureux.
Dans un autre ordre d'idées, tu as raison : il faut mettre les liens dans la même file qui a été déjà ouverte, sinon ça se perd.....
Bonne journée.
Liliane.
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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http://histoireespagne.spaces.live.com/blog/cns!636BA84300E1B69B!1290.entry
Quelques photos de la commémoration à Argelès
A +
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Inscrit le: 19/01/2009 Messages: 470
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http://quid.notrefamille.com/v4/forums/recherches-genealogiques-espagne-espagnols-morts-au-camp-de-st-cyprien-les-noms-ici-t1220889.html
http://quid.notrefamille.com/v4/forums/recherches-genealogiques-espagne-monument-espagnol-d-argeles-les-noms-ici-meme-t1214995.html
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Voilà Manuela une bonne chose de faite, une file qui va vivre grâce à nous tous en mémoire aux internés des camps.
Bonne soirée
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Inscrit le: 19/01/2009 Messages: 470
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Vous avez vu que vous avez plein de photos ici.
http://www.flickr.com/photos/lagabata/page2/
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Je cherche toujours à voir mon GP mais comment le pourrais-je sur toutes ces photos ?
Merci Manuela.
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Inscrit le: 19/01/2009 Messages: 470
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http://www.lindependant.com/articles/2009/03/22/20090322-Perpignan-Retirada-reaction-aux-propos-de-la-depute-Jacqueline-Irles.php5#reaction
Et l'autre qui revient avec ses lingots d'or.
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Il me semble que les républicains n'étaient pas des nantis, à titre individuel ils n'avaient que peu d'argent et pas beaucoup de bijoux
Par contre il est vrai que la république a envoyé le trésor en Russie, et là disparu, perdu, gardé par les russes.
Quant à dire que les réfugiés ont ramené de l'or, si c'était le cas, ils n'auraient pas été si pauvres en France, ils auraient pu vivre décemment.
Mes grands parents ont laissé leur argent à la banque en Espagne, leurs économies, que sont-elles devenues ? La banque les a gardé. Le peu qu'ils avaient avec eux a été aussitôt déprécié puisque Franco a immédiatement changé les billets.
Ma soeur et moi avons les quelques billets qu'il leur restait, et même pour les collectionneurs, ils valent trois fois rien.
A Barcelone Plaza Real le dimanche matin il y a une brocante avec des collectionneurs, allez-y voir si vous allez à Barcelone, vous verrez que ces billets sont de belles images et pas plus.
A plus
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Inscrit le: 16/04/2007 Messages: 1 289
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Bonjour,
Pour ceux qui sont intéressé par le camp du Vernet entre février 1939 et septembre 1939, un livre vient de sortir: "De l'exode à l'exil, l'internement des républicains espagnols au camp du Vernet d'Ariège, de février à septembre 1939"
à commander sur le site "du Sudel" ou le voir sur le site: " unsa éducation", rubrique "histoire sociale." Bonne journée Isabelle
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Inscrit le: 20/11/2008 Messages: 5
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bonjour, je ne vois rien sur le camp de Septfonds. Mon grand-père qui était "guardia de asalto" y est resté jusqu'à la fin de l'année 1939. Pouvez-vous m'aider ? Je recherche des descendants d'Espagnols internés dans ce camp. merci
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Bonjour,
En 1939, onze camps de l?exode voient le jour en Ardèche pour accueillir quelques 1800 réfugiés, tandis que la Drôme comptera plus d?une vingtaine de centres d?accueil.
A lire :
http://www.memoire-ardeche.com/bibliographie/giraudier.htm
Un livre :
Les enfants et adolescents dans les camps de réfugiés espagnols en Ardèche, Hervé Mauran
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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A lire aussi
http://users.skynet.be/pierre.bachy/espagnolsfrance.html
Vincent GIRAUDIER, Hervé MAURAN, Jean SAUVAGEON, Robert SERRE :
Des indésirables, les camps d?internement et de travail dans l?Ardèche et la Drôme durant la Seconde Guerre mondiale , 480 pages, éd. Peuple Libre et Notre Temps, 1999. Préface de Denis Peschanski, chargé de recherche au CNRS (Institut d?histoire du temps présent),
Après la publication de plusieurs articles présentant leurs travaux, les auteurs livrent le fruit de plusieurs années de recherches sur ces camps bien oubliés par la mémoire collective. Les témoignages, devenus rares, ont été complétés par les archives des communes, des départements, de Grenoble, Marseille, Paris, dont l?accès leur a été ouvert par dérogation ministérielle, et les archives allemandes de Bonn et Berlin.
Dans la France devenue « terre de camps », l?échantillon géographique que constituent la Drôme et l?Ardèche rassemble la quasi-totalité des types de camps et de personnes internées au cours de cette période, non par décision de justice, mais sur une simple mesure administrative qu?aucun délit ne justifie. Ce travail présente donc un intérêt qui dépasse largement le cadre de nos deux départements. L?étude réalisée est particulièrement fouillée et l?essentiel est inédit. Il en est ainsi par exemple des dizaines de déportés vers Auschwitz (Birkenau), Maïdanek, Mauthausen? prélevés dans ces camps ou Groupements de Travailleurs Étrangers (GTE) : la plupart étaient ignorés et ne figurent ni dans les listes données par les ouvrages publiés à ce jour ni sur les plaques apposées dans les lieux de mémoire. Peu de choses étaient connues, et souvent de manière très superficielle, sur les conditions d?internement de tous ces gens dans des locaux de fortune. Le temps passant, il était urgent d?en éclaircir l?image et de la fixer.
Les internés sont des civils français ou étrangers (14 nationalités dans le GTE de Crest, au moins 16 dans ceux de l?Ardèche), considérés comme « suspects », « douteux » ou « indésirables » à cause de leur ethnie, de leur religion ou de leur appartenance politique ou idéologique supposée : Espagnols ayant fui le régime franquiste ; ressortissants des pays ennemis comme le peintre Max Ernst qui passe à Loriol et Largentière ; militants antinazis originaires du Reich, souvent déjà en lutte dans les Brigades internationales et dont certains, parmi les survivants, poursuivront leur combat après s?être évadés ; vieillards, infirmes ou malades transférés des grands camps et amenés dans les centres-hôpitaux de Saint-Agrève et Alboussière ; communistes, syndicalistes et pacifistes français internés à Loriol ou Privas (Chabanet) ; Arméniens raflés au sein des importantes colonies de la région et intégrés dans l?organisation Todt qui les emploiera à construire le mur de l?Atlantique ; travailleurs étrangers emprisonnés à Largentière, Vinezac, Le Cheylard, Saint-Jean-Chambre, Chomérac, Montélimar ou regroupés dans les GTE de Saint-Vincent-de-Charpey et Crest, dans la Drôme, et divers lieux de l?Ardèche pour fournir à bon marché une main-d??uvre de substitution ; personnalités politiques considérées comme responsables de la défaite et embastillées à Vals-les-Bains ; Juifs raflés constituant à Crest, Alboussière? des réservoirs toujours prêts pour le départ, via Drancy, vers les camps d?extermination.
Certains de ces internés, après une évasion, entreront dans la Résistance et y joueront souvent un rôle considérable par leur expérience du combat et la force de leurs convictions. Plusieurs iront jusqu?au bout de cet engagement et le paieront de leur vie.
L?ouvrage fait apparaître la continuité entre la troisième République finissante et le régime de Vichy récupérant au profit de son idéologie la réglementation et les structures mises en place ou renforcées par ses prédécesseurs. on y découvre la complexité de la législation en matière d?internement et son aggravation progressive, la grande diversité des méthodes et des établissements d?enfermement dans ces deux départements apparemment sans histoire, éloignés des frontières et peu marqués par une population étrangère ou juive.
L?ouvrage contient une abondante et riche iconographie, plans et cartes indispensables, graphiques, nombreux documents et photos d?époque retrouvés chez des particuliers,? Y figurent les références complètes des sources utilisées et des index des noms de personnes et de lieux cités.
Dans ce livre, qui bénéficie d?une préface de Denis Peschanski, l?un des plus grands spécialistes de ces questions, Robert SERRE étudie particulièrement l?accueil et l?hébergement des réfugiés espagnols dans le Diois et la vallée de la Drôme en 1939, et le 352 e Groupe de Travailleurs Étrangers de Crest.
En vente à Peuple Libre, 2 rue Émile Augier, 26000 VALENCE au prix de 30,18 ?
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Inscrit le: 16/04/2007 Messages: 1 289
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Bonjour Brigitte,
Le camp de Septfonds,a été ouvert aux réfugiés espagnols en mars 39.dans le Tarn et Garonne. Il était à la fois écarté des zones urbaines (attention à la contamination!!!!) et près de la route et de la voie ferrée. Il a été construit sur une propriété de 50h, sur le lieu dit: Judes et La Lande. 45 baraques de 350personnes chacune. Environ 16000 réfugiés sont passés par Septfonds.Je pense qu'il reste encore une baraque et aussi le cimetière ou sont enterré les 81 réfugiés morts dans le camp. Pour d'autres renseignements vous pouvez contacter les AD du département. Une autre adresse que je vous mets en MP. Bonnes recherches. Isabelle
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Bonjour
Votre GP était soldat.
Guardia de asalto : litéralement garde d'assaut.
Avez vous cherché des infos sur lui sur le site :
Essayez cela :
http://www.mcu.es/archivos/CE/BaseDatos.html
cliquez sur :
Militares y miembros de las fuerzas de orden público al servicio de la república (1936-1939)
puis sur
Formulario de consulta
là vous mettez le nom de la personne recherchée.
et vous cliquez sur "buscar"
pour les disparus :
vous cliquez sur :
Desaparecidos del ejército de tierra de la República Española (1936-1939)
puis sur
Formulario de consulta
et pareil que pour l'autre
Cela ne vous fera pas trouver des infos sur sa présence dans un camp mais cela peut être intéressant.
Bonne chance
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Sur ce site :
http://espana36.site.voila.fr/septfon/expo1.htm
vous pouvez trouver des survivants.
Bonne journée
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Inscrit le: 19/01/2009 Messages: 470
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Au musée de l'exil de la Jonquera, ils nous envoient ce truc à remplir. Et moi, je sais quasiment rien de ce qu'ils demandent là.
Información sobre Personas Exiliadas Rellenen, por favor, los datos que conozcan. Si no son seguros, indíquenlo on un asterisco (*)
Información inicial:
Apellidos y nombre del informador/a
Datos de contacto (dirección, teléfono, e-mail, etc.)
Fecha
Información general del exiliado/da:
Apellidos y nombre Lugar y fecha de nacimiento
Lugar y fecha de defunción
Profesión (en 1936-39)
Militar Sí Grado No
Afiliación política
Afiliación sindical
Cargos de representación política, sindical, cultural u otros (Casinos, Asociaciones, etc.)
Paso fronterizo o lugar de paso por la frontera
El exilio Lugar de residencia centro/s de detención en Francia o en otros lugares (nombres de los lugares o de los campos de concentración y fechas)
Salida de los campos Contrato de trabajo, maquis o resistencia francesa, batallones de trabajo u otras situaciones (lugares y fechas, tipo de trabajo, etc.)
Deportado a los campos nazis Lugar y fecha de detención
Campo/s y fechas - - -
Superviviente (lugar de la liberación y fecha)
Defunción (lugar y fecha)
Lugar de residencia a la salida del campo Traslado y exilio en otro país (América, Europa, Africa, etc.) (lugar y fecha) Medio de transporte, nombre del transporte (ej. en caso de barcos) y fechas
Residencia (permanente o temporal, lugares y fechas)
El retorno Primer retorno Paso fronterizo y fecha
Situación posterior: retorno a casa, encarcelamiento y circunstancias, otras formas de represión, etc. (lugar y fechas)
Retorno definitivo Sí No En caso afirmativo, especifiquen el lugar de residencia
Retorno definitivo Lugar de residencia y fecha
Comentarios:
Información complementaria ¿Contáis on documentación (escritos personales, documentos de la época, fotografías, etc.)?
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Inscrit le: 19/01/2009 Messages: 470
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Voir le Fichier : docexilretirada.rtf
Ouvrir avec WordPad
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Manuela
Tu ne remplis que ce que tu peux.
A +
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Inscrit le: 19/01/2009 Messages: 470
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Y'a eu un camp d'espagnols aussi dans le Tarn-et-Garonne 82 près de Montauban, à Septfonds.
http://www.caussade-patrimoine.com/dossier-septfonds.htm
http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/page/affichelieu.php?idLang=fr&idLieu=3291
http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/page/affichelieu.php?idLang=fr&idLieu=3291
http://espana36.site.voila.fr/septfon/expo1.htm
Les noms : http://espana36.site.voila.fr/septfon/JUDES.htm
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Inscrit le: 19/01/2009 Messages: 470
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A la télé dernièrement sur France3, ils ont dit que cette photo entre autres, comme beaucoup de photos de guerre, que c'était une photo "pipeau".
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Qu'en savent-ils ? qu'ils donnent des preuves de ce qu'ils avancent ?
Cette photo je l'ai vu chez mon cousin en Andalousie, il en a même fait un tableau.
A +
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Inscrit le: 16/04/2007 Messages: 1 289
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Bonsoir,
Oui Manuela, sur cette photo le soldat a posé pour le grand photographe qu'était Capa.On lui doit beaucoup de photos de la guerre d'Espagne,le soldat a été identifié et est mort très peu de temps après. Cette photo a aussi fait le tour du monde. Pas trop déçue? Comment les reporters-photographes auraient-ils fait pour avoir d'aussi "belles" photos?? Merci CAPA Isabelle
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Bonjour
tableau peint par mon cousin
C'était quand même un soldat républicain.
A +
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Inscrit le: 19/01/2009 Messages: 470
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C'est où exactement la Vallée de los Caïdos ?
http://www.youtube.com/watch?v=ZEm4X4S9sJc&feature=related
A celui qui filme là, y'a le "fan-club" qui lui fait éteindre la caméra à l'entrée apparemment. Doit pas y avoir intérêt de vouloir cracher ou simplement faire mine de cracher sur le tombeau de Franco.
Et là, faut pas gueuler "hija de puta" http://www.youtube.com/watch?v=IF7WfrL4kjU&feature=related
Il avait une fille, Franco.
http://www.whatmadrid.com/guidemadrid/valle-caidos.html
Si on projette d'aller faire un tour par là-bas, on va pas être entourés d'amis, faudra voir à pas la ramener.
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Inscrit le: 16/04/2007 Messages: 1 289
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Bonjour,
Liliane, je t'ai envoyé par mail, le programme pour Montauban et un condensé des journaux d'Espagne du mois de mars. Si tu es intéressée par ces derniers, je peux te les envoyer, tous les mois ou peut etre es-tu inscrite?? A bientot. Isabelle
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Isabelle
Dis moi qu'est ce que ces journaux dont tu parles à Liliane ?
Cela pourrait-il m'intéresser aussi ?
Amitiés
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 2 143
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Bonjour tout le monde et bonjour Isabelle.
Merci d'avoir pensé à moi. Je t'ai répondu à ton e-mail. Bises.
Liliane.
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Inscrit le: 19/01/2009 Messages: 470
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Y'a eu le camp de Rivesaltes dans le 66.
http://www.cg66.fr/culture/memorial/index.html
http://www.lindependant.com/articles/2009/04/03/20090403-Perpignan-Memorial-de-Rivesaltes-la-position-des-conseillers-generaux-UMP.php5
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Inscrit le: 20/11/2008 Messages: 5
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Merci à Isabelle et à Janine Marie Eudoxie pour leurs messages. Je vais effectivement voir auprès des AD si je peux obtenir plus de renseignements. EN fait, ce que je recherche c'est une preuve de son passage à Septfonds. J'ai récupéré une partie de la correspondance que mon GP a échangé avec sa famille pendant son emprisonnement. Il donne clairement le nom du camp et le numéro de son barraquement. Je sais qu'il a quitté le camp en octobre et qu'il a travaillé chez un agriculteur à Dilo dans l'Yonne pendant 4 mois, ce qui lui a permis de retrouver ma GM et ses deux fils.
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Inscrit le: 20/11/2008 Messages: 5
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Merci pour votre conseil que j'ai suivi. J'ai entré le nom de mon GP dans Solicitud de informacion, militares républicanos et le numéro de son dossier est apparu devant moi. Même si j'ai des documents officiels mentionnant son grade et ses affectations, ça m'a fait un choc de voir son nom à l'écran ! J'attends avec impatience les documents. ENCORE MERCI.
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Inscrit le: 19/01/2009 Messages: 470
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Y'a eu des espagnols envoyés dans un camp de concentration à Brest aussi.
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Inscrit le: 19/01/2009 Messages: 470
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Et avez-vous entendu parler du camp de Catus dans le Lot (dépt.46) ? on m'a téléphoné des archives du Lot pour me dire que mon père y avait été dans ce camp du côté de Saint-Médard.
De même que le camp de Bernès dans l'Ariège (09). Il a été à Septfonds (82) aussi.
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Manuela,
Pourquoi votre père a-t-il été dans plusieurs camps ?
En connaissez vous les circonstances ?
Expliquez nous, cela peut nous aider dans nos recherches.
Bonne journée
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Inscrit le: 19/01/2009 Messages: 470
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On m'a dit qu'ils n'ont que des listes nominatives, et pas d'infos précises.
En plus, ils s'étaient trompés dans le nom à la Préfecture au service des étrangers, ils avaient mis le prénom en nom de famille, et le 1er nom comme si c'était le prénom.
on m'a dit qu'il était arrivé par Latour de Carol.
Il est précisé aussi "ouvrier agricole"
Faut que j'envoie une photocopie de ma pièce d'identité pour avoir une copie.
Comme il n'a jamais été naturalisé français, y'a pas de dossier sur lui avec tous les détails plus précis.
on m'a dit qu'il est arrivé en France le 10 février 1939.
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Inscrit le: 19/01/2009 Messages: 470
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Pour l'Ariège, je vois un camp qui s'appelle Vernet, j'ai mal compris peut-être, au téléphone j'ai entendu Bernès.
http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/page/affichelieu.php?idLang=fr&idLieu=2311
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Manuela
C"est bien Vernet en Ariège :
http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/page/affichelieu.php?idLang=fr&idLieu=2311
http://www.campduvernet.eu/
http://www.jedecouvrelafrance.com/f-2520.ariege-camp-vernet.html
Photographies d'un camp, le Vernet d'Ariège (1997)
Voir la fiche film complète Fiche film simple : Réalisatrice : Linda Ferrer-Roca Court-métrage, Documentaire, Histoire Langue de tournage : Français, Espagnol Nationalité : 100% français Sortie en France : Durée : 56mn Production déléguée : Les Films d'Ici Exportation/Ventes internationales : Europe Images International Synopsis Au mois de mai 1993, de vieux négatifs trouvés dans un grenier sont confiés à Linda Ferrer-Roca. Il s'agit d'un vrac photographique où se côtoient quelques 2000 visages face-profil - une grande partie du fichier judiciaire du camp d'internement du Vernet d'Ariège (1939-1944) - et des images de la vie quotidienne. Ce film s'organise autour de l'enquête menée par la réalisatrice pour situer, identifier, retrouver, dans la mesure du possible, les sujets de ces images. Il s'appuie sur la capacité de la photograhie à réactiver la mémoire, à libérer la parole. Une mosaïque de paroles et de regards pour dire l'horreur et la banalité de l'enfermement.
Cela on en a déjà parlé sur une file qui parlait de ce camp.
A +
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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Essaye cette adresse
Ferrer Roca Linda Tél. : téléphone 1 bis RUE DES JACOBINS 31000 Toulouse
Peut-être pourra-t-elle te donner la date de sortie du film ou même une photo de ton père s'il a été dans ce camp.
A +
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Inscrit le: 19/01/2009 Messages: 470
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Je sais pas s'il y a pas été plus tard dans les années 40.
Et c'est un film visible où ça ?
Sinon, j'ai commencé à écrire à Madrid à cette adresse : Ministerio de la Justicia Oficina Central de Atención al Ciudadano -Registro General- Plaza de Jacinto Benavente, 3. 28012 Madrid Espagne pour voir si je peux avoir la déclaration de réparation et de reconnaissance personnelle même si j'ai pas de papelards particuliers à leur présenter.
Je vous dirai ce que ça donne, si j'ai une réponse.
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Inscrit le: 27/10/2005 Messages: 33 705
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OK Manuela
Pour le film je n'en sais pas plus, je vais essayer de trouver.
Bonne journée
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Inscrit le: 19/01/2009 Messages: 470
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http://www.notrefamille.com/v4/forums/recherches-genealogiques-espagne-camps-vernet-t1217932.html
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Inscrit le: 19/01/2009 Messages: 470
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Vous avez vu qu'on trouve un dvd sur "priceminister" ?
http://www.priceminister.com/offer/buy/53591960/Photographies-D-un-Camp-Le-Vernet-D-ariege-DVD-Zone-2.html
Et ici, un livre.
DE L?EXODE A L?EXIL
Maëlle Maugendre. DE L?EXODE Á L?EXIL. L?internement des républicains espagnols au Camp du Vernet d?Ariège, de février à septembre 1939. Paris. SUDEL. 2008. 173p.
Ce mémoire de Master 2, soutenu en 2007 à l?Université Michel de Montaigne - Bordeaux 3, a été couronné par le prix Jean Maitron destiné à récompenser un(e) étudiant(e) en sciences humaines et sociales pour la qualité de son travail de recherche. Merci de bien vouloir faire circuler l?information de la parution de cette excellente étude sur le camp de concentration du Vernet.
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